Chapitre 5: Le tourisme durable Depuis une dizaine d’année il a été demandé au secteur du T de se convertir à un T durable dans une logique globale de développement durable. Il est dc nécessaire de préciser ce dont il est question : le secteur semble avoir accepté cette orientation mais nous verrons que ce n’est pas sans contradictions l. Raison d’être et définitions A. Pq faut-il un tourisme durable? Les # formes de tou cette analyse qui est a PACE 1 or 8 Le T apparaissant co to nen il est probablement a pour la protection de particulièrement visées : la planète et c’est ndre le T durable. rs non necessaire, me une cible nes activités sont Tourisme et sport : certaines formes de T de types sport-nature ou impliquant des activités dans la nature (canyoning, rescalade, canoë et kayak, le deltaplane, le camping sauvage… ) peuvent avoir des impacts significatifs sur renvironnement. Particulièrement pour les oiseaux nicheurs, la reproduction des poissons, des anlmaux des berges fréquentés massivement par les T.
Tourisme littoral : pose des pbms particulier avec la plaisance, la plongée sous marine, la pêche, et des afflux massifs et saisonnier e touristes Tourisme rural : pose des pbms dans les zones ou les terres sont essentiellement privés et ou les animaux domestiques + cultures peuvent souffrir de la fréquentation de T non initier. Tourisme et cha chasse : sont souvent source de difficultés en particulier concernant la sécu, pour les promenades en forêt, à la fin de l’été et en automne.
Tourisme hivernal avec les sports d’hiver à des impacts – résidence environnementaux importants. Avec l’urbanisation qu’on construit, la conso d’espaces, le déboisement pour créer des pistes et le détournement de ressources en eaux en articulier pour les canons à neige. D’autres parts le T implique des déplacements motorisés de + en + fréquents en particulier en automobile (4×4), et l’avion. Deux moyens de transports qui sont parmi les plus polluants.
On pourra ajouter que le tourisme classique augmente la demande en infrastructures et en particulier des parkings, des routes et autoroutes dont les impacts sont multiples : la fragmentation écologique. Le tourisme durable cherchera a valoriser les transports plus sobres, l’usage du train ou du vélo. Il cherche aussi à valoriser les roduits locaux et limiter les infrastructures ayant un fort impact sur renvironnement. B. Définitions Il existe une grande confusion de termes et d’institutions dans ce domaine de l’activité touristique (tourisme durable).
La qst du tourisme durable est apparue à la fin des années 90 et au début des années 2000 dans la prise de conscience de la mondialisation et de son penchant altermondialiste = gens qui réclament une autre mondialisation: + juste pollution, – d’inégalités) L’OMT défini le tourisme durable ainsi: le dév touristlque durable atisfait les besoins actuels des touristes et des régions d’accueil tt en protége touristique durable satisfait les besoins actuels des touristes et des régions d’accueil tt en protégeant et en améliorant les perspectives pour l’avenir.
Il est vu comme menant à la gestion de toutes les ressources de telles sortes que les besoins éco, sociaux et esthétiques puissent être satisfait tout en maintenant l’intégrité culturelle, les processus écologiques essentiels, la diversité biologique et les systèmes vivants. Il implique que l’activité doit pouvoir se poursuivre à long terme eci *appliquant à plusieurs domaines . ur le plan écologique le tourisme doit exploiter de manière sur optimale de renvironnement et sauvegarder les ressources naturelles et la biodiversité , sur le plan économique pactivité doit être viable = qu’elle peut survivre, à long terme et tous doit y trouver des avantages sociaux éco équitables. Les emplois doivent y être stable produisant des bénéfices, et permettant des services sociaux pour les communautés contribuant à la diminution de la pauvreté ; sur le plan éthique et social le tourisme durable doit respecter ‘authenticité socio-culturelle des régions d’accueil.
On ajoute que le tourisme durable doit satisfaire les touristes. Le tourisme doit satisfaire les touristes et aussi leur faire conscience des problèmes de durabilité et encourageant les pratiques durables (vocation pédagogique). Pour éviter les confusions, qq autres définitions : l’éco-tourisme, il est principalement pratiqué en mllieu rural il s’agit de découvrir et préserver la nature mais aussi la culture locale. Les bénéfices doi découvrir et préserver la nature mais aussi la culture locale.
