Stav Problématique

C’est donc pour mon propre intérêt personnel que j’ai voulue S to page m’intéressé a la prod Mon stage c’est réali sur caillebotis de typ achète des porcelets p g ns en bâtiment dire que l’éleveur u’à une taille propice a la vente. L’entreprise ce Situe a Melrand dans le Morbihan, elle venait d’être fraichement rénové dans un but précis : optimisé l’élevage porcin avec des contrainte de santé. Dans les jours suivant nous avions décidé que ma problématique porterait sur ce thème.

Pour y répondre je vais commencer par présenter l’entreprise dans son intégralité puis parlé d’avantages sur la restructuration e l’élevage après l’arrêt des truies puis je termin terminerai par l’arrêt du second site de l’élevage et des perspectives futures. 1- L’HISTORIQUE, LE CONTEXTE GENERAL DE L’ENTREPRISE ET LE CHOIX DE PROBLEMATIQUE. Dans cette partie je présenterai l’historique de l’entreprise, son fonctionnement, son contexte général. A/ L’historique de l’entreprise. En 1984 Christian s’installe et crée un élevage de 50 truie naisseurs et 9 hectares de SAU pour seulement 1 IJTH.

En 1988 a 1992 première nouveauté : engraissement de porcelets, et augmentation du cheptel avec un passage a 100 ruies dont 50 truies en pleine air, rachat de 40 hectares et locations de 14 hectares. SAlJ. En 1998 Reprise d’une partie du troupeau truies des parents de Christian, passage donc a 300 truies naisseur et engraisseurs puis 220 truies. Il Yavait 21JTH avec un salarié a mi-temps ainsi que Jacqueline a mi-temps. En 2003 1’entreprise passe à 2. 5 UTH avec le passage du salarié a plein temps et donc création de L’EARL. Ensuite reprise de 24 hectares de terre pour une surface totale de 78 hectares SAI’.

En 2004 seconde reprise de truies et de l’atelier d’engraissement des parents de Christian sur un autre site. En 2006-2007 accident de Christian, Jacqueline s’occupe seul de l’entreprise c’est Impossible, passage obligatoire à 3 UTH et arrêt du label rouge en 2007, et passage de Jacqueline en plein temps. En 2012 le salarié tombe malade, donc il y’a un problème de main d’œuvre au niveau des truies sur pailles, et le pré-engraissement sur paille sur le second si 2 sur paille sur le second site. En 2013 arrêt de l’activité des truies et de passer en Post- Sevrage engraissement par achat de porcelets via une maternité collective.

En 2014 arrêt de l’activité du second site (celui des parents) pour ‘avoir qu’a ce concentré sur le site principal et passé a 1. 5 UTH. B) L’entreprise et son fonctionnement. -Avant la restructuration de L’EARL de Locsamzun -Un nombre de place (en autorisation) : de 220 truies et 18 cochettes, suivit de 864 porcs charcutiers et de 468 post- sevrages et sur l’autre site 612 places d’engraissement et 248 pré engraissement sur paille et de 240 post-sevrages. -L’alimentation des truies et porcelets était entièrement achetée. -D’une main d’œuvre : de 3 UTH en truie naisseurs engraisseurs. Aujourd’hui en 2014 1’EARL de Locsamzun c’est • Un assolement de 136. 56 ha SAO, et de Sha bande enherbé -Maïs et triticale auto-consommées, orge et blé vendue. Et achat de maïs humide entre 15 et 30 ha selon les rendements. Environ 97ha auto-consommé de l’exploitations et 23ha achetés donc en moyenne il y’a 1 1 Oha de stockée en silo couloir couvert. -Aujourd’hui du fait de la fermeture de 600 places charcutiers il ya d’avantages de vente de mais et de triticale donc plus de trésorerie disponible. -Un nombre de place engraissement 1995 en autorisation 600 a Bellevue donc reste 1395, nurserie 400 porcelet sevré a 28] 7. kg), post sevrage de (loa 15 kilo), il Yau 3 1395, nurserie 400 porcelet sevré a 28j (7. 5kg), post sevrage de (loa 15 kilo), il faura trop de place post sevrage, mais moins chargé le post sevrage par porc 216+486 places. -Une main d’œuvre de 2 UTH et réel 1. 5 UTH, du fait du problème de santé -un objectif : Essayé de trouvé un équilibre financier et humain du fait de l’obligation d’arrêté l’élevage de Bellevue, l’éleveur est en train de faire un point économique pour trouver le point d’équilibre, sans doute Mme Samson passera de plein temps à mi-temps. A terme il restera donc un UTH d’I -5.

Sans doute le recours au TESA (travailleur occasionnel) et ETA seront plus sollicité (problème de santé). Donc le système est inversée de l’achat de mas, d’un besoin de mains d’œuvre plus élevée, aujourd’hui il faut retrouver l’équilibre par la vente de culture plus importante et de diverse charge moins importante, du a la fermeture d’un site. C/ Mise aux normes bien-être La directive de la mise aux normes indique que les truies et cochettes doivent être logées en liberté et en groupe sur une période allant au minimum de 4 semaines après insémination usqu’à une semaine avant la date prévue de mise bas.

