Voltaire

Il est le symbole du SI le philosophique, son n « L’infâme nom qu progrès et la tolérance. Mouvement 0 u service de la f du parti ombat contre ligieux, et pour le Voltaire est un philosophe et écrivain des Lumière qui a longtemps combattu pour de nombreuses valeurs telles que la tolérance, les droits de l’homme et les grandes causes de l’humanité. Il a participé à l’élaboration de l’Encyclopédie avec Diderot et d’Alembert. Il a finalement été exilé pour ses écrits. Séquence I : zadig de voltaire (1748). Objectif d’étude : La question de rhomme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours.

Problématique : Zadig peut-il être considéré comme un simple conte oriental ? principal, on dit que c’est un titre éponyme. Ce livre va donc parler de l’histoire de Zadig. Analyse de l’incipit de l’œuvre. ‘incipit permet de présenter le cadre spatio-temporel, les personnages. II va aussi éveiller la curiosité du lecteur et le ton. Spatio-temporel : Epoque : Pas d’indication précise sur l’époque, juste une formule de départ qui peut nous faire penser à « il était une fois Le « roi Moabdar » est un nom inventé par l’auteur.

Le lecteur est tout de suite plongé dans l’univers du conte, le récit se situe en dehors de a réalité. Temps verbaux : imparfait qui permet de situer l’histoire dans une temporalité lointaine mais imprécise. Lieux : L’action se situe dans un lieu précis : « Babylone » – capital de la Perse = Irak actuel. Tout est fait pour que le lecteur s’évade de son quotidien, de la réalité ce qui va attiser sa curiosité. L’incipit confirme que l’on est dans un conte. Personnages : Noms de différents personnages : Moabdar, Zadig, Zoroastre, Chaldéens, les Mages.

Portrait de Zadig : Zadig = le « Juste », le « véritable On ne sait rien d’autre sur sa famille et son passé. C’est un pers. ui a du charme : répétition du mot « jeune » (l. 2-3), « Né avec un beau naturel » (1. 2) l’auteur insiste sur son physique, « figure aimable » (1,35). « aimable « beau » = adj. Qualificatif mélioratif. Il est raisonnable : « riche » (1. 3) avec adj. « grande richesse » (1. 34). Même s’il est riche, il sait « modéré ses passions » (1. 5). C’est un être généreux, simple et respectueux : « n’affectai 0 ses passions » (1. ). C’est un être généreux, simple et respectueux : « n’affectait rien » (1. 4), pers. modeste qui ne cherche pas à obtenir le plus haut. « savait respecter les faiblesses des hommes » (1. ), pers. respectueux à l’égard des autres. « voudrait point toujours avoir raison » (1,5), pers. non avare et égoïste mais « généreux » (l. 16). Attitude de Zadig qui montre qu’il n’est pas lunatique . « jamais » (1. 7) = adverbe de temps qui montre qu’il va toujours agir de la même manière. Métaphore avec (d’amour propre est un ballon gonflé de vent » (l. 2) qui assimile l’orgueil propre à un ballon gonflé. CAD que si l’on blesse l’orgueil de qq’un il va vouloir se venger. Tandis que Zadig lui préfère rester humble. Il est instruit, intelligent, cultivé (1. 20 à 33). Il a acquis ses onnaissances grâce à lui-même et non grâce aux autres (1. 25 33). II ne crie pas haut et fort son avis négatif pour ne pas aller en prison (1. 31 : Ennemis de l’Etat). Il apparait comme un scientifique éclairé par sa raison. Il s’oppose à ceux qui prétendent connaître le monde.

Donc les autres, méprisent Zadig, il est rejeté. En ne suivant pas les autres, il montre sa liberté. —Portrait élogieux de Zadig, il ne présente que des qualités : physique, morale, intellectuel. On pourrait donc prétendre qu’il est heureux. ‘incipit permet de comprendre que l’œuvre va porter sur la vie de Zadig. Mais déjà, nous avons une critique de la société. On n’est pas seulement dans un conte oriental, mais aussi dans un conte philosophique. A travers les Babyloniens, c seulement dans un conte oriental, mais aussi dans un conte philosophique.

