HDA: Le portrait de Maeda Primavesi de Gustav Klimt

HDA: Le portrait de Maeda Primavesi de Gustav Klimt L’auteur. Gustav Klimt est un peintre autrichien, né en 1826 et décédé en 1918. Tout le long de sa carrière il s’est spécialisé dans les mouvement du Symbolisme et du Art Nouveau mais on pouvait parfois apercevoir un peu d’influence de l’art Abstrait. Klimt crée un groupe privé d’artiste appelé « Compagnie d’Artiste » constitué de Klimt lui-même, son frère Ernst et d’un ami proche.

Quelques une de ses œuvres les plus connues sont : Le Baiser 1907), Judith et la tête d’Holophe ne (1 901), Les Sirènes (1889), Swip page Portrait d’Adèle Bloc beaucoup d’autre. Le tableau: 1)Cette œuvre est un rt (1908) et intitulé Portrait de Maeda Primavesi fait en 1912. On peut la trouver aujourd’hui dans le Museum of Art, New York, États-Unis. 2)Le tableau nous présente une jeune fille, Maeda Primavesi. La jeune fille est vêtue d’une robe blanche ornée de fleur et il y a dans ses cheveux, un Swipe to next page nœud en tissu bleu ciel.

Ces vêtements indiquent que la Jeune ille vient d’une famille aisée, avec beaucoup de moyens. Ses jambes écartées et la position de ses bras montrent de la détermination. De plus l’expression du visage porte un air de défiance et de confiance en soi-même. 3)Maeda Primavesi est mise en valeur par sa position dans le tableau car elle est au centre de l’image et les fleurs, l’herbe forment un rond autour d’elle. 4)Deux adjectifs qui caractérisent le décor qui entoure la jeune fille sont estival et joyeux. )On peut rapprocher cette jeune fille à Antoinette dans l’œuvre ‘Irène Némirovsky « Le Bal » en raison de leur âge « une enfant de quatorze ans »(l. 15),de cet air de défiance et de mépris « ils ne voyaient donc pas, aveugles, imbéciles, qu’elle était mille fois plus intelligente, plus précieuse, plus profonde que eux tous 8-9) , mais aussi en raison de leur provenance sociale , les parents d’Antoinette sont en mesure d’organiser un bal et Antoinette a plusieurs éducateur et une gouvernante « sale Anglaise » (l. 1), « ces gens qui osaient l’élever, l’instruire ».