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Document 1 Définition Les membres d’un réseau social d’entreprise sont regroupés en communauté à des fins professionnelles et sont liés par plate- forme applicative réunissant les employés d’une entreprise, ses clients, ses actionnaires ou ses partenaires. Au-delà des commun sur les notions suiva Fiche ou profil enrich collaborateurs et de org Sni* to View ‘entreprise se base pertise des Mur de suivi d’activit : permet d’avoir une vision consolidée de l’activité de son écosystèmes (collègues, communautés, échange autour d’une thématique, etc. Un réseau social d’entreprise est équivalent à un réseau social ? grand public Les membres d’un réseau social d’entreprise sont généralement basés sur le flood inventoriant des carnets d’adresses, l’échange sur des projets, le partage de documents entre individus est impossible dans la même entreprise. À titre d’illustration sur ces entreprises étendues, on peut citer Redbullw ou Disneym. … ]lJn réseau social d’entreprise offre également des usages concrets et innovants pour la fonction RH d’une entreprise, grâce à la dimension collaborative d’un tel outil : partage des présentation du document 1 Titre • Définition d’un réseau social d’entreprise Nature . Texte Source : http://fr. wikipedia. org/wiki/R%C3%A9seau_social d%27entreprise Date . 6 octobre 2013 Idées générales : Membres regroupés dans une communauté dans un but professionnel, Plate-forme réunissant les acteurs de l’entreprise (membres d’une entreprise, ses clients, ses actionnaires ou ses partenaires), Usages « concrets et innovants pour la fonction RH » : partage des connaissances, échange d’informations, renforcement de la proximité entre la fonction RH et les collaborateurs. ravers ces réseaux sociaux, ce qui change le paradigme de la osture du manager, où la primeur de l’information n’est plus garantie, mais où sa capacité à donner du sens à celle-ci devient essentielle. Tableau de présentation du document 2 Intérêts des Réseaux Sociaux d’Entreprise dont on a fait évoluer les fondements de la légitimité des compétences techniques (le savoir-faire) aux compétences comportementales (le savoir-être).

En visant, par-delà le contenu de ses missions, le fameux « leadership managérial », dans une organisation où le manager est en passe de ne plus jouer le rôle central, ou du moins pas de la même manière. L’histoire récente a montré la performance des organisations dites collaboratives, à l’instar des « Californiennes » du type de Google, qui valorisent les équipes en leur donnant tous les moyens nécessaires à leur expression. Et ce, dans une double rencontre de la technologie 2. et des attentes générationnelles, axées sur un mode relationnel plus ouvert, où l’on va chercher informations, compétences, alliés, voire hors du cadre de l’équipe naturelle, au sein d’une ou plusieurs communautés, le plus souvent virtuelles. On peut légitimement se poser la question de la place et du ôle du manager dans ce paysage changeant, avec des attentes nouvelles en matière de relation hiérarchique, notamment chez les jeunes générations. Paradoxalement, dans un monde de plus en plus ouvert, le manager demeure le référent sur lequel se focalisent bon nombre des attentes.

Toutes nos études montrent l’importance des qualités de proximité relationnelle des managers, tant dans le soutien soclal et technique en cas de difficulté, dont on sait que c’est l’un des meilleurs facteurs de protection contre le stress et le burn-out, que dans la capacité ? donner du feedback, à porter un message stratégique avec des ats simples sur le terrain, ou à favoriser le developpement de ses collaborateurs. Si les reseaux sociaux lui permettent d’étendre son action auprès de l’ensemble de ses PAGF collaborateurs.

Si les réseaux sociaux lui permettent d’étendre son action auprès de l’ensemble de ses collaborateurs, même les plus éloignés, dans un « coaching collaboratif », rien ne remplacera le « one to one » des relations interpersonnelles : qu’il s’agisse de créer et développer de la confiance, voire de la complicité ou de donner un retour sur la performance individuelle, voire de recadrer. Sans ublier la part de l’informel dans la qualité de la relation, tant par ce que l’on peut faire passer par ses attitudes et postures que par la nécessité de ne pas tout consigner (écrire, c’est aussi laisser une trace numérique).

