Fiche-Bac « Eden à l’Ouest »

Doit-on renoncer ans la société ? L’histoire se passe de nos jours. Elle débute en mer et nous ne pouvons définir le pays d’origine des émigrants car le réalisateur a créé leur langue. On verra le héros arriver par la suite en Italie puis en France. Elias, le héros, est parti chercher une vie meilleure à l’étranger. La fin ne nous dit pas si s Swige to next page son but est atteint car c’est un dénouement ouvert : c’est au pectateur d’imaginer la suite.

L’intrigue est en relation avec la biographie de l’auteur car Costa Gavras sait mieux que personne ce qu’immigrer signifie mais ce film n’est pas autobiographique. Ill. Les principaux axes de lecture. Un road-movie initiatique. Ce film est un road-movie initiatique car il se déroule sur la route. Ce récit ressemble à l’Odyssée d’Ulysse car le héros traverse des épreuves tout au long de son voyage et c’est à travers ces apprentissages qu’il se révèle psychologiquement. Le film est vu u point de vue de l’émigré.

On peut par exemple s’inspirer de la première scène où Elias arrive sur un camp de nudistes, nouvelle terre pour lui et il n’a aucun repère. Cest à partir de là que commence son aventure et sa quête d’une nouvelle identité. un témoignage sur le monde d’aujourd’hui. Ce film est un témoignage sur la vie des émigrés clandestins qui se font exploiter comme dans le cas présent, lorsqu’Élias travaille avec d’autres Immigrés dans une usine de recyclage et se font lamentablement exploités.

C’est aussi une satire sociale (une 2 dans une usine de recyclage et se font lamentablement exploités. C’est aussi une satire sociale (une critique) de l’indifférence, de l’égoïsme des habitants des pays d’accueil. Un message universel sur la solidarité et un hommage aux émigrants. Ce film est également un témoignage sur la solidarité car Elias se fait aider par les femmes tout au long de son parcours (Christina à l’Eden Club, la paysanne et la bourgeoise parisienne) mais aussi par des gitans ou d’autres émigrés.

C’est ainsi que son ompatriote lui donne de l’argent pour prendre le train pour paris ou il se fera aider par des vendeurs à la sauvette. IV. Appréciation personnelle. J’ai particulièrement aimé ce film car Costa Gavras traite un sujet sérieux, celui de l’immigration clandestine, sur un ton léger. Ce film n’accuse personne mais touche tout le monde.