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Kinésithérapeute qui résidents qui le souh leurs médecins de fa lya 2 étages pour u 0 Svp next page le Pédicure, le tion médicale, les r d’être suivi par idents. Au sein de ces deux étages, deux équipes se relaient tous les jours pour accompagner les résidents dans les actes de la vie quotidienne. De plus, cette Institution présente également 2 Unités protégées comprenant 14 résidents chacune. Ces deux Unités sont spécialisées dans l’accompagnement des malades atteints de maladie neuro-dégénératives de types Alzheimer.

Madame G n’a pas de régime particulier, elle n’a pas besoin ‘aide pour manger, elle coupe ses aliments toute seule et boit également toute seule. Madame Madame G un bon appétit, finit toujours son assiette, et demande souvent qu’on la resser,’e et elle apprécie un verre de vin. Les après midis, elle va régulièrement dans le salon de son étage, elle aime peu la compagnie des autres résidents, estime qu’ils ne comprennent rien et qu’ils sont trop vieux, alors elle s’installe dans un fauteuil, tourne le dos aux autres résidents et regarde la Madame G ne va pas d’elle-même aux activités proposées par le service animation.

Chaque jour, L’Animatrice vient voir Madame G pour lui proposer l’activité du jour, mais souvent Madame G refuse. Par contre, l’animation « lecture du journal » surtout la rubrique des décès l’intéresse, Madame G aime bien s’informer des décès des personnes de son entourage qu’elle a perdues de vue. PARTIE 3 DESCRIPTION DES ACTIONS MENEES Dès le début de mon stage, j’ai observé les professionnels accompagnant pour la toilette de Madame G. Peu à peu, j’ai aidé dans les actes essentiels d sous l’œil attentifs des données de chaque résidents que les professionnels doivent ‘occuper.

Les transmissions faites par les professionnels de santé assurent la continuité des soins pour chaque résidents. Ainsi, cela permet à l’équipe de soins, d’assurer une bonne prise en charge. De ce fait, avec l’aide de ma Tutrice, je prenais un temps pour consulter les transmissions faites au sujet de Madame G. Cela me permettait de saisir de nouvelles informations aussi bien sur le plan physique, que psychique. Avec les informations prises sur l’ordinateur et celles pendant la relève, cela me permettait d’assurer l’accompagnement dans les actes essentiels de Madame G.

Comme me stipule ma Tutrice, avant de rentrer dans une chambre, il faut frapper 3 fois, 3 fois et 1 fois «Phllosophie de soin de l’humanitude basée sur les concepts de la Bientraitance j’entends la voix de Madame G, je rentre doucement, Je lu demande si elle a bien dormi tout en ouvrant un peu le volet pour la réveiller tout en douceur. Depuis quatre semaines, je m’occupe seule de la toilette de Madame G, c’est un privilège ! car elle n’est pas facile, Madame G a un fort caractère, elle est assez colérique et peut dire des mots forts désagréables à l’encontre de la personne aidante.

Ma tutrice tait contente car j’avais un bon relationnel avec Madame G et elle devenait un peu moins méchante. La première fois que je me suis occupée de Madame G, j’ai décidé de prendre du temps. Je m’assoit dans le fau 0 que je me suis occupée de Madame G, j’ai décidé de prendre du temps. Je m’assoit dans le fauteuil en attendant qu’elle se réveille. Je lui parle de sa ferme, mais là je lui explique comme chaque fois que je vais m’occuper d’elle.

Madame G me regarde et me pose des questions sur ma vie de famille, s’intéresse ma vie, chose qu’elle n’a jamais faite avec les professionnels que J’avais accompagnés. J’explique à Madame G, que je prépare dans sa salle de bain, une bassine d’eau tiède, une serviette éponge, quatre gants, deux pour savonner et deux pour le rinçage et une paire de gants que je vais utiliser pour procéder à la petite toilette au lit, un sac poubelle pour mettre la protection souillée et les gants jetables que je vais utiliser.

Je lui expliquer que je vais la dévêtir et lui faire sa petite toilette au lit, Madame G n’est pas réceptive à ce que je peux lui dire, ce qui la préoccupe c’est le fait que j’allais voir son intimité, et elle n profite pour me dire des mots pas très plaisants, je n’en tiens pas compte, je lui parle de l’activité que propose l’Animatrice, cela permet à Madame G de penser à autre chose et de ne pas stresser à la petite toilette.

