Histoire

La culture des premiers occupants Spiritualité autochtone Les autochtones respectent beaucoup la nature et cela les poussent à faire attention à la nature lorsqu’ils pratiquent les cultes. Selon eux tout éléments de la nature a un esprit, afin d’obtenir son pardon ou sa générosité. Les objets fabriqués par les hommes sont habités par un esprit immortel qui doit être respecté. Cela est vrai aussi pour celui habitant la plante ou l’animal dont les Amérindiens se nourrissent. Les êtres (animaux, plantes, minéraux, individus) sont tous égaux.

Par exemple, les hasseurs pratiquent en faisant des chants ors certain animal afin q leuv•- Les Iroquoiens ont d activités agricoles da es tambours et uent Vesprit d’un saisons et des ne agricole. La culture et les traditions des Autochtones les poussent à croire en l’immortalité de l’âme. Ils enterrent donc les morts avec plusieurs objets qui les accompagneront dans la mort. Les cérémonies sont le principal moyen par lequel les croyances s’expriment. De nombreuses prières s’adressent aux esprits pour assurer leur bienveillance.

Chaque clan a son totem, ce qul veut dire, son animal protecteur. Ils dessinent le totem du clan au-dessus de l’entrée de leur maison. Pour les autochtones, les rêves servent à une communication avec le monde des esprits et sont souvent vus comme des présages. Valeurs Certaines valeurs sont partagées par l’ensemble des membres de libertés individuelles (d’opinion, d’expression, de religion), de l’égalité entre les hommes et les femmes, de la paix, de la condamnation des actes de violence, du respect des différences et de la vie privée.

La culture en Nouvelle-France Catholicisme L’un des objectifs principaux de la colonisation française n Nouvelle-France était de convertir et d’évangéllser les Amérindiens. Le rôle de l’Église dans la colonie est un important facteur de développement puisque les religieux ont pris en charge des aspects de la vie quotidienne. Cest ainsi que les premières écoles, les hôpitaux, les or nt créés par des groupes celui-ci lui ai élaboré par Dieu. Le roi et l’Église sont très proches. Le clergé incite les croyants a ce soumettre au roi en échange du contrôle de Péducation, les services sociaux et les soins de santé.

A l’époque du 1 Be siècle FÉgllse de France est soumise u roi plutôt qu’à celui du pape. Le pouvoir du roi est absolu et exercé par le gouverneur, puis l’intendant et ceux-ci décident des affaires. Culture canadienne La culture canadienne se manifeste surtout par la tradition orale. Ily a des milliers de chanson à travers le Québec. Les contes tiennent une place importante. Les habitants se transmettent cette culture à l’ occasion des veillées et des fêtes. Les nouveaux administrateurs sont anglophones et protestants.

Les deux cultures devront pourtant cohabiter. Les instructions officielles du roi lors de la Proclamation royale planifient ‘assimilation du peuple canadien. De plus, le gouvernement anglais rejette le système juridique français pour mettre en place les lois britanniques. Après « Acte de Québec, les Canadiens retrouvent certains droits, par exemple de pratiquer la religion catholique, reconnaissance de la hiérarchie de l’Église catholique, retour du droit civil français. Plusieurs communautés religieuses viennent s’établir en Nouvelle-France.

Les communautés religieuses regroupant les hommes à s’occupent de l’éducation des garçons et elles convertissent les Amérindiens. Les trois principales communautés hez les hommes sont les Jésuites, les Sulpiciens et les Récollets. Chez les femmes, les Ursulines, les Hospitalières de Saint-Joseph et la Congrégation Notre-Dame font partie des communautés qui sont très présentes en Nouvelle-Brance. Elles enseignent aussi aux enfants et soignent le communautés qui sont très présentes en Nouvelle-Brance. Elles enseignent aussi aux enfants et soignent les malades.

Les grand mouvements de pensée sous le régime britannique Nationalisme canadien-français Le nationalisme est une pensée qui vise à défendre une nation. ? la fin du régime français, en 1760, les habitants de la vallée du Saint-Laurent se perçoivent déjà comme une nation. Alors, ils souhaitent protéger ce qu’ils voient comme leur nation. Le nationalisme revêt une forme politique par le parti canadien. Le parti Patriote amène une nouvelle forme d’idée, pris par le libéralisme et même le début de l’indépendance du Bas-Canada.

Le Clergé joue également un rôle pour ce mouvement de pensée. Premièrement, ils se montent contre les idées libérales et désapprouve les rébellions des patriotes. Ensuite il y a eu l’acte d’union, l’église se fait d’autorité ationaliste, en valorisant la langue française et la foi catholique. L’impérialisme britannique Après la conquête, un nouveau groupe britannique s’installe dans la colonie et remplace le groupe colonial français. Ils imposent leur langue et leurs institutions culturelles et religieuses (écoles, église protestante).

Libéralisme Le libéralisme économique est un mouvement de pensée dominant sous le Régime britannique. Ce mouvement indique la liberté des individus et des entreprises et la limitation du rôle de l’État. Le bien-être de la colonie sert d’argument aux partisans du ibéralisme pour qu’ils affirment ue cette idéologie est celle du progrès économique. petite bourgeoisie professionnelle canadien -français (avocats, notaires, médecins) et le membre de la bourgeoisie d’affaire canadien-anglaise.

En 1791, la Chambre d’assemblée élue est créée. Cette idéologie inspire les députe du patriote à revendiquer plus de démocratie dans la colonie, comme la responsabilité ministérielle, et même l’indépendance du Bas-canada, ce qui mènera aux rebellions. Anticléricalisme L’anticléricalisme est une idéologie qui refuse ou se montre très ritique envers toute forme de présence ou intervention du clergé, dans l’organisation de la vie publique.

Ils insistent sur la séparation du religleux et du profane, réclame l’indépendance absolue de l’État à l’égard des Églises et permet la liberté de conscience individuelle. Le clergé doit aussi affronter le désaccord des partisans du libéralisme, qui désapprouve une séparation de l’Église et de l’État, spécialement l’éducation. Après l’échec des rébellions, les patriotes se dispersent et c’est le parti rouge qui devient l’adversaire de l’Église. ultramontanisme

Le clergé retrouve sa force, grâce à l’ultramontanisme, un mouvement de pensée qui s’est développé en France. Ils affirment la prédominance du pouvoir spirituel de l’église sur le pouvoir de l’État. Ils conseillent la soumission de l’autorité du pape et prônent une pratique religieuse. Ils veulent que les domaines de l’éducation et des soins aux malades et aux pauvres soient réservés à l’égl se. L’Église en profitent pour transmettre ses valeurs, et augmente les effectifs religieux. L’Église contrôle la culture par divers moyens en imposant sa vision de la moralité.