A travers les Babyloniens, c’est la société de son époque que vise Voltaire et en trotte, la cour de France. En mettant en scène un être parfait, Voltaire veut faire voir la différence entre lui et ceux qu’il côtoye pour que le lecteur comprenne le défaut des autres personnages. Le mot « conversation » (1. 11) fait référence aux conversations mondaines qui ont lieux dans les salons à Paris. Les principaux mages » (1. 29), sont des pers. d’Eglise que Voltaire critique. Ils rejettent toutes autres opinons venant des autres pers. ne sont d’accord qu’avec le leur.

Ce sont pour Voltaire des pers. intolérante. Lecture analytique du chapitre 3 : Plan : une anecdote divertissante. 1) Les éléments traditionnels d’un conte. Conte orientale : (un jour… ce qu’il avait vu) Nom du personnage : Zadig (1. 8). Lieux : A Babylone (120). Fonction du personnage : Eunuque = pers. castré car entouré de femme. (1,2). Richesse : Bossettes de son mors sont d’or à 26 carats (1. 28). Fer d’argent à 11 derniers (1*29) Registre pathétique : Souffrance d’un confronté à une situation 4 OF IC ersonnage souvent faible, -é, compassion.

Dialogue entre Zadig et l’un des pers. au service du roi et de la relne. Déduction de Zadig. Conclusion identique : « je ne l’ai jamais vu » (1. 15) ; je ne l’al point vu » (1. 31), ce qui justifie que les affirmations de Zadig ne sont que des intuitions dû à ses observations. 2) Les différentes allusions à l’Europe. Référence qui renvoie à l’Europe, à la France. Certains termes ne renvoient pas à l’Orient, c’est ce qui permet à l’auteur de faire entendre que c’est bien la société française qui est visée : roi/reine » (1. 2 et 1. 9) au lieu de « sultan/sultane). Fonctions : « palefrenier/ grand veneur » (1. 20 et 121). « une épagneule » (l. IO) = race Européenne. Procès de Zadig : « knout » (1. 37) renvoie à la Russie. Eloignement de l’orient. Voltaire nous fait comprendre que le véritable sujet abordé est la France et qu’il va la critiquer durant cette aventure. Il : Une histoire au service des idées de l’auteur. 1) La critique de la justice ustice rapide (1. 38 à 40) : Zadig ne peut pas se défendre. Justice incompétente : Il est condamné sans preuve apparente. Justice arbitraire : 2 pers. ononce un jugement sur le fait que Zadig a volé les animaux (chien-cheval) donc tout le monde est d’accord. Il est arrêté sur leur jugement alors qu’il a répondu en toute honnêteté aux questions du grand veneur et de l’eunuque. Litote (1. 33) : « le grand veneur… ne doutèrent pas… de la reine », le « ne doutèrent pas » signifie le contraire, le reine », le « ne doutèrent pas » signifie le contraire, le grand veneur de l’eunuque doute de l’honnêteté de Zadig. Justice disproportionné : le « vole » ne justifie pas la condamnation à vie en Sibérie. e cheval et le chien ont retrouvés donc Zadig est innocent et pourtant, la justice le condamne quand même à payer (1. 40 à 42). On comprend (1,41) que les juges aurait préféré qu’il soit condamné « les juges furent dans la douloureuse nécessité de reformer l’arrêt ». La justice peur de Zadig et de ses connaissances. ustice cupide : elle cherche à s’enrichir par tous les moyens. 2) Cette critique est renfoncée par l’intervention de Zadig. La critique de la justice passe aussi par Zadig. Dans son discours (paragraphe 4) on pourrait penser qu’il fait l’éloge de la justice mais ce n’est qu’ironique.

Expression à double sens, positive et négative : « Abime de science » — Capable de résoudre tous les problèmes mais surtout référence à un gouffre profond. « Eclat de diamant » Intelligence de la justice mais aussi condamne sans savoir le vrai du faux. Goût pour le luxe. « pesanteur du plomb » Juges sérieux mais aussi lourdeur de la Justice, incompétence, le plomb n’est pas un métal précieux. « Dureté du fer » Justice sérieuse mais strict, sans sentiments. « Beaucoup d’affinité avec l’or cupidité de la Justice. Progression dans la référence aux métaux, du plus terne au plus coûteux.

