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Étude de cas 1 a) Depuis quelques années, la popularité de l’environnement a atteint des sommets. Une très grande proportion des entreprises soutiennent renvironnement en l’instaurant des politiques à propos de ce sujet. C’est le cas de plusieurs entreprises offrant des produits informatiques. Dans ce texte, nous allons résumer les grandes lignes de la politique d’environnement de la compagnie Apple, l’un des chefs de fils dans la vente de matériel informatique. ? la suite de l’analyse de la section environnement du site Web de la compagnie Apple, il est possible de voir lusieurs stratégies pour appuyer la politique environnementale, et ce, pour assurer que l’aspect écologique de l’ensemble de ses Swipe to nex: page produits soit optimal. sur trois sujets pour or 13 Ces trois sujets sont I chu’. • toxiques et les resso pour débuter, Appl Ier principalement etit sur la planète. ques, les substances e stratégie de minimiser les actions de son entreprise qui pourraient avec des effets sur les changements climatiques.

Il est nécessaire de bien comprendre le terme « changements climatiques » pour mieux analyser les politiques d’Apple. Il est possible de définir ce terme omme étant « des changements du climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter ? la variabilité naturelle du climat observée au cours de périodes comparables. » 1. Il est poss possible de lire sur le site Web d’Apple un extrait qui résume leur action pour contrer les effets des changements climatiques . ? Pour ce faire, nous ne nous servons pas des modèles standards de l’industrie : nous faisons une analyse complète du cycle de vie qui en mesure l’empreinte carbone d’un bout à l’autre, de orte que chaque aspect est soigneusement pris en compte. Cela signifie que nous additionnons les émissions produites par la fabrication, le transport, l’usage et le recyclage de nas produits, ainsi que celles générées par l’ensemble de nos installations.

Et tandis que nous travaillons à nous améliorer, nous faisons connaitre nos résultats en continu. » 2. En 2013, l’empreinte carbone de cette entreprise était de 33 800 0002 tonnes métriques d’émissions de gaz à effet de serre. À partir de ces résultats, il est possible pour l’entreprise de suivre les progrès de manière très précise. Ce moyen d’analyse est très tile pour voir les effets positifs ou négatifs pour l’environnement des différentes solutions proposées et mises en action.

De plus, Apple a créé des usines utilisant 100 % d’énergie renouvelable (panneaux solaires, éoliens, petites centrales hydroélectriques et géothermie) 2 pour diminuer au maximum son impact sur les changements climatiques. Deuxièmement, Apple tente de réduire au maximum futilisation de substances toxiques lors de la fabrication de l’ensemble de ses produits. Il existe un grand éventail de substances toxiques et Apple a produit une liste de ceux qui ont les plus grands effets, oit le mercure, le plomb, l’arsenic, le PVC, l’ignifugeant bromé et les phtalates.

En effet, il est po 13 mercure, le plomb, l’arsenic, le PVC, l’ignifugeant bromé et les phtalates. En effet, il est possible de lire sur le site Web de cette entreprise ceci : « Nous avons éliminé de nombreuses substances toxlques de la conception de nos produits et nous nous efforçons de faire en sorte que cela reste ainsi » 3. Pour cette entreprise, aucun produit ne devrait être dangereux pour la santé de l’environnement, de ceux qu’ils l’utilisent et pour ceux qui le fabriquent. Donc, pour chaque produit, Apple rédige un apport précis sur leur composition.

De plus, dans les installations d’Apple, il est possible de mesurer leur taux de toxicité et tenter de réduire au maximum ce taux. Troisièmement, les ressources de la planète ne sont pas nécessairement renouvelables, donc Apple tente de minimiser l’utilisation de ressources non renouvelable par l’utilisation de matière recyclée. Il est possible de lire sur leur site Web ceci : « Nous avons mis au point des solutions novatrices pour réduire au minimum l’impact environnemental de nos matières premières en favorisant les matériaux recyclés, recyclables et égétaux renouvelables » 4.

Cette stratégie permet de diminuer nettement futilisation de matériaux non renouvelable et dommageable pour l’ensemble des populations présentes et futures. Pour conclure, il est possible d’affirmer qu’Apple a fait d’importants progrès depuis sa fondation en fonction de l’environnement. Il est d’autant plus intéressant que cette entreprise tente de minimiser encore plus son empreinte écologique et de toujours augmenter leurs progrès quant ? l’environnement. Personnellement, je crois que cette entreprise leurs progrès quant à Penvironnement.

