La pub a désormais ses stars son « Festival de connes » et ses scars les minerves, et c’est a un réalisateur de publicité que le ministère de la culture fit appelle, en 1 989, pour concevoir le spectacle de clôture du bicentenaire de la révolution française. Alors qu’une « Nuit des publivores » propose chaque année aux également viser des changements de comportement ou la promotion de valeurs considérées comme positives ou bénéfiques au niveau de la société, mettre en garde contre les drogues, inciter au respect de l’environnement, ou encore promouvoir la prévention routière.
La publicité est une technique qui emprunte à l’économie, à la ociologie et à la psychologie, qui teste ses intuitions via des panels de consommateurs et des études de marché. La créativité en est le cœur. L’historique de la publicité Les premières publicités semblent avoir été des peintures et gravures sur les parois des cavernes préhistoriques, plus des pierres levées ou menhirs. Tous les chefs ont fait leurs publicités avec des monuments, pyramides, autels, statues Des crieurs publics existaient en Afrique comme chez les Grecs et les Romains.
En moins 3000 un papyrus thébain offre une récompense pour retrouver un esclave enfui. 482 premières affiches imprimées pour le grand pardon de Reims. 1631 Théophraste Renaudot en France fonde « La Gazette » avec ses annonces et publicités. 1836 Emile de Girardin pense la publicité pour en abaisser les prix. 1880 Premières agence de publicité 1950 « La Marie-Rose, la mort parfumée des poux » Invente la publicité rédactionnelle La pile Wonder, qui ne s’use ue lorsqu’on s’en sert » utilise le slogan. A l’origine d’une publicité, et quel que soit son objet, se trouve toujours un « producteur ». Ce dernier a quelque chose à vendre (bien de consommation, idée, candidature…. et veut le faire savoir : c’est l’annonceur. Il va choisir, parmi ceux qu’il rencontre, l' »auteur-réalisateur » qu’il Juge le plus apte à faire passer son message : ce sera le rôle de l’agence de publicité.
En bout de ligne se trouve ce que, en termes quasi militaire, on désigne par la cible, c’est-à-dire le public au sens large ou parfois seulement une partie du public (les enfants, lorsqu’il s’agit de promouvoir un nouveau jouet). Les premières agences firent leur apparition dès la fin du XIX siècle au Etats unies et dans les années 30 en France (Marcel Bleustein-31anchet crée Publics en 1927). Après la Seconde Guerre mondiale, la hausse du pouvoir d’achat, la multiplication des agences spécialisées.
Quelle que soit son importance, une agence de publicité s’organise autour de trois fonctions principales : la fonction de conseil en communication est assurée par des « chefs de publicité » . Ceux-ci, qui sont en rapport direct avec les annonceurs dont ils doivent avant tout analyser et traduire les besoins et les désirs, sont ensuite chargés de leur présenter la solution (« stratégie ») préconisée par l’agence. Ils resteront jusqu’au terme de l’opération les interlocuteurs de ‘annonceur au sein de l’agence.
La publicité porte un message La publicité, qui en son sens originel se propose de , ne date pas d’aujourd’hui. A Rome, déjà, on exposait sur le forum des tablettes annonçant des ventes ou des représentations théâtrales. La révolution industrielle vit se développer, dès le XI 3 des représentations théâtrales. La révolution industrielle vit se développer, dès le XIXeme siècle en Europe, la production d’objets en grande série et parallèlement, s’accentuer la concurrence. Pour vendre, on commença a faire paraitre des réclames » dans les journaux.
Cela mets en lumière une notion complémentaire : Fais de la publicité, ce n’est pas seulement annoncer mais c’est aussi promouvoir ceci dit présenter un objet sur un mode attrayant dans le but de le faire adopter par les consommateurs. Outil majeure de la communication commerciale la publicité peut cependant servir d’autres buts. En effet, quand on dit « objet » on pense d’abord à un produit de consommation ( un vêtement par exemple ). Mais il peut s’agir aussi bien d’un événement un concert a venir, d’une idée (il est dangereux de boire avant de onduire) ou d’un homme ( un candidat a une élection).
Selon les cas le consommateur visé par la publicité sera l’acheteur ou le spectateur potentiel, l’automobiliste ou l’électeu Le corp du message • ‘argumentation publicitaire tend à faire comprendre le message, à la faire accepter par le consommateur. L’accroche étant fondée sur la promesse, l’argumentaire justifie celle-ci pas le texte les images ou le son Les éléments visuels : On peut distinguer les éléments visuels directs et des éléments visuels indirectes ; les éléments visuels directs sont à lire au premier degré.
