Remercîment Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie Mr jebbar, mon maître de stage qui m’a formé et accompagné tout avec beaucoup de pa l’ensemble des empl pu me prodiguer au Table des matières Remercîment… .. … Table des matières . 2 Introduction…. … 3 or 15 nce professionnelle Enfin, je remercie es conseils qu’ils ont Chapitre : présentation de l’organisme d’accueil (COSI_JMAR) Fiche d’identité Historique 6 Structure de la raffinerie de Casablanca Quelques données générales Chapitre all : Fabrication du sucre . 10 Raffinage sujet.. „ „ . „ 20 L’atelier CMM 21 ICBO.. Mouleuse… …………………….. „.. 23 CONCLUSION……… 25 Introduction . 22 Ce stage vient comme une période d’obsep. tion qui nous permettra principalement l’adaptation de la formation professionnelle et la mise en œuvre de toutes les connaissances techniques acquises durant notre formation. Le stage est une occasion qui permet au stagiaire de déchiffrer et d’éclaircir certaines confusions affrontées au cours de la formation, tout de même, il constitue un moyen permettant ? l’étudiant d’acquérir une bonne expérience pouvant, lui servir dans sa vie professionnelle. Ce stage d’initiation, qui n’est en fait que le premier contact avec le domaine professionnel industriel a duré un mois au sein de COSUMAR.
IL m’a permis de me familiariser avec l’environnement du travail et avoir une expérience modeste dans le terrain CHAPITRE 15 Sucrerie et Raffinage) CHIFFRE D’AFFAIRE 2 949 637 420. 62 DHS CAPITAL 419105700. OO DHS ADRESSE 8 Rue El Mouatamid Ibnou Abbed, BP Maroc. TELEPHONE (022) 40 12 42/40 13 63 FAX (022) 24 49 65 CAPACITE DE PRODUCTION 309820 300 casablanca, Plus de 2100 tonnes de sucre raffiné par jour 014 Directeurso 62 cadreso 164 maîtrisesc 630 1200 Ouvriers B. Historique La compagnie Sucrière Marocalne a été fondée en avnl 1929 sous le signe «COSIJMA» par la société SAINT-LOUIS de Marseille.
En 1932, sa capacité de production journalière atteignait les 100 tonnes. Son évolution s’est réalisée comme suit: 1 er janvier 1967, des accords entre l’Etat marocain et COSIJMA nt donné naissance à COSUMAR (Compagnie de Sucrerie Marocaine et de Raffinage). La participation de l’Etat à hauteur de 5096 du capital a permis d’atteindre une production journalière de 900 tonnes. En 1985, L’ONA «Omnium Nord-Africain» a particpé avec du capital de la COSUMAR, le reste étant détenu par d’autres actionnaires.
En 1993, la COSUMAR absorbe les sucreries de Doukkala (Zemamra et Sidi Bennour), dont elle détenait déjà une part significative. PAGF 15 traitement des Sucreries Doukkala. La même année, le Groupe augmente sa capacité de stockage e 20 000 tonnes grâce au projet de réalisation d’une nouvelle plate-forme logistique de 12 280 m2 à Casablanca. En 2005, la COSUMAR a absorbé toutes les sucreries du Maroc SIJTA, SUCRAFOR, SURAC et SUNABEL. 2006 : La COSUMAR met en œuvre le projet « INDIMAGE 2010 », destiné à intégrer, mettre à niveau et développer les sucreries acquises en 2005.
La même année, la capacité de traitement de betterave augmente de IO 000 à 15 000 TB/J à Sidi Bennour, grâce à la realisation de la deuxième phase du projet d’extension du site . Le groupe déploie par ailleurs un nouveau procédé de fabrication u pain de sucre. Poursuite de la mise en œuvre du projet « INDIMAGE 2010 » et développe de la filière sucrière grâce à la poursuite des investissements nécessaires à l’augmentation des performances industrielles. 2009 : Casumar fête ses 80 ans, sortie d’un timbre dédié ? l’industrie sucrière marocaine.
C. Structure de la raffinerie de Casablanca Organigrammes de l’organisation hiérarchique de la COSUMAR D. Quelques données générales : Production annuelle : Avec la commercialisation d’un tonnage de 600 000 t/an, la COSI_JMAR contribue à la satlsfaction d’environ des besoins u marché national. L’énergie La COSIJMAR produit la quasi-totalité de ses besoins en énergie grâce à une centrale thermi ue_ Les matières premières : 5 AUSTRALIE et AFRIQUE DE SUD. Sucre de betterave : provenant de l’unité de DOUKKALA.