Gradation. Parodie du jugement, Zadig jure qu’il a dit la vérité et non qu’il va dire la vérité (1. 50 à 53). Il répond 6 0 jugement, Zadig jure qu’il a dit la vérité et non qu’il va dire la vérité (1. 50 à 53). Il répond à la sensibilité de flatterie des juges par un éloge qui finalement n’en ai pas une ce qui va lui permettre de dire ce qu’il pense sur leur façon et leur capacité à juger. 3) Le comportement ambivalent du roi. Attitude positive : il souhaite que l’argent de Zadig soit rendu Zadig (1. 94). Ils s’opposent au Mages qui eux veulent tuer Zadig.

Attitude négative : le roi n’intervient qu’après l’intervention de Zadig, à la fin. Il ne sait pas réellement intéresser à la situation et n’intervient que parce que Zadig est connue : « on ne parlait. le cabinet » (1. 91). Etant donné que Zadig devient célèbre, le roi s’intéresse. Au début le sujet du procès de Zadig n’est évoqué que par l’entourage du roi et seulement parce qu’il en entend parler il va intervenir. Son action est donc moins glorieuse qu’elle n’en a l’air. Lecture analytique chapitre 7 : Comment Zadig est-il considéré par les Babyloniens ?

Le + important est qu’ils viennent prier et non le reste. Disproportion entre nbre de ligne sur le conflit et celle de le résoudre. par ses attitude et propos, Z. permet aux B. de vivre en paix. ème rôle d’un ministre : Z. consacre du temps à améliorer le cadre de vie des B. , il fait en sorte que les B. s’y sentent bien « il s’occupait des embellissements des B. » (1,47). Il est un protecteur des arts, les hab. vont apprécier d’aller au théâtre (1. 47). II encourage les artistes tout en restant humble, ne cherche pas à montrer sa supériorité (1. 51-52).

Accès à la culture tout en se divertissant. Fanatisme religieux : hommes de pouvoirs font croire à des règles religieuses qui ne sont pas écrites dans les textes sacrées de Dieu. Paragraphe 4 . Mage blancs Catholiques. Mage noirs protestants. Embellissements des B. » peut faire penser à Louis XV pour améliorer la vie des hab. de Paris. Malheureusement, même si B0 faire penser à Louis XV pour améliorer la vie des hab. de Paris. Malheureusement, même si Z. es très apprécié, il ne fait pas complètement l’unanimité face à l’envieux et sa femme.

Toutes ses qualités ne lui permettront pas de garder sa place de ministre. Analyse de l’excipite de l’œuvre. (Chapitre 19 : Les énigmes). Le combat Z. devient une sorte de héros devient roi et remporte les * épreuves. Pour cela, pers. ne va l’aider, eest grâce à son mérite et ses compétences qu’il va y arriver. Paragraphe 2 : Pdt la nuit, Z. se fait voler ses armes. Il ne devrait donc normalement pas combattre mais son mérite et sa réputation en tant que ministre va lui permettre de qd même se battre. Les * épreuves sont des énigmes sauf la dernière.

Z. par sa réflexion, sa sagesse, son intelligence et ses expériences va pouvoir les résoudre sans trop de problème. Ces qualités vont une fois de + mettre en avant les défauts de son adversaire Itobad = pas honnête et intelligent. Lors du combat (ultime épreuve) l. se montre prétentieux, sûr de lui, orgueilleux. Mais le sens de l’observation et l’intelligence de Z. ont lui permettre de gagner Toutes ces qualités vont lui permettre de se hisser sur le trône. La reconnaissance de Z. Une fois Z. sur le trône, il donne une récompense à ttes les pers. ui l’on aidés. Il se montre généreux et reconnaissant. Il s’inquiète pour l’éco. du a et va donc favoriser le domaine du marché avec Sétoc. Sétoc. Il ne va pas gouverner seul mais avec l’aide de son ami cador comme conseillé Confit son armée à Arbogad, un homme courageux (brigant). Z. sait reconnaitre les capacités de chacun et va donc leur attribuer un rôle dans lequel ils seront à l’aise et pourront aider le oyaume. Dernier paragraphe : énumération « paix, gloire, abondance », le royaume à trouver le bonheur = terme mélioratif.