Dans ce texte, Alain nous parle de la conscience, il nous dit que la conscience se développe à travers le temps et nous parle pour cela du passer et du présent et de leur rôle dans le développement de la conscience, il admet que le moi est en construction permanent. Au début du texte, de « Dans le sommeil… la vie du moi. », Alain nous présente ce qu’est la conscience à l’aide du sommeil, qui nous montrer que la conscience est réfléchis et donc pas immédiate, suis-je simplement moi ? Puis de « Par ce mouvement… pour le bien. ue notre « moi » évolue tout au ong de notre vie , que le « moi » passé est un « moi » révolu car notre conscience se développe elle pas au cours du temps ? Cependant dans la fi nous dit que le passé soit que le présent et pz _ • • Swip next page On peut se demande au cours du temps ? n le temps. Alain acte sur le présent pas indépendant. éveloppe t-elle pas Dans un premier temps, de « Dans le sommeil… la vie du moi. », Alain définie la conscience en l’opposant à l’état de sommeil, Dans le sommeil, je suis tout ; mais je n’en sais rien. », Alain se rapporte ici à l’inconscience.
La personne endormit n’est plus consciente, elle est comme absente spirituellement. Donc d’après Alain, dans le sommeil on est « tout ShAipe to Wew next page », c’est à dire que ron est soi même, notre corps est présent dans ce monde mais l’on n’est « rien car on a pas conscience de faire partie du monde, d’être là, autrement dit ce «tout » nous montre que l’on est bien présent mais on ne s’en rend pas compte car il y a ce « rien » qui nous en empêche. Ensuite, Alain nous dit que la conscience « suppose réflexion, division… elle n’est pas immédiate. on peut donc distinguer la conscience immédiate qui est le fait d’être dans le monde et de ne pas être séparé de l’extérieur, tandis que la conscience réfléchie est celle qui dit «je», c’est la conscience de soi (Je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir). C’est-à-dire que d’une part, la conscience permet un retour sur soi ce qui mais aussi que la conscience est la distinction du sujet qui n’est pas objet. Alain nous montre clairement ce qu’est la conscience selon lui avec une énumération d’opposition; « Moi et le monde. Moi et ma sensation.
Moi et mon sentiment. Moi et mon idée. Y. Enfin, avec « Cest bien le pouvoir de douter qui est la VIe du moi Alain renforce l’idée d’une différenciation sujet/objet en nous renvoyant directement au cogito cartésien de Descartes, « je pense donc je suis ». Donc d’après Alain, plus je doute, plus je suis sur qu’il y a quelque chose qui doute et donc que je pense, ce qui revient a la certitude d’être moi. L’auteur dans cette première partie, tente donc de défi 2 OF s ce qui revient a la certitude d’être moi. L’auteur dans cette première partie, tente donc de définir la conscience.
Mais suis-je la même personne tout au long de ma Vie ? C’est pour répondre à cette question, dans cette deuxième partie, de « Par ce mouvement… pour le bien» qu’Alain nous dit « Si l’on se retrouvait tout entier, c’est alors qu’on ne se reconnaîtrait pas », qui est une réponse négative à cette question. Certes, car ici l’auteur nous dit que au cours de notre existence plusieurs moi se substitue or si on rassemblait tout ces moi un à un pour former un bloc de tout nos moi, on se perdrai complètement car il y aurait trop de facette à notre personnalité et certaine ne ourrait même pas coexister. our Alain, on ne peut pas subsister dans le passé car il est insuffisant d’où sa phrase « Le passé est insuffisant, dépassé. ». Quand l’auteur dit qu’il n’est plus « cet enfant, cet ignorant, ce naf » et que « ce moment là même » il était « autre chose en espérance, en avenir il veut nous dire que nous ne somme plus celui que nous étions par le passé et que déjà à ce moment nous aspirions à autre chose et donc le présent et toujours passé. « Ce que je voulais, je le suis devenu. ci Alain soutient l’idée que lorsqu’on veut, on peut, soit que c’est de ar nos acte et nos choix que nous construisons notre avenir et devenons ce que bon nous semble avec de la persévérance. Alain renforce cette idée da 3 OF s notre avenir et devenons ce que bon nous semble avec de la perséverance. Alain renforce cette idée dans la prochaine phrase, « Voilà le lien pour le mal comme pour le bien Il nous enseigne que chaque dois assumer ce qu’il est devenu.
Pour Alain, une personne mauvaise a choisit d’être comme cela, par ses actes. Avec l’utilisation de l’expression « le lien entre le passé et le présent », l’auteur renforce l’idée de l’évolution de notre moi u cours du temps, que notre existence au présent est basé sur notre passé donc le présent et le passé sont lié. Nous évoluons sans cesse, mais est ce que notre moi, notre conscience évolue t-il au cours du temps ? C’est à cette question que répond l’auteur dans la dernière partie, de «Ainsi… elon le temps. Alain tente de démontrer le lien entre le passé et le présent, mais plus dans le détail cette fois ci. Tout d’abord, Alain nous dit que « le moi est un refus d’être moi, qui en même temps conserve les moments dépassés. ici, l’auteur nous explique que notre moi se construit tout au long e notre vie, et que ce même moi refuse d’être ce moi qu’il a été par le passé. Mais notre mol présent a appris du moi passé et est lié à ce moi passé par ce qu’il appelle les souvenir qui nous font évoluer.
Ainsi Alain nous dit que ce moi est en constante évolution et apprend de nos souvenir comment évoluer. Aussi, on constate que Hauteur souligne l’importance du fait de 4 OF S souvenir comment évoluer. Aussi, on constate que Pauteur souligne l’importance du fait de se remémorer le passé, sans pour autant vivre dans le passé avec la phrase : « Se souvenir, ‘est sauver ses souvenirs, eest se témoigner qu’on les a dépassés. Cest pour cela qu’il nous dit « Le passé, ce sont des expériences que je ne ferais plus. ? car nous devons apprendre de nos erreur et ne pas réitéré le passé mais plutôt s’en servir pour avancer. Alain utilise l’exemple de l’artiste pour s’expliquer, « Un artiste reconnait dans ses œuvres qu’il ne s’était pas encore trouvé lui-même mais il y retrouve un pressentiment de ce qui a suivi. » autrement dit lorsque l’artiste crée son œuvre il ne sait pas pourquoi il la produit mais lorsqu’il la terminée c’est à qu’il va se rendre compte du message qu’il a voulu envoyé au spectateur et lui donné un sens. ?C’est cet élan qui ordonne les souvenirs selon le temps. » signifie que c’est un projet quelconque qui oriente nos fait et geste et qui donne tous son sens au passé. L’auteur termine donc son texte en nous rappelant que l’être conscient n’existe que grâce au temps. La réponse de l’auteur au questions posées est donc que toute conscience n’est pas spontanée. De ce fait il nous indique aussi que notre moi évolue constamment au cour du temps, qu’il n’est jamais figé. S OF s