En part du marché, les ventes représentent 65% du marché local dont pour les pains et les morceaux et 10096 pour le sucre lingot Les produits de la COSLJMAR • Le sucre raffiné de la COSUMAR est présenté sous diverses formes pour la vente : Pains de sucres de 2Kg en cartons de 20 et 24kg. Sucre en lingots, en boites de 1 kg ou en fardeaux de 5kg. Sucres granulé en sachets de 1 à 2kg ou en sacs de 50kg. a distribution de ces produits à l’intérieur du pays se fait à travers un réseau commercial constitué d’agences dans les principales villes (Rabat, Casablanca, Fès, Agadir et Safi).
CHAPITRE II . 1. RAFFINAGE : Le raffinage est un ensemble de traitements qui a pour but l’obtention du sucre blanc à partir du sucre brut. Il consiste ? débarrasser le sucre des impuretés organiques ou minérales se trouvant sur le cristal de sucre ou à rintérieur. Le sucre brut traité à la COSUMAR est essentiellement un sucre e canne qui provient du Brésil à 98%, les 2% restantes sont constituées par du sucre de betterave du Maroc. Le sucre importé qui arrive par bateau est transporté par des camions en vrac jusqu’à l’usine.
Les camions sont pesés à l’entrée avant et après la décharge dans les trémies des silos pour contrôler le poids du sucre réceptionné. Le sucre brut reçu est ensuite transféré par le biais de bandes ge dont la capacité est de transporteuses iusqu’aux PAGF s 5 la capacité est de 75000 tonnes. Des convoyeurs alimentent continuellement fusine depuis les silos avec un débit de 80 à 120 onnes par heure. .2. AFFINAGE : Comme tout produit brut, le sucre contient des impuretés aussi bien internes qu’externes. L’affinage a pour objectif, l’élimination des impuretés externes des cristaux de saccharose.
Il se fait par deux opérations : Empattage : le mélange de sucre brut avec un sirop appelé égout d’empattage. Turbinage- essorage : C’est la séparation des cristaux de sucre de l’égout. Le sucre dit « affiner subira par la suite une fonte. EXPLICATION EMPAITAGE Cette première étape vise à éliminer, par frottement, les impuretés externes qui entourent la surface des cristaux. Après le tamisage, le sucre brut est déversé dans une vis reliée à un empâteur d’une capacité de 270 hl muni d’un système d’agitation.
L’empâteur est muni dune double enveloppe permettant la circulation de la vapeur pour maintenir la température du mélange 500 – 550C Le sucre brut est donc mélangé avec de l’eau sucrée d’une température de 700C, ceci pour obtenir une pâte dite masse cuite d’empattage, ce mélange est réglé d’une façon à obtenir un brix de 90 — 92% à des conditions de température 500C et un pH de 8,2. FONTE La masse cuite est pompée dans trois fondolrs en série. Les ristaux sont fondus à l’aide de l’eau chaude d’une température de 600C et l’agitation pour obtenir un sirop avec un brix de 62 ? 65. Selon la qualité du sucre brut). La carbonatation a pour b ser la fonte de ses brut). La carbonatation a pour but de débarrasser la fonte de ses impuretés internes. Son prlncipe repose sur faddition d’un lait de chaud au sirop arrivant, où on fait barboter du C02 provenant de la centrale. La carbonatation permet non seulement déliminer quelques cendres mais aussi et surtout une décoloration du sirop allant jusqu’à 60 ‘h. Une bonne ou mauvaise carbonatation influera énormément sur a qualité de filtration.
C02 + ca (OH) 2 ca coa + H20 Cette étape permet l’élimination du reste des impuretés internes qui ne se sont pas précipités lors de la carbonatation par séparation liquide solide à l’aide de filtres. Afin de séparer le sirop et le précipité de la carbonatation, on installe huit filtres : six contiennent 80 poches et les deux autres 46. Ces poches sont enveloppees des toiles qui ne permettent que le passage du sirop seul, alors que les carbonates de calcium (CaC03) s’accumulent autour des toiles en formant un gâteau.
