Image de la pièce de Théâtre de Molière, Les Fourberies de Scapin, avec Scapin et Argante, Acte I, scène 4. Scapin : Eussiez-vous voulu qu’il se fut laissé tuer ? Il vaut mieux encore être marié, qu’être mort. Argante : On ne m’a pas dit que l’affaire se soit ainsi passée. Scapin : Demandez-lui plutôt. II ne vous dira pas le contraire.
Argante : Cest par fo Extrait de la pièce de Scapin, Acte l, scène or7 Sni* to View Fourberies de Je trouve que cette image est intéressante et correspond parfaitement à l’extrait (ci-dessus), car sur l’image on peut percevoir Scapin qui fixe Argante du regard et ce dernier fixe Scapin du coin de l’œil. Dans l’extrait que j’ai choisit, on peut imaginer, sans avoir vu ou lu la pièce de Théâtre, que Scapin et Argante chuchotent entre eux. On peut facilement lier cette image a cet extrait parce que quand Scapin pose sa question (au début de l’extrait) on voit sur l’image qu’il se penche vers Argante en attente de sa réponse.
Scapin, avec Scapin et Géronte, Acte Ill, scène 2. c’était sur mon dos qu’il frappait. Extrait de la pièce de Théâtre de Molière, Les Fourberies de Scapin, Acte Ill, scène 2, créée en 1671. percevoir Scapin avec un bâton dans les mains levé en l’air et Géronte qui est dans un sac avec la tête qui sort. Dans l’extrait que j’ai choisit on peut bien visualiser la scène, sans même l’avor lu ou vu, parce que dans l’extrait il y a une didascalie qui dit : « mettant la tête hors du sac » et sur l’image on peut voir que Géronte sort seulement la tête du sac.
Image de la pièce de héâtre de Molière, L’Avare, avec Harpagon et La Flèche, Acte l, scène 3. Harpagon : Qu’est ce que tu parles de voler ? La Flèche : Je dis que vous fouillez bien partout, pour voir si je ous ai volé. Harpagon . C’est ce que je veux faire. II fouille dans les poches de La Flèche. La Flèche : La peste soit de l’avarice et des avaricieux ! Extrait de la pièce de Théâtre de Molière, L’avare, Acte l, scène 3, créée en 1668. arfaitement à l’extrait (ci-dessus car sur l’image on peut apercevoir La Flèche avec I l’air se faisant fouiller par ou vu, grâce a la didascalie : » Il fouille dans les poches de La Flèche. » et sur l’image on voit clairement que Harpagon fouille les deux poches de La Flèche. On peut voir aussi que l’acteur qui joue La Flèche sur la photo, a la bouche ouverte on peut penser qu’il commence a dire sa réplique : » La peste soit de l’avarice Image de la pièce de Théâtre de Jean Genet, Les Bonnes, avec Claire et Solange, Acte l, scène 1.
Solange s’accroupit sur le tapis et, crachant dessus, cire les escarpins vernis. Je vous ai dit, Claire, d’éviter les crachats. Qu’ils dorment en vous, ma fille, qu’ils y croupissent. Ah ! ah vous êtes hideuse, ma belle. Penchez-vous davantage et vous regardez dans mes souliers. (Elle tend son pied que Solange examine. ) Pensez-vous qu’il me soit agréable de e savoir le pied enveloppé par les voiles de votre salive ? Par la brume de vos marécages ? ‘ Extrait de la pièce de Théâtre de Jean Genet, Les Bonnes, Acte l, scène 1, créée en 1947. percevoir Solange qui s’accroupit, nettoie et crache sur les escarpins de Madame. Dans l’extrait que j’ai choisit on peut visualiser la scène, on peut voir que (grâce a la didascalie . escarpins vernis. « ) cela représente bien l’image. Image de la pièce de héâtre de Jean Genet, Les Bonnes, avec Claire et Solange, Ac PAGF3C,F7 bien l’image. » Solange, à genou et très humble : Je désire que Madame soit elle. Claire, elle s’arrange dans la glace : Vous me détestez, n’est-ce pas ? Vous m’écrasez sous vos prévenances , sous votre humilité, sous les glaïeuls et le réséda. percevoir Solange a genou derrière Claire comme l’explique la didascalie dans l’extrait (ci-dessus) et Claire s’arrangeant dans le rmroir. Dans l’extrait