Personnellement, je rois que cette entreprise est un exemple à suivre pour d’autres entreprises, peu importe dans quel marché elles se retrouvent. b) À la suite de l’analyse des politiques environnementales de l’entreprise Apple, il est possible de comparer ces politiques aux recommandations produites par le Club Informatique des Grandes entreprise françaises. Dans les prochains paragraphes, il sera possible de voir une comparaison entre leurs recommandations et les stratégies d’Apple.

Pour débuter, le club propose de bien analyser le cycle de vie des produits. Il est possible de lire dans leur rapport ceci : « ycle de vie des produits : idéalement et autant que possible, allonger la durée de vie des matériels, ou à défaut, privilégier es matériels recyclés ou d’occasion (ou à défaut, ou labellisés), et dont la durée d’utilisation est plus longue » 5. Après l’analyse des stratégies d’Apple, il est possible d’affirmer que cette compagnie utilise cette recommandation dans l’établissement de rapport pour l’ensemble des produits.

Deuxièmement, il est possible de mentionner qu’Apple incite ses fournisseurs à utiliser une approche plus verte dans la vente de produit. Comme Apple désire minimiser les substances toxiques t utiliser des matériaux renouvelables, il est nécessaire de produire des ententes avec les différents fournisseurs. Cette relation avec les fournisseurs entre dans les recommandations du club. Troisièmement, il est possible d’affirmer qu’Apple utilise la recommandation du greenwasing.

Il est possible de lire dans le rapport du club ceci : « pour se prémunir c 3 rapport du club ceci : « pour se prémunir contre ce risque, les entreprises utilisatrices peuvent demander aux fournisseurs IT de leur présenter une liste de leurs matériels écoresponsables, leur bilan environnemental, ainsi que leur politique interne DD/RSE. ? 5. En connaissant la liste de substances les plus toxiques et en tentant de les réduire au maximum, il est possible de mentionner qu’Apple tente le plus possible d’exécuter la recommandation de greenwashing produite par le Club Informatique de Grandes entreprises françaises.

Bref, pour conclure, il est possible d’affirmer qu’Apple a mis en place plusieurs recommandations du club. Il est toutefois très important de toujours tenter de diminuer constamment les impacts environnementaux que l’entreprise produit. La continuité est un aspect primordial pour l’amélioration de l’environnement dans le futur. Étude de cas 2 ) L’implantation des nouvelles technologies au sein des différents établissements de santé peut engendrer des conflits entre les différents membres y travaillant. ? la suite de la lecture de l’article de Grosjean et Bonneville « Logique d’implantation des TIC dans le secteur de la santé » 6, il est possible de bien comprendre qu’il existe au sein des établissements de santé deux types de logique permettant l’implantation des nouvelles technologies, soit la logique technico-économique et la logique médico-intégrative. Ces deux logiques possèdent un fondement très différent et à la suite de la lecture des prochains aragraphes, il sera possible de mieux les comprendre et de les d PAGF s 3 prochains paragraphes, il sera possible de mieux les comprendre et de les différencier.

Premièrement, il est possible de résumer la logique technico-économique comme suit : « La logique technico-économique, généralement chapeautée par les décideurs, donne un rôle essentiellement budgétaire et opérationnel aux TIC » 6. Il est donc possible de mentionner que cette logique est produite principalement par les décideurs et les gestionnaires. Cette logique est centrée sur les exigences de productivité et les exigences économiques.

Par contre, cette ogique restreint énormement les professionnels de la santé travaillant sur le terrain. II est possible de lire dans l’article de Grosjean et Bonneville ceci à propos de l’approche technico- économque : « Sur le terrain de la pratique médicale, cette surveillance repose sur la volonté de contraindre les professionnels de la santé à se conformer, voire à se soumettre, ? ce qui est déjà prévu, conçue, planifiée, standardisée, comme tâches à accomplir dans une temporalité donnée. » 6.

Donc, il est possible d’affirmer que cette approche tient beaucoup plus compte des aspects techniques et économiques que l’aspect lexibilité que certains soins de santé peuvent nécessiter. Deuxièmement, la logique médico-intégrative est très différente de la logique résumée précédemment. Il est possible de lire dans l’article de Grosjean et Bonneville ceci à propos de la logique médico-intégrative : « Les professionnels de la santé pensent, de façon générale, que les TIC peuvent et doivent s’intégrer à leur pratique quotidienne afin d’améliorer la qualité du travail médical, des soins et des services.