Les énéfices doivent aussi être locaux. le tourisme social: droit aux vacances et à une accessibilité pour tous (les jeunes, familles, retraités, handicapés, pauvres) Pour clarifier les choses, il existe une gradation entre les différentes formes de tourisme de la moins contraignante à la plus contraignante : le tourisme responsable: 1er niveau le plus large, les acteurs expriment globalement une bonne volonté mais cette responsabilité est plus ou moins intense selon les acteurs.
Elle peut se manifester dans toutes dimensions de l’activité ou seulement dans certaines. e tourisme durable: la responsabilité se traduit par une modification radicale de l’activité ou du comportement pour tenir compte des principes du dév durable. le tourisme solidaire: tourisme durable mais le 1er moteur de l’activité doit être une solidarité avec les PED. Le tourisme s’associe à des projets socio-éco locaux. Le touriste encourage le dév en participant à une activité ou par une partie du prlX de sont voyage. ex : construction d’un bâtiment) le tourisme équitable: tourisme solidaire mais la solidarité et les relations commerciales doivent être équitablement profitable ntre le nord et le sud. Cest la définition la plus restrictive et la plus exigeante. Il. Les formes de tourisme durable A. Une volonté d’échapper au tourlsme de masse Il existe une extrême diversité de forme de tourisme sous le label durable. Certains touristes veulent voyager loin et même très loin de chez eux, en échappant au tour durable.
Certains touristes veulent voyager loin et même très loin de chez eux, en échappant au tourisme de masse et en recherchant des voyages de plus en plus individualisés. Il existe un mouvement lié aux causes humanitaires. Certains ouristes veulent aider les PED par leur voyage. Pour le moment, les effectifs restent extraordinairement faibles, on parle de qlq millions de touristes dans le monde. Parfois se sont les structures elles-mêmes qui se limitent à qlq dizaines ou moins d’individus pour garder le contrôle de l’activité et de son impact.
Il convient donc de relativiser l’importance du mouvement. B. Le rôle des ONG du développement Certaines ONG spécialisées dans le dév ou les questions environnementales deviennent voyagistes, elles dév un tourisme vers les pays pauvres (l’Afrique, l’Asie) souvent de petits groupes e touristes participent à la vie du village que ce soit pour l’agriculture ou pour dév un projet spécifique. Ex : constructions d’une école Parfois ces projets sont liés à une personnalité particulière qui est entièrement piloté le projet.
Il existe des dizaine de structures en France et des milliers dans le monde sur ce model la plus célèbre en France porte le nom de TDS (tourisme et dév solidaire) C. Les entreprises du secteur touristique se sont emparées du tourisme durable Les motivations du secteur sont multiples pour se réorienter vers le tourisme durable. ne recherche slncère de nouvelles pratiques qui dans certains cas peuvent signifier des économies (ex: consommation d’eau en baisse, moins de luxe pour des prix i peuvent signifier des économies (ex: consommation d’eau en baisse, moins de luxe pour des prix identiques, ressource locale moins chères… opportunisme éco du secteur qui veut profiter du label pour capter une nouvelle clientèle une volonté de redorer le blason d’un secteur touristique critiqué pour ses excès Dans un 1er temps, se sont les entreprises spécialisées dans le tourisme d’aventure qui ont choisi d’ajouter une dimension urable à leur activité. La logique est limpide, elle consiste à ne pas dégrader des espaces rares qui sont le fond de commerce des ces entreprises.
Ex : les différentes formes de trekking, les expéditions de haute montagne, les méharées (balade en dromadaire). L ‘écotourisme ajoute des principes éthiques à leurs activités sportives, ce qui n’a pas toujours été le cas. Ex : IHimalaya et le Mont Blanc souillé par les tonnes de déchets. Pour l’ensemble du secteur, les chartes et les codes de bonnes conduites se multiplient. Ex : celle du inistère du tourisme français qui date de 2000. Une partie de ces grandes entreprises finance les proejts TFD qui reverse I € par nuitée.
Les exemples sont très nombreux, il relève surtout des initiatives ponctuelles et individuelles des entreprises . On ne peut pas encore parler de mouvements mondial unifié. Le tout se développant dans des secteurs touristique et qui sont concurrentiels. Il s’agit donc d’amener une part du tourisme durable dans le tourisme de masse. C’est pourtant bien dans ce secteur du tourisme de masse que les mesures ont plus de chance d’avoir des effets significatifs