A l’Homme ? ? Cette violence H me est-il toujours ta View next page mal applications qui née, naturel chez Freud nous explique que les idées que l’on nous transmet et que nous nous inculquons , comme la religion qui a pour but de diffuser des messages de paix, des organisations par exemple l’ONU qui veut maintenir la paix et la sécurité à travers le monde ou encore les lois, punitions créées par es États ; espère nous accaparer toutes formes de violence.
Mais d’après Freud « la société civilisée est constamment menacée de ruines » car selon ui la violence est une donnée instinctive chez llHomme et que cette nature primitive ne peut être changée, c’est un besoin qui doit être satisfait.
Ce texte est divisible en deux deux parties d’argumentations : la première porte sur l’affirmation des idées de Freud qui sont que la violence fait partie de la vie sociale et qu’elle est innée chez les êtres humains ; la deuxième sur la manière dont la société tente désespérément d’empêcher Freud, ensuite, a écrit une énumération sur les moyens de satisfaire notre violence à partir de son « prochain » comme d’exploiter son travail, de l’humilier, de le martyriser et de le tuer » à cela nous pouvons ajouter le viol, la torture, etc qui sont des moyens d’exprimer cette agressivité.
Freud utilise aussi de nombreuses fois le terme « prochain » signifiant d’après la religion chrétienne « l’autre » afin de la critiquée avec ironie puisque celle- ci a pour valeurs d’aimer les Hommes, sans violence et être bon envers eux sans distinctions. Il utilise après une locution très connue reprise également par plusieurs philosophes comme Rabelais ou encore Montaigne, qui vient de l’auteur comédien atin Plaute et qui d’un point de vue philosophique porte une vision pessimiste sur l’Homme tout comme veut nous faire comprendre Freud. En effet, Freud, utilise cette locution tout d’abord car elle a un fort impact sur la population du fait qu’elle soit connue et parce qu’elle illustre parfaitement ses propos qu sont que l’Homme est un animal agressif autant pour les autres espèces que la sienne puisque le loup est un grand prédateur cela signifierait que l’Homme s’entre-tue, « chasse » sa propre espece.
Freud, utilise tout cel 2 signifierait que « Homme s’entre-tue, « chasse » sa propre Freud, utilise tout cela pour nous faire réfléchir le lecteur avec ensuite une question qui lui est directement attribué sur comment pourrait-on contredire que I’Homme n’est pas un prédateur pour llHomme, qu’il ne commet pas d’atrocité, du fait de l’Histoire qui montre concrètement qu’il est un prédateur pour soit même par exemple la Première Guerre mondiale.
Freud, par la suite, nous dit que généralement cette violence est au service dune cause, dune idéologie mais aussi pour répondre à une souffrance subit il nous décrit une contradiction entre sa nature et la société dans laquelle il vit. Daprès lui, I’Homme est un animal lorsque l’on voit ses pulsions qui conduisent la violence sur autrui dans ce cas, il a la possibilité, lorsqu’il est menacé ou que l’on lui demande, de devenir un être agressif comme tout les animaux qui se trouveraient dans ces situations.
Mais la société utilise cette violence au profit du bien et de sentiments mais il arrive qu’elle ne soit plus capable de gérer, d’inhiber cette violence, l’Homme devient incontrôlable et redevient je cite : « la bête sauvage qui perd alors tout égard pour sa propre espèce Freud ré insiste sur le caractère bestial t primaire qu’est la violence et également sur le caractère inné et instinctif à travers le terme « spontané il prouve que malgré une société qui cherche à empêcher tout actes violents qu’ils soient physique ou verbal, que cette nature obligatoire 3 empêcher tout actes violents qu’ils soient physique ou verbal, que cette nature obligatoirement à un moment donné refait surface et que l’Homme recherche se désir.
Freud insiste énormément que la violence est un désir qui pour l’Homme doit être satisfait et que cela à toujours existé à n’importe quels moments, cultures. Dans le second paragraphe, Freud indique à nouveau la dimension universelle de la violence avec « nous pouvons déceler en nous-mêmes » (ici il parle de l’agressivité), en écrivant cela Freud nous dit que chaque Homme est concerné par la violence qu’importe leur origine ou leur culture, qui comme il l’écrit, nous la savons présente chez les autres mais nous nous entêtons, nous nous cachons la vérité sur la possibilité de cette violence qui est exprimée en eux peut exister en nous.
Freud, à l’inverse, décrit aussi que lorsque l’on éprouve de la haine ou une certaine violence envers une ersonne nous pensons que cette personne ressent la même chose pour nous et que ce sentiment de violence, c’est envie d’être agressif envers autrui est réciproque et c’est ce qui fait que je cite « les hommes se dressent les uns contre les autres » Freud nous parle également que I’Homme cherche toujours des causes aux conflits qu’il créait comme l’argent, le pouvoir qui selon llHomme sont des causes de guerres mais qui d’après Freud ne sont que secondaires. En effet, il pense que la cause primaire est l’agressivité, qu’il est le facteur clé de nos conflits avec les autres humains mais q 4 vec les autres humains mais que l’Homme essaye de trouver des « excuses » pour ne pas montrer sa vrai nature.