Par ailleurs, la surface disponible par animal doit être de 2,25 rn2 pour les truies et de 1,64 pour les cachettes. Le choix d’un type de logement tiendra compte de la surface du bâtiment existant, de son fonctionnement, du système d’alimentation, de la disponibilité en paille de l’exploitation, et des contraintes d’investissement. Même si de m 4 d’investissement. Même si de multiples solutions existent, Monsieur Samson a choisit de mettre sur paille en groupe avec alimentation soupes avec possibilité pour les truies dans des ages individuelles.

Les prêts d’emprunts étaient pour un élevage de 300 truies, la mise a normes bien être animal avec bâtiment disponible baisse le cheptel truie a 220 truie, des plus les terrains autour de la ferme sont en locations donc pas modifiable, donc pas de possibilité d’agrandir les bâtiments d’où l’utilité du second site en annexe engraissement. Stade Physiologique Surface utile par animal Porcelet avant sevrage 5m2 Post-sevrage De 10 à 20 kg : o. 0mz De 20 à 30 kg : o. 30rnz Engraissement De 30 à 50 kg : O. 40m2 De 50 à 85 kg : o. ssmz De 85 à 110 kg : o. 5rnz Plus de 110 kg : lm2 Cochette mis en quarantaine après la saillie Jusqu’à 1 m2 minimum Verraterie-gestantes Cochettes : 1 . 64m2 Truie : 2. 25m2 Verrat : 6m2 ou 10m2 si saillit naturel D/ Contexte général et fonctionnement de l’entreprise. 1 ‘Nurserie et post-sevrage. I s’agit, comme dans chaque espèce animale, d’une période difficile.

Le sevrage consiste à passer d’un aliment liquide, équilibré et chaud à une nourriture solide, froide et plus ou moins bien adaptée, en général des ranulée différents selon l’âge le poids et ou la taille du po xploitation le régime S ‘exploitation le régime alimentaire est fourni par l’éleveur, par conséquent, la qualité de la ration sera directement reliée aux moyens économiques. L’alimentation constitue un des obstacles majeurs à surmonter pour faciliter ce passage. Lors du sevrage le porcelet écope d’un gros stress car il fa un manque de la sécurité maternelle, qui apporte la chaleur, une alimentation lactée.

Le porcelet, doit donc réagir rapidement à, un environnement très différent. Cette nurserie est faite avec des niches relevables automatiques et aussi un système d’économie d’énergie, car on tilise la chaleur des porcelets donc besoins de moins d’énergie pour chauffer. Il arrive en post-sevrage a un poids moyen de 13 kilogrammes, ils sont donc moins sensible aux variations de température. Et le besoins en chauffage n’est utile qu’a l’arrivée des porcelets dans la nurserie. 2/L’engraissement En début d’engraissement le poids est compris entre 25 à 30 kg et pour finir, en élevages intensifs, aux environs de 110-130 kg vif.

Cette période physiologique ne pose pas de gros problèmes techniques, les animaux ont déjà acquis leur potentiel de croissance. Les conditions à respecter sont : l’alimentation, le confort des animaux. l’environnement sanitaire. 2- Arrêt des truies et les conséquences. Dans cette partie je vais expliquer et développer le choix de l’entreprise d’avoir arrêté le fonctionnement des truies et envisager les conséquences de cette décision. A/Pourquoi et comment a-t-il pris c A/Pourquoi et comment a-t-il pris cette décision ?

En 2006, l’acteur principal de l’entreprise Monsieur Samson écope d’un accident provoquant une grosse baisse d’activité. Deux solutions s’offrent à lui. La première était de réduire l’effectif des ruies, cela n’aurait rien changé sur le mode de fonctionnement de l’élevage. Et la deuxième était de stopper l’activité des truies. La réflexion c’est porté sur les économies évidentes à faire : 1-) Pourquoi cette décision ? -La main d’œuvre es difficiles a trouvé et également cher, un bon porcher responsable d’élevage au profil qualifiée c’est environ 50000 euro/an charges comprises. Le système sur paille est gourmand en main d’œuvre et en cout 10000 euro/an es nécessaire pour le stockage le présage et la manutention. -Difficulté du remplacement lors des congés du salarié, de plus il e faisait aucune permanence le week-end. -Tout reposais alors sur Mme Samson Jacqueline compte tenue de l’état de santé de Mr Samson. Mais cela a pour conséquences, plus de fumier sur l’exploitation donc des couts supplémentaire au niveau des cultures. 2-) Comment ? 2) Restructuration des bâtiments a)Forme économique. b) Schéma du l’élevage et les différences. )Résultat avec du recul. pourquoi ? L’Earl de Locsamzun divisée donc en deux sites posait beaucoup de contrainte dans le bon fonctionnement de l’entreprise. Située a un kilomètre environ l’un de l’autre le site secondaire e Bellevue fournissait en bâtiment, en stockage de paille et trois porcherie proche l’un de rautre de six-cents places d’engraissement environ, ce site peut-être complètement autonome, car il possède une machine a soupe, une administration deux silos de stockage a aliments complémentaire et de deux silos a mais humide broyer.

Arrêté le site de Bellevue a donc représenté l’arrêt de 30% de l’activité d’engraissement de l’exploitation. 1) Les rénovations La décision d’arrêté le second site d’engraissement es venue lorsqu’il a fallu rénover les bâtiments de l’ancien exploitation des parents. Cette rénovation comprenait 3 bâtiments de deux- cents places chacun, et l’ancienne maternité des truies.