Commerce international et internationalisation de la production Mondia : expansion des échanges commerciaux qui s’est produite depuis le 19e. Processus d’internato démarre en Europe depuis le 16e siècle avec les Grandes Découvertes. Cpdt, accélération de la mondia au 19e et surtout après WWII. Depuis 80’s le mot mondia devient plus utilisé (avant internationalisation des échanges commerciaux) car il s’agit également de transfo• de processus de prod à féchelon mondial. Ne touche pas seulement flux commerciaux : flux financiers, humains, culturels.
Création de nouvelles zones de commerce privilégiées tels que l’UE, Alena, Mercosur, AS dominant. Questions débat reste ouvert. Les caractéristiques qui jouent un rôle e posent tjrs. Le OF p g A. lJne ouverture internat croissante. – Croissance et commerce mondial se combinent et se renforcent. Entre 1950 et 201 0 les exportations de marchandises ont été multipliées par 31,8 alors que le PIB mondial l’était par 8,49. Entre 45 et ajd commerce internat x27. Le PIB mondial a augmenté 4x moins vite ce qui signifie que l’ouverture des écos : taux d’ouverture s’est accru : ((imp+exp)/2)/pib) xl 00. 12 % du PIB des États-Unis est exporté (un peu plus est importé) ; 12 % du PIB du Japon est exporté (autant est importé) ; – 37% du PIB de l’Union Européenne est exporté et importé -42 % du PIB de la Chine est exporté et importé (contre 1 % en 1973) et exp, 70-90 (3-4%), 90-2000 reprend assez fortement (6%), 2008- ajd (croissance exportations mondiales négative). -types d’échanges : volume d’échange augm pr ts les produits : augm plus fortement pour les manufacturés (70% comm mondial) et énergétiques. comm mondial augm dans toutes les zones cpdt échanges surtout au sein de la triade. Ce sont les flux intrazones qui ont le plus augmenté. 2009 : sur les 000 Mds de dollars flux marchandises provenant d’Europe, 3620 sont destinés à l’Europe. 12 000 mds $ exportations mondiales en 2009. Certaines zones sont isolées : Moyen Orient dominé par les échanges énergétiques, et l’Afrique qui reste à part. Les pays de la CEI se sont progressivement intégrés et commercent ajd avec l’Europe.
Depuis les 8Œs les échanges entre les pays sont moins des échanges interbranche (produits pas similaires) et plus intra branche. Avant, commerce interbranche (1 960’s). Indice pour mesurer par des échange intra branche dans le commerce total : Indice GLI (Grubel Lloyd). Varie entre O et 1 (entièrement intrabranche). B. Causes de l’ouverture -Raisons techniques (dvpt des transports avion (-90%) téléphoniques (-99%) et maritime (coût divisé par 2 entre 1945 et 201 0), baisse du coût des transports, infrastructures modernes en Asie ports géants asiatiques Singapour Hongkong) et financières. Causes politiques : volonté pol de libéraliser les échanges depuis WW2 sous l’égide de l’ONU. Libéralisation commerce internat. Traités (Accords du GATT 1 948 28 pays but : réduire les barrières douanières pour faciliter les échanges éco et financiers. OMC 1994 194 pays) qui règle 0F 13 barrières douanières pour faciliter les échanges éco et financiers. OMC 1 994 194 pays) qui règlent le commerce internat et ? la naissance d’instits qui surveillent ce commerce internat. + Négociations : depuis 48, tous les 10 ans il y un cycle de négoc entre les pays.
Longues et difficiles négo•. Parfois échoue immobilisme. Ex : cycle Kennedy (72, les échanges bondissent), de Tokyo (87, bondissent aussi), de l’Uruguay (on élargit a l’agri, indus et services). – ouverture au capitalisme des pays à idéologie marxiste (chine, Russie.. baisse des taxes douanières qui sont passées de 40 % en 1947 à 3 D’autres causes : impact des théories du libre échange. C. Les effets de l’ouverture Effets quantitatif et quartatif : croissance de Flnterdépendance des écos.
Spécialisation accrue (permet à chacun d’utiliser au mieux son travail en l’affectant ds les proda les + efficaces du pays) ds les 60-70’s ds certaines branches. Depuis BO’s spé plus fine surtout par segment (petite partie du processus de prod0). Ex : automobile. n Transformata de la division internat du travail surtout NORD/SUD. Division nord/sud plus complexe ajd et plus en retrait par rapport à : division nord/nord et une intégration es pays émergents qui exportent de plus en plus des produits innovants. DIPP . divia internat processus de prod0 : les FTN participent à l’émergence de cette division.