Nous accompagnons de plus en plus souvent les managers dans ces changements comportementaux au sein d’organisations dont certaines commencent à se soucier, non seulement du résultat, mais aussi de la manière dont il a été atteint. [… l Tableau de présentation du document 3 Titre Manager à l’heure des réseaux sociaux Nature http://lecercle. lesechos. fr/entre rises-marches/management/rh 221154433/manaeer. -he sociaux réunissant les acteurs de l’entreprise (membres d’une entreprise, ses clients, ses actionnaires ou ses partenaires), Document 2 Plus d’innovation Résolution de problèmes grâce à la collaboration d’autres membres Moins de différences dans les organisations hiérarchiques verticales Plus de fédération Moins de mails Lien direct entre la Direction et les Salariés Document 3 Un quart des entreprises ont mis en place un réseau social Interne Coupe une partie des salariés (ceux n’ayant pas accès au numérique) Interrogations sur la place du manager dans cette nouvelle ère

Mode relationnel plus ouvert, recherche d’informations, compétences, alliés, reconnaissance et légitimité en dehors du cadre naturel du salarié Problématique Quel est le rôle des réseaux sociaux d’entreprises dans le management des ressources humaines ? Synthèse un but de collaboration professionnel plus étroite. Il se compose de profils pour chacun des membres mettant en avant les caractéristiques d’un employé, ses centres d’intérêts, ses compétences, et d’un mur de suivi qui permet aux membres d’avoir une vue générale de la vie de l’entreprise et d’échanger avec tel ou tel membre du réseau. f document 1) De plus, en matière de relations humaines, ce réseau social permet de partager des connaissances, de transmettre des savoirs, d’échanger des informations, de mettre en place des projets. Cela permet de réduire les difficultés de communication entre la direction et les employés, de réduire également l’impact écologique (en réduisant l’utilisation des feuilles pour les notes de servlces par exemple), de faciliter l’accès à l’information propre ? l’entreprise, et encore bien d’autres choses. cf document 1) Ensuite, au sein d’une entreprise, un réseau social permet au alarié d’avoir un mode relationnel plus ouvert, de rechercher des informations plus facilement, d’accéder à des informations de qualité en temps et en heure, de rechercher des compétences plus précises et d’alliés reconnaissance et légitimité en dehors de son cadre naturel. De nos jours, un quart des entreprises ont mis en place un réseau soclal dit interne.

Le réseau soclal permet également de résoudre des problèmes internes à l’entreprise en ayant recours aux collaborateurs de cette même organisation. Cela permet également de mettre en place plus de projet d’innovation en faisant appel plus facilement à la participation es membres du réseau. Ce réseau social aussi appelé intranet permet une fédération des employés et plus de communication au sein d’organisation à hiérarchie élevée. fédération des employés et plus de communication au sein d’organisation à hiérarchie élevée. (cf document 2 et 3) Néanmoins, cette révolution dans la communication au sein d’une entreprise pose certains problème, comme la mse ? l’écart des employés n’ayant pas accès au numérique bien que la démocratisation des Smartphones et autres appareils de communications permet de réduire les inégalités d’accès à l’ère du numérique.

Cela pose également la question du mangement en lui-même. A quoi doit ressembler le mangement d’aujourdlhui ? Quelle est la place du manager de nos jours ? (cf document 2 et 3) Peut on parler de dilution des pouvoirs ? Cette étude a permis de constater le rôle grandissant des réseaux sociaux au sein des entreprises d’aujourd’hui. Il est maintenant clair que l’intranet est un atout pour l’entreprise, mais qu’il reste néanmoins des difficultés à résoudre.

On en peut échapper à ce phénomène en raison de la démocratisation des réseaux sociaux d’entreprises. Les petites comme les grandes ntreprises, ou plutôt leur direction voit les réseaux sociaux comme un moyen économique de communiquer entre salarié et le phénomène étant à la mode les patrons, directeurs ou PDG voit leur investissement envers ces réseaux comme un moyen de se conformiser face à la masse.

De mon point de vue, c’est une avancée à prendre avec précautions, car il faut néanmoins garder un certain contact humain au sein d’une sphère de travail. Quelle est donc l’avenir des réseaux sociaux d’entreprises ? Vont- ils continuer à se développer ? Ou au contraire s’éteindre pour laisser place à une autre innovation encore ?