Je lui enlève sa culotte et sa protection en prenant soin de ne pas lui faire mal. Je lui lave le bas ventre, je vérifie s’il n’y a pas de d’escarre, de rougeurs, tout va bien, je continue ma petite toilette, l’entre jambe, les fesses avec le gant savonné, puis je rince avec le 4 0 continue ma petite toilette, l’entre jambe, les fesses avec le ant savonné, puis je rince avec le gant de rinçage et la rince nouveau, tout en lui parlant.

Une fois bien séchée, je lui mets une crème hydratante sur les fesses, je lui mets une nouvelle protection et une culotte propre La petite toilette terminée, je vide l’eau de la bassine dans le lavabo de la salle de bain je la rince bien, et je la remplis nouveau pour continuer la toilette des jambes et des pieds en changeant de gant de toilette. Je mets le gant que j’ai utilisé pour la petite toilette dans la serviette éponge que j’ai utilisé pour sécher les parties intimes de Madame G, au pied du lit en ttendant de les mettre dans un bac prévu à cet effet.

Madame G me regarde sans un mot, à fair même contente, mais ne dit rien. Tout en étant au lit, je lui masse les pieds et les jambes avec de l’huile d’amande douce. Je procède à l’enfilage des bas de contention et lui mets ses chaussures. Je l’aide à s’assoir sur le bord du lit et lui explique qu’il va falloir aller au lavabo pour continuer la toilette du visage, du cou, des bras, du torse, du dos. Elle ne dit aucun mot, mais me fait un léger sourire.

Du transfert du lit à la salle de bain, j’aide Madame G à s’assoir sur e lit, je lui explique que je vais raider pour le reste de la toilette qui va se passer au lavabo de la salle de bain. Comme chaque matin, la toilette est un travail d’équipe. Je prends donc les cho de bain. Comme chaque matin, la toilette est un travail d’équipe. Je prends donc les choses en mains et lui demande de me suivre jusqu’à la salle de bain, ce qu’elle fait avec son déambulateur, me regarde, m’envoie quelques mots « filous » avec un sourire et la confiance pris toute son ampleur.

En attendant qu’elle arrive au lavabo de la salle de bain, je vide ma bassine dans le lavabo, je jette la protection et les gants jetables ans le sac poubelle et je mets les deux gants, la sewiette de toilette et la culotte utilisés dans un bac prévu à cet effet. Je prends une chaise qui est près de son lit, Madame G s’assoit, je met un gant de toilette savonné à la main droite pour qu’elle se lave le visage.

Pendant que Madame C fait sa toilette du visage avec un gant de toilette que je lui avait soigneusement préparé, je vais dans l’armoire et lui demande quel vêtement qu’elle a envie de porter aujourd’hui. Elle choisit une robe bleue, avec une veste blanche. Ce choix aurait pu être fait lorsqu’elle était assise sur son lit, mais lle ne dispose de peu de vêtement et, ouvrir son armoire devant elle aurait pu la mettre mal à l’aise.

Une fois le visage savonné, je lui rince le gant de toilette pour qu’elle puisse à nouveau enlevé correctement l’eau savonneuse sur son visage, ensuite je lui explique que je vais lui laver les bras, les seins, je vérifie sous les seins qu’il n’y a aucune boursouflure, ni de rougeur, rien de tel, je continue sur I 6 0 vérifie sous les seins qu’il n’y a aucune boursouflure, ni de rougeur, rien de tel, je continue sur le torse avec le même gant de toilette qu’elle a utilisé pour le visage, je lui sèche doucement les ras, le torse et le dos tout en lui parlant de choses et d’autres, ensuite Je lui passe de l’eau de Cologne sur le dos car Madame G aime cette sensation de chaleur une fois passée sur son dos. Je lui mets son soutien gorge, la combinaison, la robe et la veste. Madame G est très frileuse. Une fois habillée, je lui mets un peu de parfum, et lui donne un peigne pour qu’elle se coiffe.

Une fois coiffée, je reprends le peigne et je lui dit qu’elle est bien peignée, mais ne me dis aucun mot. La toilette terminée, j’accompagne Madame G au petit salon pour qu’elle puisse prendre son petit déjeuner que les ASH allaient ervir, en lui souhaitant une agréable journée, et toujours pas de mot, et à ma grande surprise, au moment où je l’installe vers la table pour qu’elle puisse prendre son petit déjeuner, Madame G me prends la main et me dis « merci », ce fut un moment inoubliable. Je retourne dans la chambre de Madame pour terminer en nettoyant et vidant la bassine, les gants de toilette, le lavabo. Je range correctement ses affaires sales dans un sac prévu cet effet.