Elles favorisent également le commerce intra-firme ou captif (échanges entre filiales et maisons mères, sans transact0 financières, rpz 1/3 commerce internat : une part importante et croissante des échanges internationaux correspond 30F 13 1/3 commerce internat : une part importante et croissante des échanges internationaux correspond à une logique de firmes et non plus de territoires): s’échangent entre elles : créent une sorte de division mondiale. Echangent les composantes de leurs produits avec d’autres firmes. Conception/AssembIage/Vente dans différents pays. Producteurs : extension des marchés favorise les économies d’échelles, tout élargissement de la prod0 permettant de réduire les coûts (films). Incitées à innover pr rester compétitive face ? a concurrence. Favorise échange de techno de prod entre pays et les firmes. Peut accéder aux facteurs de prod0 qu’il n’a pas (ressources naturelles, capitaux, connaissances tech). -Consommateur : Diversification des produits pour le consommateur (les snf cherchent à se distinguer). Amélioration de la qualité des produits. Diffusion de produits nouveaux innovants.
Baisse des prix (renforce pvr achat). Mais risque de délocalisation. -Pays en dvpt : dffusion plus large de produits de base. Augm de la conso• privée. Réduction de la pauvreté. Transfert de technologies. Dvpt de flux financiers favorables aux invests ds les pays en dvpt. Drainent IDE. -pays émergents : Généralisation d’une conso de masse. Apparition d’une classe moyenne. Nouvelle stratégie de dvpt car certains ont pratiqué des pol d’extraversion : produire uniquement pour exporter des biens a faible valeur ajoutée (textile) puis des biens a forte valeur ajoutée.
Transfert de techno, ttire invests.. Chine croissance annuelle de entre 80 et 2010. J. Stiglitz « croissance fondée sur les exportations Pays exportate 4 3 annuelle de 13% entre 80 et 2010. J. Stiglitz « croissance fondée sur les exportations pays exportateurs de matières premières soumis aux fluctuations des prix. Ex prix du pétrole. « piège ? l’ouverture Théories du commerce international Apparaissent dès le 16e siècle avec le débat entre libre-E et protectionnisme. Même si le L-E a été largement adopté, le débat reste intense entre les deux. A. Les avantages du libre-échange. Théorie d’A. Smith : théorie des avantages absolus. Parle de la division sociale du travail et la Divo du travail dans les SNF (épingles). Div sociale par métiers, mais aussi div tech du travail par tâches. S’intéresse aussi à la DIT, une div entre les pays. La div du travail favorise la richesse des nations. La div internat aussi. S’ils se spécialisent ds un domaine, ces pays pourront échanger entre eux. Positif pr la richesse des nations. Le pays doit se spécialiser là où il est le plus efficace/meilleur que les autres, là ou il dispose d’un avantage absolu.
Smith : drap Portugal 20 40 20 Angleterre 60 30 Dans ce cas, chacun des pays se spécialise : Ang (drap), Portugal Vin). Ils devront échanger entre eux. Si un des pays n’arrive pas ? avoir un avantage absolu Dans ce cas là (pas d’avanta e absolu il ne devra pas se spécialiser selon Smith. 3 d’autres sont meilleurs que lui. Libre échange a des effets positifs sur l’éco : une meilleure allocation des ressources entre les pays. Baisse des prix, éco d’échelles, élargissement des marchés, augmentation des débouchés.
Le modèle HOS (Heckscher, Ohlin, Samuelson) La théorie classique du commerce international justifie la spécialisation et l’échange par l’existence de différences de productivité entre les pays. La théorie néoclassique du commerce international, développée par les Suédois Heckscher et Ohlin dans les années 30, puis complétée par Samuelson dans les années 40, donne une autre justification de la spécialisation et du commerce international. Ces auteurs remarquent que les pays ont des dotations différentes en facteurs de production. Certains pays ont plus de capital, d’autres pays plus de travailleurs.
La chine par exemple, est mieux dotée en travailleurs qu’en capital, tandis que l’Allemagne est mieux dotée en capital qu’en travailleurs. Le modèle HOS montre que les pays mieux dotés en facteur ravail ont intérêt à se spécialiser dans les productions qui réclament de la main d’oeuvre (certaines productions agricoles comme le riz, ou le cacao, ou certaines productions manufacturières peu automatisées, etc. ), tandis que les pays mieux dotés en capital ont intérêt à se spécialiser dans les productions à forte intensité cap•talistlque (sidérurgie, machine- outil, automobile, etc. . Dans ce modèle, il est possible de démontrer que l’on va assister à une égalisation des coûts des facteurs à l’échelle mondiale, même si on fait l’hypothèse d’une immobilité des capitaux. Les alaires vo 6 3 facteurs à l’échelle mondiale, même si on fait l’hypothèse d’une immobilité des capitaux. Les salaires vont donc augmenter dans les pays en développement, et baisser dans les pays développés. C’est une conclusion « optimiste » du point de vue des P. E. qui justifie encore une fois la spécialisation et l’échange international.