On retrouv atégorie beaucoup 4 produit en scène de manière manifeste. Ici, on a recours la métaphore, à la métonymie pour mettre en relief certains bénéfices liés à l’usage du produit : les problèmes qu’il permet de résoudre, le bénéfice retiré par le consommateur, ou encore, un univers irréel qui symbolise le produit plus qu’il ne le décrit. Dans tous les cas le message doit être « acceptable es éléments textuels Cargumentation textuelle est un travail de persuasion.
L’annonceur justifie la promesse du produit, les bénéfices que les consommateurs peuvent en tirer. Il énonce quatre types ‘arguments, présents en tout en partie dans l’annonce : Arguments de raison : Fannonceur argumente sur le fonctionnement du produit, les avantages rationnels liés à son usage. Arguments d’émotion : l’annonceur avance ce qui est susceptible de plaire au consommateur.
Arguments de rinconscient : rannonceur joue sur les ressorts érotiques ou autres pulsions Arguments d’imaginaire ; l’annonceur décrit les bénéfices immatériels liés à l’usage du produits Enfin, rannonceur n’hésite pas à balayer les contre-arguments possibles Comme pour l’image, les phrases sont généralement idéalisées, xagérées ou hyperbolisées. La signature : La signature par image Divers éléments visuels signalent aux consommateurs qui est l’origine du message : Le logo est un ensemble formé de signes graphiques.
Il est la première représentation visuelle d’une marque aux yeux de son public. Souvent discret, il ap arait uelquefois au détour d’un plan cinéma, d’une photo, publi S modernise, mais évolue rarement de façon radicale. A lui seul, le logo peut de suffire, à Pinstar de certaines marques d’équipements sportifs ou informatiques. Trois familles de logo peuvent être citées : Le logo symbolique : le sens su symbole utilisé n’est pas décodable au premier coup d’œil. Il reste le plus courant. Les symboles peuvent être de différentes natures.
Ainsi, un symbole ethnique sera peut-être adapté à une enseigne de plats préparés exotiques. Un symbole technologique sera plus pertinent pour une société de conseil informatique. Le logo figuratif : par opposition au symbole, un signe figuratif ne suggère pas, II illustre, de façon évidente. Le logo typographique : un logo, même symbolique ou figuratif, comporte presque toujours une partie typographique. Le logo peut ainsi se contenter du nom de la marque rédigé dans une typographie particulière.
Signature sonore ou textuelle L’accompagnement sonore (jingle, musique, bruitage) ou paraverbal (accent, intonation) peut installer clairement une annonce dans un univers de marque. Des éléments textuels peuvent être spécifiques à certains annonceurs et rendent le message publicitaire facilement attribuable. Mais l’élément le plus significatif de la signature textuelle reste la base line. La base line est un court texte souvent disposé à proximité du logo. Cette ase line est souvent utilisée également en position de titre. Elle est alors à la fois signature et message contra de l’annonce.
Elle prend la forme du slogan mais elle est propose à la marque davantage qu’au message, être répétée d’annonce répétée d’annonce en annonce, année après année. Trois catégories de base line signent les annonces • La base line de produit : elle s’applique à un seul produit de la marque. La base line de marque : elle d’applique à tous les produits de la marque La base line de l’entreprise : elle affirme l’identité de l’entreprise. Les publicités dans la presse La presse écrite ( quotidiens et magazines) est le deuxième média publicitaire en Belgique ( juste derrière la télévision).
En 2005, les annonceurs y ont investi près de 900 millions d’euros. La presse est hétérogène : presse quotidienne, presse magazine, presse gratuite (presse locale et d dépliants), journaux d’entreprise. Ces supports possèdent des caractéristiques communes : les consommateurs sont fidèle, mais pour des raisons divers (centres d’intérêt, opinions philosophiques, appartenance à une communauté). La presse s’achète et uppose une certaine adhésion, un attachement. Elle suscite une implication forte, se lit n’importe quand et n’ importe où.
La presse est un support particulièrement ciblé. A titre d’exemple, les titres de presse quotidienne payante sont tous lus davantage par les hommes que par les femmes ont un lectorat plus âgé que la presse quotidienne grat s titre ( la dernière heure) annonceurs dépensent 290 millions d euro pour la diffusion de la pub a la radio en Belgique , dix fois plus que pour le cinéma et seulement 3 fois moins pour la télé . La radio est très écoutée : en moyenne, les francophones ‘écoutent plus de 3 heures par Jour , les flamands plus de 4 heures.