C 6 3 pratique quotidienne afin d’améliorer la qualité du travail médical, des soins et des services. Cette amélioration repose sur des considérations fondamentalement différentes, mais non forcément incompatibles, avec l’objectif d’être plus opérationnel tout en réalisant des économies. » 6. Donc, les professionnels de la santé travaillant directement avec les patients désirent avoir plus de flexibilité dans l’utilisation des TIC et que ces dernières s’intègrent à leurs pratiques et non l’inverse.

Par contre, il est possible de déceler une part d’ouverture des défendeurs de la logique médico-intégrative puisque ces derniers croient qu’il est possible de combiner les deux logiques pour prendre que ‘ensemble des membres des établissements de santé puisse retrouver une partie de leurs visions dans les TIC. Bref, les deux logiques sont très différentes dans l’approche des professionnels vers les utilisateurs du système de santé. ar contre, il est nécessaire de tenter de bien combiner les deux approches pour éviter d’importants conflits entre les gestionnaires et les professionnels de la santé. Les conflits engendrent d’importantes conséquences sur les services offerts aux utilisateurs et cela n’est pas souhaitable pour l’ensemble des membres des établissements de santé. ) Pour cette sous-question, j’ai décidé de discuter d’un des thèmes très populaires dans fintégration des technologies de l’information dans le système de santé, soit le dossier santé électronique.

Depuis plusieurs années, les instances gouvernementales québécoises produisent des études pour implanter dans l’ensemble du réseau de santé un dossier médical 7 3 québécoises produisent des études pour implanter dans l’ensemble du réseau de santé un dossier médical électronique. Plusieurs acteurs sont impliqués dans la production de ce projet d’une très grande ampleur.

Dans les prochains paragraphes, ous allons déterminer à quelle logique (technico-économique, médico-intégrative ou substitutive) ce projet de dossier médical électronique fait partie. Pour débuter, il est nécessaire de bien comprendre en quoi consiste le dossier santé électronique au Québec. Il est possible d’avoir acces à beaucoup d’information sur le dossier santé électronique (DES) sur le site du ministère de la Santé et des services sociaux du Québec.

Ce dernier définit le DES comme suit : « Le Dossier Santé Québec (DSQ) est un outil qui permet aux médecins et à d’autres professionnels de la santé d’avoir accès ? es renseignements jugés essentiels pour intervenir rapidement et assurer un suivi de qualité auprès de leurs patients. » 7. Sur le site Web du ministère de la Santé et des Services sociaux, il est possible de voir une énumération de rensemble des avantages du DSE du point de vue des dirigeants. Cela peut nous indiquer que le DES pourrait être produit dans une logique technico- économique.

L’ensemble de la population sait que de nombreuses coupes budgétaires ont lieu dans les établissements de santé, mais l’implantation du DSE poursuit. Donc, cela indique probablement que cela apporterait d’importantes économies en atière de santé. Il est possible de lire dans un rapport produit par l’Association canadienne de la protection médicale qui compare l’implantation des DSE dans les différentes provi 3 la protection médicale qui compare l’implantation des DSE dans les différentes provinces canadiennes.

Il est possible de lire dans la conclusion de ce rapport ceci : « Bien qu’il y ait des progrès dans le développement de la technologie et de l’infostructure, il y a, selon l’Association, un urgent besoin d’avoir un mécanisme de gestion de l’information ainsi que des politiques et des normes appropriées. À titre de dépositaires des renseignements ersonnels sur la santé, les médecins ont une responsabilité éthique et un rôle important à jouer pour veiller à ce qu’un tel cadre de travail et les protocoles connexes soient en place. » 8.

Ce court extrait de la conclusion du rapport de FACPM permet de voir que la situation du DSE fait partie de la logique technico- économque puisque malgré l’innovation, le OSE n’est pas nécessaire adapté à la réalité des différents professionnels de la santé et qu’il est nécessaire de modifier les protocoles pour mieux répondre aux besoins de la population. Comme la situation économique du Québec est difficile depuis uelques années, il est possible de croire que la logique derrière le DSE est une économie d’argent lors de la prestation de soin de santé.

Cela fait partie de la logique technico-médicale. Pour assurer le succès de ce projet, il sera nécessaire d’adapter le Ti aux besoins des travailleurs de la santé. Étude de cas 3 a) À la suite d’une recherche sur le site Web de l’Organisation des Nations Unies, il m’a été possible de découvrir plusieurs politiques et projets pour développer l’accès universel aux technologies de l’information. Il est possible de mentionner que l’accès aux Tl PAGF 13