Apple : Une façon de penser et de consommer. Nous allons vous présentez Apple à travers l’objet qui a mené la marque au sommet : L’Ipod. Et c’est avec l’évolution de celui-ci qu’un certain pourcentage de cette classe préféreront jouer à Candy Crush ou Angy bird sur leur Iphone que d’écouter cet exposé. Introduction Apple est une société multinationale fondée en avril 1976 par Steve Jobs et Steve Wozniak. Dès son origine, Apple s’est imposée comme innovateur technologique dans la micro-informatique d’entreprise et grand public (Apple Il, Macintosh, iMac… ).
Son activité principale est ntégrant un système exp org stable. Apple s’est distingué secteur : en 1998, en Sni* to View es ordinateurs utilisation, intuitif et tendance » dans son ultés que connaît Apple devant la concurrence grandissante des PC, la société sort les iMacs colorés, introduisant la dimension « design » dans l’informatique. L’ordinateur ne doit plus être seulement un objet technologique, pratique et faisant gagner du temps, mais il se doit aussi d’être beau, élégant et ergonomique. Au début des années 2000, la société souhaite diversifier ses activités en se lançant sur le marché des baladeurs MP3.
La volonté d’Apple est alors de concevoir une nouvelle catégorie de lecteur de musique numérique : plus compacte, avec une meilleure au Swipe to vlew next page autonomie et un design original, le produit reprendrait le concept « tendance » mis en avant par Apple lors de la sortie des iMacs. De ce contexte est né l’iPod : exclusivement compatible avec le Mat, ce lecteur de musique numérique portable sort en France ? la mi novembre 2001 au prix de 537 euros. Le marketing d’Apple Pendant quatre années, l’iPod a très largement dominé le marché des lecteurs Mp3.
En ne trouvant pas de solutions équivalentes à la technologie iPod, la concurrence a laissé Apple envoler ses ventes et développer non pas une culture lecteur mp3, mais une culture iPod. Depuis sa création en 2001, le lecteur d’Apple ne cesse d’innover (augmentation capacité de stockage, insertion vidéo, plus grande autonomie, et continue de tirer le marché vers le haut. Les concurrents n’ont plus qu’à se contenter des « miettes Pourtant, beaucoup de tentatives on été faites pour détrôner l’iPod de son statut de leader.
Pour la concurrence, chaque nouveau baladeur doit être un « iPod killer». En effet, pour battre le nouveau produit d’Apple, il ne faut pas seulement être une copie, mais être encore plus puissant et encore plus révolutionnaire. La présence d’Apple sur les ordinateurs et le mode de vie des utillsateurs de l’IPod se sont accrus considérablement ces dernières années. L’image d’Apple a pris une large avance avec l’iPod, ce qui lui donne l’opportunité de rattraper son retard sur le marché de l’informatique, qui a failli un jour la faire disparaître.
Pour rattraper son retard sur le marché de l’informatique, qui a failli un jour la faire disparaitre. Pour conserver son avance sur a concurrence, Apple cultive la communication de son iPod dans l’optique de devenir un véritable outil de communication publicitaire à lui tout seul. La cible d’Apple Pour le relooking de sa compagnie, Steve Jobs a redéfini son concept : « Think different » : il souligne la volonté d’appartenir à une minorité qui pense différemment.
La communauté Apple devient ainsi un « club privé» auquel on accède par l’achat d’un de ses produits. On arrive ainsi à appartenir, à être reconnu dans une mlnorlté qui se veut « cool Le marché des produits électroniques, et plus spécifiquement elui des lecteurs portatifs numériques, est en pleine expansion. La clientèle est jeune, apprécie le style et est prête à s’offrir du haut de gamme pour un produit considéré très branché qui peut lui permettre d’accéder à un statut spécial.
C’est un marché de niche, représentatif de l’identité d’Apple, et qui constitue son club d’utilisateurs « exclusif Mais lors du lancement de l’iPod, Steve Jobs est allé encore plus loin, en cholsissant pour marché Clble « les gens qui ne veulent pas toujours emmener avec eux des tonnes de CDs ». Cette définition explique ainsi pourquoi des gens de tout âge, avec n profil plus ou moins techniques, se précipitent pour acheter des iPods en magasin, alors que ces derniers n’ont pas même le temps de se réapprovisionner. Cette app magasin, alors que ces derniers n’ont pas même le temps de se reapprovisionner.
Cette approche pour définir un marché idéal part de l’idée suivante: pour localiser une très bonne opportunité, il faut trouver un problème et le résoudre. Le besoin est la caractéristique définitoire. Comme la musique fait partie de notre vie depuis toujours, l’iPod mélange très bien cet intérêt intrinsèque de l’homme avec la nouvelle technologie. Il s’adresse ainsi aux personnes du monde entier qui font confiance à la marque Apple. Le comportement des consommateurs d’Apple Les consommateurs de tous âges s’intéressent désormais à la musique numérique, aux MP3 players et aux accessoires.
Ils recherchent bien plus que le CD conventionnel, qui manque de flexibilité et offre seulement une heure de musique. Les gens se tournent de plus en plus vers la musique numérique, retrouvant la possibilité de personnalisation et le besoin immédiat d’être satisfait. Suite à différentes recherches, on a pu établir les principaux ritères des consommateurs lors du choix d’un lecteur portable MP3. un des plus importants est la capacité de la mémoire : le CD est délaissé, et le consommateur recherche une capacité mémoire accrue, pour pouvoir stocker sa musque et la faire suivre où il le souhaite.
Ensuite, l’appareil doit être petit et de bonne qualité. Si on investit une somme importante, le but est d’en profiter le plus longtemps possible. La qualité de la musique fait également partie des critères de plus longtemps possible. La qualité de la musique fait également partie des critères e choix. Mais il ne faut pas non plus négliger la durée de la batterie. Elle doit pouvoir soutenir le grand nombre de chansons enregistrées sur le disque dur.