Ensuite une fois les toilettes terminées, les bacs de linge sales, les bacs des serviettes et des gants de toilettes sont mportés à la lingerie qui se situe au niveau -1, et les sac des gants de toilettes sont emportés à la lingerie qui se situe au niveau -1 et les sacs poubelles remplies de protections sont jetés dans les containers appropriés. A la fin de mon poste, je retransmets avec l’aide de ma Tutrice sur l’ordinateur, toutes les données de Madame G pour assurer l’accompagnement et la continuité des soins. PARTIE4 EVALUATION DES ACTIONS MENEES La relation de confiance a pour but de rentrer en contact avec les résidents et qu’une relation mutuelle s’installe.

Cette dernière a our objectif de mettre la personne aidante en bonne condition pour qu’elle puisse effectuer les actes essentiels de manière efficaces mais aussi pour que la résidente puisse être réceptive aux gestes nécessaires que j’allais lui prodiguer. Je me rends compte que les contacts avec Madame G ne sont pas faciles. C’était un challenge pour moi, avoir un mot gentil ou un sourire de sa part. Madame G me scrute du fait que nous nous connaissons peu, du moins pas assez. Ensuite, le fait que Madame G me redemande mon identité me mets mal à l’alse car je pense qu’elle ne veux pas que ce soit moi qui m’occupe d’elle, ‘ailleurs Madame G ne souhaite que personne s’occupe d’elle.

J’essaie donc de parler de façon distincte pour qu’elle puisse comprendre mais je vois que son regard est fuyant comme si elle ne veux pas m’écouter. C’était difficile pour moi car je ne connais pas suffisamment Madame G, en 5 semaines, il est difficile de B0 difficile pour moi car je ne connais pas suffisamment Madame G, en 5 semaines, il est difficile de connaître les habitudes, les rituels de Madame G, et idem pour elle. Le dialogue au premier abord est difficile, je lui explique que je suis là pour elle, que je vais rendre le temps pour l’aider dans les gestes essentiels. Ensuite, la confiance s’installe, un sourire sur son visage, ce qui signifie pour moi qu’elle accepte ma présence et cela me réjouit.

Grâce à ce procédé, cela a permis de prendre confiance du fait que je comprenais ses réponses et elle pouvait s’exprimer et se faire comprendre, lui montrant les mouvements pour faire sa toilette, s’habiller, se coiffer. Cette manière d’agir de ma part m’a permis de garder le contact tout au long de la toilette. Mon langage devait être adapté et il devait être fluide et surtout que je ne faisais pas de longues hrases. En effet, sa pathologie avait un impact sur sa mémoire, ce qui l’empêchait de suivre une conversation. Ma chance d’être stagiaire, de pouvoir prendre davantage de temps avec Madame G m’a permis d’expliquer, écouter cette résidente. Aussi, j’ai réussi à avoir un sourire et moins de mots désagréables, ce qui n’était pas gagné !

Malheureusement, les professionnels de santé, malgré leur bonne volonté, et avec la formation « d’humanitude ne peut répondre aux besoins de tous. CONCLUSION Cette expérience m’a beaucoup appris pour mon futur métier d’AuxiIiaire de vie d’AuxiIiaire de vie. Dans ce métier, il n’y a pas de place au jugement, il est proscrit. Je me dois d’être respectueuse envers la personne aidée. Les principales valeurs de la personne aidant sont : Le professionnalisme, le secret professionnel, la communication, la patience, la douceur, la compréhension Ces dernières permettront de créer des liens et d’avancer dans le bon sens avec les personnes aidées. De plus, Madame G m’a poussé dans mes retranchements aussi bien psychologique qu’émotionnel.

De cette façon, cette expérience m’a permise de mettre à profit toutes les connaissances que j’ai pu acquérir tout au long de mon stage. s professionnels de santé de I’EHPAD m’ont mis à l’aise dès le premier jour et je les remercie. Ils m’ont beaucoup appris sur leur métiers, leurs manières et leurs méthodes de procéder. J’ai regardé, posé des questions et appliqué. Ils m’ont laissé le temps de m’adapter, de comprendre et d’analyser les situations que je trouvais éprouvantes. Grace à ma formation et à mon stage en EHPAD et, j’ai mis en pratique mes appris théoriques du centre de formation. J’ai pu comprendre les difficultés rencontrées auprès des résidents, et à contrario, tout le plaisir, l’aide et la douceur que j’ai pu leur apporter.