La violence

Ces comportements peuvent êtr conscients ou non. Cette catégorie inclut la violence entre artenaires ou de parent à enfant, et différentes formes d’embrigadement ; le commises dans le ca l’organisation (clients a, Vien % des salariés déclar t DARES4. Au début de t celles qui so rs extérieurs rance, en 2013 d’un public sel 20 % des salari contact avec le public estiment subir cette violence4.

Violence d’État : les États pratiquent discrètement ou revendiquent selon la définition célèbre de Max Weber, un monopole de la violence légitime pour exécuter les déc Snipeto View nexr page décisions de justice, assurer l’ordre public, ou en cas de guerre ou isque de guerre (on tente alors de la légitimer par les doctrines de la « guerre juste Celle-ci peut dégénérer en terrorisme d’État ou d’autres formes de violence les plus extrêmes telles que le génocide ; Violence criminelle : le crime, spontané ou organisé, peut avoir des causes sociales, économiques, ou psychologiques (schizophrénie, etc. . Cette forme de violence est selon certains auteurs l’envers d’une violence étatique et/ou symbolique. Violence politique : la violence politique regroupe tous les actes violents que leurs auteurs légitiment au nom d’un bjectif politique (révolution, résistance à l’oppression, droit l’insurrection, tyrannicide, « juste cause »).

Certaines formes de réponses violentes mais proportionnées (et de résistance ou servant le rétablissement de l’ état de droit), quand d’autres solutions ne sont plus possibles sont couramment admise, par la morale et le droit et selon la doctrine des droits de l’homme ; en cas de légitime défense par exemple, ou d’état de nécessité, en cas de résistance à l’oppression d’une tyrannie. Violence symbolique : c’est notamment la thèse.