Les Caprices de Marianne

Les Caprices de Marianne est une pièce de théâtre écrite par Alfred de Musset ( poète et dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à paris, où il est mort le 2 mai 1857). Elle paraît le 15 mai 1833 dans La Revue des Deux Mondes et appartient au courant du romantisme. Elle sera jouée pour la premiere fois à la Comédie-Française (Paris) le 14 juin 1851. Cette pièce est qualifiée de comédie par Musset mais en vérité elle s’apparente au genre du drame (tragi-comédie). Elle est composée de deux acte Le premier acte comporte trois scènes.

Le second acte comporte six scènes. Swape nextp g Malgré de nombreux la pièce sera tout de en partie considérée rn, , – construction qui mép choqué. par la censure t, l’œuvre était rochable, et sa e existantes a La pièce se passe à Naples (un Naples imaginaire). Elle raconte l’histoire de Cœlio, un jeune homme amoureux qui rêve de conquérir Marianne,épouse du juge Claudio. N’osant l’aborder, il tente d’abord d’utiliser l’entremise de la vieille Ciuta, qui n’obtient rien de la Swige to next page eune femmeque ‘affirmation de sa fidélité conjugale.

Cœlio fait alors en dernier recours appel à son ami Octave, viveur et libertin, cousin du maride Marianne. Celle-ci continue de refuser ses avances mais tombe peu à peu amoureuse du messager : par caprice, elle lui offre même unrendez-vous où elle lui annonce sa décision de prendre un amant, mais surtout lui avoue à demi-mot son amour. Ce qui suit dévoile des moments clésde l’intrigue. Octave, après une phase d’indécision et un échange de répliques ambigües, décide de ne pas profiter de cette chance, ouantloyalement le jeu de son ami Cœlio qu’il envoie au rendez vous obtenu.

Cependant Claudio, l’époux de Marianne soupçonne sa femme d’adultère. ll décide d’employer des spadassins (tueurs à gages) pour abattre l’amant dès qu’il approchera de la maison. Cœlio tombe dans le guet-apenset, avant de mourir assassiné, peut croire à la trahison de son ami en entendant Marianne trompée par l’obscurité l’accueillir du nom d’Octave. Pendant la dernière scène, Octave accablé renonce à sa vie de plaisirs et repousse sèchement l’amour que lui déclare alors Marianne.