Il est parfois difficile de différencier le terme de corrélation et de causalité, pour ne pas se laisser influencer et arriver à garder un regard critique. Au quotidien, les journaux télévisés, les publicités cherchent la facilité, nous sommes ainsi constamment inciter à se méprendre sur la réalité avec des messages sans nuance. Les médias ont tendance à nous mettre dans une situation de cause à effet, les informations nous étant données de telle façon que l’on ne peut que difficilement penser autre chose.
Ils font un rapprochement simplifié entre un phénomène et son ésultat alors que l’expérience fait un lien corrélationnel entre ces deux éléments. Comment réussir à distinguer une relation de causalité à une corrélation ? A l’aide d’un article issu d’un site aux p g informations scientifi nous étudierons les c dépression. Nous avons donc rel notre position. En co omité de lecture, e la cigarette et la ui corroborent i est souvent une précieuse accroche pour le lecteur puisqu’elle éveillera sa curiosité.
Notre titre « Quand fumer des blondes donne le blues » nous montre une relation de causalité. On peut le voir grâce à la résence du terme « quand » qui est annonciateur d’une cause effet. « Lorsque quelque chose arrive alors il se passe ça, ou quand je fume, cela me donne le blues. » Il est, de plus, soutenu par la présence du verbe « donner » qui n’est pas laissé à l’infinitif, c’est- à-dire qu’il est actif, il pourrait même être remplac Sv. ‘ipe to remplacé par « provoque ».
L’auteur continue à utiliser cette relation de causalité en disant que « les médecins savent que de nombreux fumeurs sont déprimés. » Les médecins savent que de nombreux fumeurs sont déprimés mais démontrent-ils ar-là que fumer provoque des dépressions ? On peut y voir une recherche descriptive car ils cherchent à appuyer la première causalité par cette description. Il n’y a pas assez de facteurs qui sont pris en compte pour argumenter leur étude. II nous manque beaucoup d’informations.
On ne sait pas à quoi est comparé « nombreux » par exemple. Le dernier élément étant que « pour ces chercheurs, on ne fumerait pas parce que l’on est déprimé mais on deviendrait déprimé en fumant b. On peut voir ici que c’est un lien de causalité parce que Hon ne peut pas tourner la hrase dans les deux sens, contrairement à la corrélation. Ici le lien entre fumer et être déprimé est mis en avant par la phrase « on deviendrait déprimé en fumant Fumer serait alors la causalité et la dépression serait l’effet, le résultat. rider notre peau, de provoquer bronchites et cancers, de nous induire en dépendance mais elle contribuerait aussi à nous mettre le moral à zéro » « Chez certains adultes désireux d’en finir avec la cigarette, l’usage d’antidépresseurs peut également être requis pour augmenter les chances de succès. » « Les adolescents initialement non déprimés, qui se sont mis umer, étaient ainsi victimes de cette affection près de quatre fois plus souvent que les autres jeunes après un an de suivi. Phrase2 : Si la cigarette fav 2 ssion, que de suivi. » Phrase2 : Si la cigarette favorise la dépression, que l’antidépresseur soigne la dépression, néanmoins peut-on considérer que l’antidépresseur favoriserait l’arrêt de la cigarette ? Cette phrase semble faire une corrélation entre le lien du tabac et de la dépression et aide à argumenter le titre. On pourrait être amené à croire avec cet article, que plus l’on prend des ntidépresseurs, plus on a de chances d’arrêter de fumer. La dépression pourrait-elle faire arrêter de fumer ?
Car si prendre des antidépresseurs aide à stopper la dépression, le traitement peut aider à arrêter de fumer. Phrase4 : on peut par exemple penser à un adolescent fumeur qui contractera une dépression pendant le divorce de ses parents. Quelle est la cause de la dépression ? Le divorce ou la cigarette ? En omettant tous les facteurs extérieurs qui pourraient causer la dépression excepté la cigarette, alors en effet, cela laisse penser que la cigarette cause la dépression. Mais il ne peut jamais y avoir qu’un seul facteur dans un problème.
Même si ses parents ne divorçaient pas, il peut très bien y avoir un autre facteur, même s’il n’est pas connu des médecins. 3) La confusion est de dire que la prise d’antidépresseurs favoriserait l’arrêt de la cigarette, La confusion est de dire que l’on a besoin d’antidépresseurs lorsque l’on arrête de fumer, mais si on suit la logique de l’article, il faudrait prendre des antidépresseurs même avant d’arrêter de fumer, simplement dès lors que l’on fume puisque.