Il utilise ensuite la formule hostilité primaire », cette attitude qui se dresse à l’égard dautrui, cette envie de nuire à ses semblables quelque soit la raison est comme Freud la décrit « primaire » comme si IHomme était « condamné a être prisonnier de cette violence » comme si malgré tout ce que l’homme avait inventé, que ce soit la culture, la religion, il est impossible d’enrayer totalement cette violence car elle est ancrée dans la nature humaine et ne peut donc être modifiée. A la suite, Freud nous dit que les passions instinctives sont plus fortes que les intérêts rationnels et nous emmènent une fois de plus dans cette relation conflictuel entre le culturel et le naturel ; et nous dit ici que la culture est au contraire contre nature et qu’elle empêche l’homme d’exprimer sa vrai nature, ses désirs et ses passions donc que le naturel l’emporte toujours sur le rationnel car il est spontané, inné alors que le rationnel est dicté par la culture.
Freud tente de nous parler ensuite comment la société civilisée essaye d’inhiber cette violence présente chez l’Homme ? Dans n premier temps, il nous parle de mœurs sociaux, de questions d’éthiques qui sont inculqués par la culture par exemple à partir de lois : celles-ci ont pour but de restreindre et de décourager tout acte de violence avec des punitions minimes comm S de restreindre et de décourager tout acte de violence avec des punitions minimes comme des amendes ou des travaux forcés mais aussi plus lourde comme la mise en prison voir dans certains pays la mise à mort ; bien entendu ces sanctions sont en fonction de la gravité de l’acte.
Freud à travers des questions d’ordres éthiques nous parle également de mœurs sociaux, ils ous dictent comment nous comporter par exemple le respect d’une personne au travail si celle-ci est considérée comme supérieur dans la hiérarchie sous peine d’être viré. Selon Freud, étant donné que l’Homme est violent il peut dans ce cas devenir agressif si il n’est pas d’accord avec cette hiérarchie et donc dans ce cas la société au lieu de minimiser la violence, la renforce. Sigmund Freud nous dit donc que la société par des actions comme les lois donne pour conséquence le but contraire à leurs création cet-à-dire renforce cette agressivité. La société, elle- ême, en est un exemple concret car c’est elle qui est à l’origine des conflits les plus meurtriers ou les plus barbares comme la création de bombes chimiques, de chars à son époque et la violence de la Première Guerre mondiale. our finir, Freud nous dit que chaque Homme a été victime ou témoin d’un acte agressif collectif ou individuel sur autrui mais aussi à travers I’Histoire lors de massacre, guerre, terrorisme malgré cela nous restons toujours violent avec autrui puisque l’Homme ne peut s’empêcher dêtre violent, il est dans sa nature de faire du mal, d’êtr uisque l’Homme ne peut s’empêcher dêtre violent, il est dans sa nature de faire du mal, d’être agressif et de faire souffrir les autres. Après avoir étudié de manière ordonnée le texte nous allons en discuter. La thèse proposée par Freud dans ce texte décrit IHomme comme un être violent, agressif voir même barbare et qu’il préfère nuire aux autres plutôt que de les aider ou de les respectez : pour lui ce caractère agressif est inné et naturel chez l’Homme.
Il tente de le démontrer par des exemples comme « martyriser, tuer » tout en sachant que cette violence e se résume pas seulement à ces deux termes puisque l’Homme réinvente de manière perpétuelle de nombreux façons d’exprimer son agressivité malgré que la civilisation tente d’inhiber cette nature mais ne peut y arriver puisque elle- même a été créée par l’Homme et donc est corrompue par notre violence. Ce texte présente des idées où nous pouvons émettre des objections. Pour la première, nous pouvons réfuter la thèse de l’auteur par rapport aux propos excessifs, en effet, Freud décrit l’Homme à son extrême violence et sournois en le décrivant comme un tre manipulateur « de son prochain, d’exploiter son travail, de l’utiliser[… ] de s’approprier ses biens Il fait tout au long du texte un rapprochement entre l’Homme et l’animal avec sa brutalité « bête sauvage, hostilité primaire, cruelle, les plus grossiers et brutales » .
Pour la seconde, Freud nous parle d’une société tentant d’inhiber la violence pour brutales » pour la seconde, Freud nous parle d’une société tentant d’inhiber la violence pourtant cette société et la culture a et peut commettre des atrocités par exemple l’endoctrinement du parti azis allemande qui à l’époque portait des discours aux Jeunes pour les pousser à commettre des actes de barbarie sur les juifs et tziganes ce qui a amené à un génocide (ceci est un exemple postérieur à son époque néanmoins Freud décrit un Homme passé, présent et futur) Enfin, je suis en accord sur le fait que la violence humaine et son agressivité sont naturelles chez l’Homme et malgré une société active sur une tentative d’inhiber cette violence celle-ci refait surface et même est plus importante.