Cpdt Smith et Ricardo à leur époque les facteurs sont fixes. Plus ? l’époque de HOS. Dotations factorielles peuvent évoluer dans le temps (Chine) : stratégie de remontée de filière pour progressivement se spécialiser dans des industries qui utilisent du capital. La protection douanière est notre voie, le libre-échange est notre but. » Friedrich LIST Elles peuvent vouloir protéger une industrie vieillissante (théorie de l’industrie sénescente de N. Kaldor (1908-1986). Montée du commerce des biens intermédiaires est le produit de la DIPP encouragée par les FTN.
IPhone vient gonfler l’excédent commercial chinois. B. Limites du libre-échange Vient des théoriciens du protectionnisme. Proviennent aussi d’une analyse factuelle. Risque de créer une concurrence exacerbée et de fragiliser certains secteursD crise secteurs fragile. Désindustrialisation. Délocalisations. Compression des salaires. Pour les pays en dvpt : ressources tirées des exportations sont souvent mal redistribuées, surtout à ceux liés à l’export. Ces pays sont souvent obligés d’importer. Sacrifient leur production locale vivrière. Tirent moins partie du commerce international.
C. Les vertus du protectionnisme Ensemble de mesures mis en œuvre ar un état pour protéger contre la concurrence étra 7 3 de mesures mis en œuvre par un état pour protéger contre la concurrence étrangère. L-E pas tjrs favorable au dvpt d’un pays. 3 types de protec : tarifaires (droits de douanes, et subventions aux producteurs nationaux de certains secteurs pr qu’ils puissent endre moins cher), non tarifaires (barrières : quotas, normes contraignantes (protec « gris » ou administratif). -Protec éducateur. F. List. 19e siècle. -Industries vieillissantes.
Protéger les emplois temporairement. Donnent le temps aux pvrs publics de favoriser l’adaptation de ces secteurs. N. Kaldor. -Protectionnisme défensif. Préserver industries indispensables. Cf ca PAC. -pour les pays qui se pensent perdants ds le commerce internat de réagir en se protégeant de pays trop offensifs. – Lutter contre la concurrence déloyale (dumping social, fiscalité favorable, réglementations, salaires). Limites du protec correspondent aux avantages du L-E= car perte de la spécialisation des pays, de la diffusion du progrès tech, perte de la compétitivité.
Mesures de rétorsion, représailles. Ill. Les firmes transnationales dans la mondialisation Déf p 76 FMN si elle possède d’une entreprise étrangère. Dans une entreprise qui possède moins de d’une entreprise à l’étranger on parle alors d’IDE A partir de ces éléments de déf on se rend compte qu’il existe plusieurs moyens pour former un FTN – Une entreprise française créer une unité de prod en Chlne ex nihilo – Elle rachète des parts + de d’une entreprise étrangère xistant déjà. sorte de fusion/acquisition ) -Délocalisation, une SNF délocalise son unité de production ailleurs B3 fusion/acquisition ) A) La montée des FMN Depuis les 7(Ys on constate une explosion du poids des multinationales dans le monde grâce à diff indicateurs : nombre de filiales, exportations, effectifs etc. 1990 n 37 000 FTN AJDC] 82 000 (+ 12%/an) 900 000 filières 1/4 du PIB mondial 2/3 du commerce extérieur D’autres critères utiles : le CA, la VA, les exportations, les effectifs.
Quelque soit les critères utilisés on constate une très forte croissance (dans le chiffre d’affaire, et le PIB mondiale) 2mds de $ en 1990 C] 63 mds de $ en 2010 On peut mesurer expansion des FTN à partir du stock mondial d’IDE 560 mds de $ dans les 80’s 15 000 mds $ en 2010 Ce stock mondial représentait un peu près 6% du PIB mondiale dans les 80E et AJD plus de 80% des IDE Cl Pays dvpés Le reste venait des pays émergents en transition A partir des 2000’s la part des flux d’IDE dans les pays dvpés se réduits Cl en 2008 Cette réduction se fait au profit des pays émergents : BRICS Ces pays commencent à avoir une part importante ds les flux Les échanges entre les pays du S ont augmentés mais l’Afrique reste marginalisée.