Dialogue Philo

La vérité est souvent questionnée dans Hesprit de tous les êtres humains. Comment distinguer ce qui est vrai de ce qu’il ne l’est pas? Parfois c’est comme si les deux côté de notre âme se débattaient pour savoir qui avaient raison. C’est le cas du côté droit de mon cerveau et du côté gauche. Ils s’entendent parfois, mais ils doivent débattre de façon rationnelle pour en venir ? un consensus. Mon cerveau gauche analyse les situations et les problèmes tandis que mon cerveau droit aime innover et changer.

C’est justement ce qu’il arrive lorsqu’ils se parlent des « Méditations métaphysiques» de René Descartes. Ils veulent avoir la vérité. Ils veulent ce qui est le mieux pour moi et se demandent s’il serait plus raisonnable pour moi de rejeter toutes mes pensées ou d’en certaines pensées au de l’être humain che Cerveau gauche : Arr or 5 Snipe to vieu insi, en rejetant ées, la conception ent. tout. Il doit y avoir un moyen plus facile pour distinguer ce qui est rationnel de croire et ce qui ne l’est pas. Cerveau droit : Sa y est, j’ai trouvé!

Dorénavant, nous nous attaquerons seulement aux bases de nos opinions pour ne pas avoir à prouver la vérité ou la fausseté de toutes nos opinions. Cerveau gauche : C’est une idée acceptable. Lorsque la base Swipe to View next page base de nos opinions sur un sujet est fausse, nous devons tout rejetés, car les opinions en lien avec la base seront nécessairement fausses aussi. Lorsque la base est vraie, nous devons vérifier tous les opinions sur ce sujet pour vérifier s’ils son vraies. Ainsi, lorsque nous avons un doute, nous rejetons tout comme si c’était faux. Cerveau droit : J’accepte.

Par contre, il y a un petit bémol, nos sens sont à la base de toutes les opinions que nous avons sur tous les sujets et ceux-ci sont parfois trompeurs. Nous avons déj? cru quelque chose que nos sens nous disaient, mais qui en réalité était faux. En ayant des sens parfois douteux, nous devons donc considérer que tout ce que nous savons est faux et douter de tout. Ceweau gauche : Cest vrai, nos sens nous trompent souvent sur des choses éloignées. Nous percevons des choses qui n’y sont pas parce qu’ils sont loin. Par contre, nous ne devons pas douter de tout, car les sens ne nous trompent pas sur des éléments proches et immédiats.

Par exemple, on ne peut pas douter qu’on est assis sur une chaise ou que Pont se parlent. Ceraeau droit : Oui, mais si tout ce qu’il se passe autour de nous est seulement qu’une illusion. peut être que nous sommes seulement dans un rêve. Nous devons donc, encore une fois, douter de tout puisque nous ne sommes pas assurés de ne pas être dans un rêve. Cen,’eau gauche : Même si nous étions dans un rêve, les éléments de base Ceweau gauche : Même si nous étions dans un rêve, les éléments de base dans les rêves sont tous réelles.

Il n’y a rien qui n’existe pas dans les rêves, les couleurs, les formes, les objets, tout est basé sur la réalité. Si tout dans les rêves est basé sur des éléments existant, nous ne devons pas douter de tout. Cen,’eau droit : Je ne sais plus quoi croire. II est possible que Dieu m’ait créé pour que je me trompe tout le temps. Peut-être veut- il que je ne sache pas la vérité. Il faut douter de tout, parce que nous ne sommes pas assurés que Dieu ne veuille pas que l’ont se trompent. Cerveau gauche : C’est impossible!

Dieu par définition est bon et s’il est bon il ne peut pas nous avoir créé pour que l’ont se trompent constamment. Il y a donc forcément certaines choses qui sont vraies et on ne devrait donc pas douter de tout. Cen,’eau droit : D’accord, mais plutôt, nous étions venus au consensus qu’en cas de doute, il fallait douter de tout. Ainsi, malgré le fait que Dieu est bon, il me laisse me tromper parfols et onc nous devons douter de tout. Ceweau gauche : Tu as raison. Désormais, même si Dieu veut que je me trompe, pour pouvoir me tromper, je dois exister.

Cerveau droit : Oui, et je ne peux pas douter que je pense, or si je pense j’existe. «Je pense donc je suis. » Cerveau gauche : Nous sommes donc assurés d’exister, car nous avons la capacité de réfléchir. Cerveau droit : Nous sommes donc assurés d’exister, car nous avons la capacité de réfléchir. Cerveau droit : Si j’existe et que je suis un homme, je suis un animal. Cerveau gauche : Non, je pense plutôt que je suis composé d’un orps et d’une âme et que mon âme anime mon corps qui lui est seulement là pour permettre à ma pensée d’exister.

Cerveau droit : Non, je sus seulement certain que j’ai une âme qui me permet de pensée, de savoir, le reste est incertain. Cerveau gauche : Je suis plutôt quelque chose qui pense, qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine, et qui sent. J’ai une sensibilité en tant qu’être humain et je suis créatif. Ceraeau droit : Tout à fait, si on prenait par exemple un morceau de cire et qu’on l’observe en phase solide, il est dur, a température est plutôt froide et si on le frappe, il fait du bruit.

Ainsi, en approchant se même morceau proche d’un feu, il changera de phase et deviendra liquide et ses caractéristiques changeront aussi. Il sera dorénavant, chaud et au toucher ne fera aucun son. Comment peut-on savoir que c’est la même cire avant et après le changement de phase? Comment est-il possible de savoir avec assurance que c’est la même cire qu’au départ? Pourtant, on le sait. Cest alors la déduction, la raison, qui nous permet de savoir que cette cire est la même. Cen,’eau gauche : Ce ne so PAGF os sens qui nous