En ce qui concerne la forme, on attend un joli design, avec un écran LCD sur lequel on peut voir le titre de la chanson, le nom de l’artiste, ainsi que le temps restant (et écoulé) afin de choisir facilement la musique. La facilité à transporter le produit et une écoute de bonne définition (ce qui implique des écouteurs de qualité) doivent être complétés par la facilité d’utilisation et du téléchargement. Les consommateurs recherchent donc toutes les caractéristiques mentionnées ci dessus pour pouvoir écouter leur musique préférée quand ils le veulent, par exemple en faisant du sport, en se promenant ou en voyageant.
En ce qui concerne la recherche d’informations précédant l’achat d’un MP3 Player, la majorité des gens font des recherches sur Internet (qui permet de trouver facilement de l’information et en abondance). Ils s’appuient aussi sur les conseils de professionnels ou de vendeurs en magasins spécialisés. Enfin, les avis des proches (famille, amis) et de leurs expériences passées vec différents produits (effet de bouche à oreille) influencent considérablement le choix du consommateur.
Michael Bull, spécialiste de l’impact culturel de la technologie ? l’Université Sussex en Angleterre, a étudié le comportement des utilisat de la technologie à l’Université Sussex en Angleterre, a étudié le comportement des utilisateurs d’iPod. Il distingue trois types de comportements : premièrement, l’iPod offre un meilleur contrôle sur la façon d’écouter de la musique. La grande capacité de stockage d’un baladeur à disque dur offre un grand choix de chansons, pour ne très large variété d’humeur. Ainsi, si quelqu’un n’a pas sur lui la musique qu’il veut écouter, il préfère ne plus rien écouter.
L’iPod parvient à très bien résoudre ce problème : la musique qu’il souhaite peut toujours être retrouvée, à n’importe quel moment de la journée ou l’activité. Les gens peuvent, en contrôlant leur environnement audio, s’échapper dans leur propre monde. Mais cela ne veut pas dire que l’iPod rend les gens associables ! Son deuxième effet est de rendre la musique (traditionnellement une activité sociale) encore plus sociale,il est toujours possible e partager sa musique avec des amis. Beaucoup d’utilisateurs se créent leurs propres compilations, par exemple pour que la famille puisse les écouter dans la voiture.
Finalement, on évalue l’impact de l’iPod sur la consommation de musique. La possibilité de mixer les chansons sans la contrainte physique des CDs peut miner la notion d’album en tant que « collection cohérente de musique Les musiciens peuvent toujours sortir des albums, mais cela pourrait devenir démodé, et avec la vente « track by track », les singles pourront revenir en force. Depuis l’introduction du vec la vente « track by – track P, les singles pourront revenir en Depuis l’introduction du baladeur numérique par Apple en 2001 , un écosystème entier s’est développé autour de lui.
La longévité d’une marque est fortement liée à son évolution. Il faut offrir une expérience inédite au consommateur, et celle – ci passe par une interaction personnelle et innovante avec le produit. C’est le point de contact entre le produit et le client qui différencie une marque sur le marché. Pour l’iPod, le consommateur participe à la marque iPod grâce aux personnalisations possibles : choix des couleurs et des imensions du produit, mais aussi choix dans la collection musicale de chacun. Posséder un iPod symbolise l’appartenance à une nouvelle société. C’est une nouvelle manière de consommer la musique.
Apple est une marque du quatrième étage. C’est une marque qui ne s’est jamais concentrée sur les produits mais avant tout sur la philosophie. La stratégie d’attaque et de séduction des marques les plus puissantes est de parler de tout sauf de leurs produits. C’est également valable pour les magasins d’usine et les centres de marques. pour créer la magie, il faut parfois aller en dehors de son métier, u rapport prix-produit, des lieux de distribution et commencer à faire rêver. Le magicien suggère toujours de regarder sa main alors que son autre main est dans votre portefeuille.
C’est exactement ce que fait Apple : il présente sa philosophie. Lorsque les directeurs financiers exactement ce que fait Apple : il présente sa philosophie. Lorsque les directeurs financiers du board d’Apple en Californie ont découvert qu’une publicité pour Apple ne montrait jamais le produit, ils ont pris les publicitaires pour des fous. Cet avlS n’était pas partagé par Steve Jobs qui est une sorte de patron n peu visionnaire et emblématique de sa marque. Il a souhaité poursuivre sur cette idée de la philosophie parce que cela correspondait à l’état d’esprit d’Apple depuis toujours.
En 1984, un spot de publicité d’Apple, diffusé une seule fois, a marqué ? jamais tous les esprit. Dans ce spat, des personnes regardaient un grand écran avec un air médusé. une gymnaste arrivait et brisait l’écran. Le slogan indiquait alors : « En 1984, l’informatique ne sera plus jamais comme elle est. Le Macintosh arrive. » À l’époque, on ne voyait déjà pas le produit. Apple ne représentait lors que 2 % du marché de l’informatique et pesait peu à côté de Compaq, de Hewlett-Packard ou d’IBM.
Mais Apple disposait d’un « truc» en or : la marque. Apple est descendu très bas dans les années 90. Steve Jobs était parti, le monde de l’informatique avait été repris par ce que l’on appelle des « gris », c’est-à-dire qu’il était banalisé. Lorsque Steve Jobs est revenu, il est arrivé avec de nouveaux produits dont l’iMac. Il a alors fait une percée absolument fabuleuse sur le marché. Comment ? Grâce à la couleur. Dans un domaine où les consommateurs demandaient du 512 gigahertz, du 200 méga- octe