La concurrence est une compétition, une rivalité entre des personnes, des entreprises, etc. , qui ont le même objectif, qui recherchent le même avantage. la concurrence imparfaite peut se traduire par des monopoles, cartels, oligopoles, positions dominantes, professions corporatistes, etc. Dès qu’une des conditions de la concurrence pure et parfaite n’est pas respectée, la concurrence devient imparfaite ; la concurrence est même « inexistante » dans le cas du monopole, Le secteur électrique est historiquement organisé sous la forme osition dominante pour fixer les prix comme il le souhaite. ne des principale défaillance de la Californie à été que l’offre n’a pas pu répondre à la demande La crise californienne est avant tout liée au déséquilibre entre l’offre et la demande qui provoque la hausse des prix. Une crise de sous-production qui a été accélérée par la libéralisation. L’ÉLECTRICITÉ EN FRANCE : Après plus de dix ans d’ouverture des marchés de l’énergie en France et en Europe, les paradoxes s’accumulent. Prix bradés de l’électricité sur le marché de gros qui font gonfler a facture des particuliers, Le marché de l’électricité n’est pas un marché comme les autres… l ne se régule pas de lui-même. ‘énergie est un secteur qui tend naturellement vers le monopole à cause des coûts d’investissements, la libéralisation engagée dans toute l’Europe conduit donc à créer artificiellement de la concurrence. Ce faisant, rabsolue nécessité de maintenir un équilibre entre offre et demande est mise en péril. Le blackout devient un risque très concret. L’électricité se plie moins facilement aux règles du marché.
Elle ne se stocke pas (en grande quantité du moins) et sa consommation est très fluctuante et peu réactive aux prix. Ouverture du marché ou non, le prix de l’électricité, un des plus bas d’Europe grâce au choix du nucléaire fait dans les années 1970, devra tenir compte de coûts de production 2 années 1970, devra tenir compte de coûts de production en hausse. Le constat est donc celui d’un paradoxe du secteur électrique quant au sort du client final confronté à l’ouverture à la concurrence : la concurrence peut lui être favorable… me s’il n’y joue aucun rôle actif es gains d’efficacité permis par la réforme du secteur électrique sont réalisés en amont du marché de détail et ne sont donc pas directement corrélés au rôle actif du client final. La mise en concurrence des fournisseurs par les clients finaux n’est ni susceptible de générer des gains d’efficacité, ni à même d’améliorer la transmission de ces gains d’efficacité au client final. Le fait d’offrir la liberté de choix au client final apparaît essentiellement aujourd’hui symbolique et artificielle,
Un fournisseur pourrait proposer à un consommateur de diminuer la puissance fournie certains moments, en échange d’un prix plus bas. une telle offre nécessite de collecter l’information à la fois sur la consommation individuelle des clients, sur les marchés de gros, et sur les besoins des réseaux de transport et de distribution Conclusion La concurrence de l’électricité peut avoir des effets positifs et négatifs (baisse des prix„ aboutissement à un marché oligopolistique, exclusion de certains consommateurs de l’usage du bien, hausse des prix… ).