On obtient enfin un sirop filtré qui est envoyé vers un bac puis vers la écoloration. La couleur constitue un critère de base tant pour les transactions commerciales que pour le contrôle du processus de fabricatlon. Il est vrai que la commune filtrée est d’un degré de pureté assez élevé mais elle renferme encore des matières colorantes n’ayant pas été retenues par filtration : cela dit, une opération de décoloration s’avère necessaire. .A la Compaenie Sucrière e Raffinage on procède s’avere nécessaire. A la Compagnie Sucrière Marocaine et de Raffinage on procède par la décoloration sur résine : La décoloration sur résine : La station de décoloration sur résine omporte trois colonnes échangeuse. Leur travail se fait d’une manière continue : pendant que deux colonnes sont en phase de production et de filtration, la troisième est en régénération ou en attente. Pendant la phase de décoloration, la résine se charge en matières colorantes et en anions divers, elle se sature au cours du temps.
Après décoloration sur résine, le sirop obtenu appelé raffinade, a une pureté d’environ et un Brix de 60 à 650. Cette raffinade sera concentrée par élimination d’une partie de son eau. La vapeur qui circule à 1250C, à travers des faisceaux tubulaires, ède sa chaleur latente par conduction à la raffinade, l’eau est ainsi évaporée et la vapeur condensée. Cette évaporation se fait sous vide partiel pour abaisser le point d’ébullition de la raffinade et éviter la caramélisation du sucre.
La raffinade concentrée sort de l’évaporateur avec un Brix compris entre 70 et 750 Ces derniers sont alimentés par la vapeur parvenue du bouilleur, c’est un appareil producteur de la vapeur, il est alimenté par la vapeur d’échappement issue des turbo – alternateurs. 5 dégrade et provoque sa coloration. Pour éviter ces inconvénients, l est important de cuire les solutions sucrées à une température la plus basse possible, en faisant des cuites sous vide afin d’abaisser le point débullition des solutions. Le Slrop évaporé passe ainsi de la sous saturation à la saturation puis à la sursaturation.
Le procédé de la cristallisation se compose de plusieurs étapes : a Le départ du cycle : Le bac avant cuite doit être à de niveau. b Le pied de cuite : Il consiste à remplir l’appareil à cuire jusqu’? immerger les faisceaux. c La concentration : Elle vise à concentrer la solution, on éliminant l’eau afin d’atteindre la sursaturation. e Brix atteint est de 80%. d Le grainage :Cest un grainage par ensemencement, il se fait par injection des cristaux de produit finis dans la solution à cristalliser (semence =alcool + sucre granulé). La monté ou nourrissage : Dans cette étape, la sursaturation est maintenue à une certaine valeur pour que les cristaux se nourrissent régulièrement sans qu’il y ait une formation de nouveaux germes. f Le serrage : Cest la phase finale de la cuisson, il a pour but d’améliorer le rendement en cristaux et rmeux epulser l’égout mère (eau sucrée). Le serrage se fait par fermeture de la vanne ‘alimentation en sirop à de brix mais les vannes de vide et de la vapeur restent ouvertes pour évaporer le sirop. Coulée : Fermeture de la vanne de vide et vapeur, ouverture du casse-vide, puis ouverture de la vanne de vidange de l’appareil ? cuire. h Rinçage : Il consiste à dégraisser l’appareil ? vanne de vidange de l’appareil à cuire. h Rinçage : Il consiste à dégraisser l’appareil à cuire à l’aide de la vapeur puis de l’eau chaude. L’étape du malaxage permet de continuer le processus de cristallisation par brassage de la masse cuite. Ce mélange en continu a pour but de faciliter le transfert de saccharose de l’eau ère vers le sucre : d’autres cristaux de saccharose vont se former.
Ily a appauvrissement de l’eau mère : c’est le procédé d’épuisement. Les analyses effectuées sont • Le brix est le pourcentage de matière sèche dans 100g de sirop. La matière sèche représente le saccharose plus le non saccharose. Ainsi pour mesurer le brix, on procède de la manière suivante on pèse de l’échantillon que l’on dilue avec d’eau. Puis ? l’aide du refractomètre (appareil de mesure du brix) on obtient la valeur du brix. On procède à une dilution parce que le refractomètre ne dépasse as 50, donc pour avoir la vrai valeur du brix appelée brix réelle il nous suffira de multiplier le résultat obtenu par 2. . pH Il se mesure à Faide d’un pH-mètre. La mesure est très simple il suffit juste de tremper le pH-mètre dans chaque solution diluée en prenant la précaution de le laver à chaque fos que l’on passe d’une solution plus colorée au moins colorée. Cela permet de ne pas influencer les résultats. On peut aussi commencer par la solution moins colorée au plus colorée, dans ce cas on n’aura pas à laver le pH- mètre entre cha ue mesure. Avant de passer au spectr qui permet de mesurer la