que j’al choisit on peut bien visualiser la scène, même si on a pas vu ou lu la pièce de théâtre, on peut voir aussi que Solange écoute attentivement ce que dit Claire. Image de la pièce de Théâtre de ean Genet, Les Nègres, avec Archibald, Acte I, scène 1. Dieudonné Village (il s’incline) Mademoiselle Adélaide Bobo (elle s’incline) Monsieur Edgar-Hélas Ville de Saint-Nazaire (il s’incline) Madame Augusta Neige (elle reste droite) eh bien… h bien, madame (en colère et tonnant) saluez ! (Elle reste droite) Je vous le demande, saluez, madame ! (Extrêmement doux, presque peiné. ) Je vous le demande, saluez. madame, c’est un jeu (Neige ‘incline) Madame Félicité Gueuse-Pardon (elle s’incline) et mademoiselle Diop, Etiennette-Vertu-Rose-Secrète. Mesdames, messieurs, pour vous servir nous utiliserons nos fards d’un beau noir luisant. Nous nous embellissons pour vous plaire. Vous êtes blancs. Et spectateurs. Ce soir nous jouerons pour vous… Extrait de la pièce de Théâtre de Jean Genet, Les nègres, Acte l, scène 1, créée en 1958. parfaitement à l’extrait (ci-dessus), car sur l’image on peut voir Archibald qui dit sa longue tirade et les autres membres. Dans l’extrait que j’ai choisit on peut bien visualiser la scène, même si on a pas vu ou lu la pièce de théâtre, grâce au didascalie » elle s’incline » etc on peut voir sur l’image les femmes en robe, a premier coup d’œil on dirait des Reine. Image de la pièce de héâtre de Victor Hugo, Ruy Blas, avec La Reine et Ruy glas, Acte V, scène 4. La Reine, se levant et courant vers lui : Que fait-il ? Ruy Blas. posant la fiole : Rien. Mes maux sont finis. Rien. Vous me maudissez, et m Ruy Blas, posant la fiole : Rien. Mes maux sont finis. Rien. Vous me maudissez, et moi je vous bénis. Voilà tout. La Reine, éperdue : Don César ! Ruy Blas . Quand je pense, pauvre ange, Que vous m’avez aimé ! Extrait de la pièce de Théâtre de Victor Hugo, Ruy Blas. Acte V, scène 4, créée en 1838. apercevoir Ruy Blas mourant et La Reine essayant de le garder en ie.
Dans l’extrait que j’ai choisit on peut imaginer la scène, même SI on a pas vu ou lu la pièce, car Ruy Blas a bu du poison donc il s’écroule sur le sol mais La Reine essaye de le garder en vie. Reine et Ruy glas, Acte l, scène 1. Don Salluste, appelant : Ruy Blas ! Ruy Blas. se présentant à la porte au fond : Votre excellence ? Don Salluste : Comme je ne dois plus coucher dans le palais, il faut laisser les clefs et clore les volets. Ruy Blas, s’inclinant : Monseigneur, il suffit. » Extrait de la pièce de Théâtre de Victor Hugo, Ruy Blas, Acte l, scène 1, créée en 1838. rfaitement à l’extralt (ci-dessus), car sur l’image on peut voir Ruy Blas assis sur une chaise a droite de l’image (ci-dessus) et Don Salluste a gauche au milieu de la salle se tenant devant Ruy Blas. Dans l’extrait que j’ai choisit on peut bien visualiser la scène sans même l’avoir vu ou sans même l’avoir vu ou lu car grâce au didascalie qui dit : présentant à la porte au fond » et » s’inclinant » sur l’image on peut voir que Ruy Blas s’incline légèrement vers l’avant. Image de la pièce de Théâtre de Victor Hugo, Hernani, avec Dona Josefa et Don Carlos, Acte l, scène 1.
Doha Josefa : Vous m’avez défendu de dire deux mots, maitre. DON CARLOS : Aussi n’en veux-je qu’un. – Oui, – non. – Ta dame est bien Doha Sol de Silva ? Parle. Dona sol de Silva ? parle. Dona Josefa : Oui. – Pourquoi ? DON CARLOS : Pour rien. Le duc, son vieux futur, est absent ? cette heure ? Doha Josefa : Oui. DON CARLOS : Sans doute elle attend son jeune ? Dona Josefa : oui. DON CARLOS : Que je meure Dona Josefa : Oui. » Extrait de la pièce de Théâtre de Victor Hugo, Ruy Blas. Acte l, scène 1, créée en 1830. Je trouve que cette ima sante et correspond Je trouve que cette imaee est intéressante et correspond