I. La satire de la justice. Cacte III consacre 4scène au procès qui oppose Marceline ? Figaro, c’est l’occasion pour Beaumarchais de se livrer à une critique de la justice. Par les propos de Marceline, il critique le mode de recrutement des juges fondé sur l’argent et non sur les compétences. La personne du juge brid’oison est tournée en ridicule par le choix du nom : sa sottise et son incompétence. Son bégaiement convient mal à quelqu’un qui doit faire preuve d’éloquence. Beaumarchais offre une parodie du procès quand Figaro et
Bartolo s’opposent sur l’emploi des conjonctions « et » « ou Il dénonce une justice au service des intérêts personnels. Le compte en condamn épouser Marceline (s empêche le mariage, Il évoque aussi la vén Swipetaviewn « t p g sa dette ou sinon orer cette dette) t) de la justice. Il. Critique de la tyrannie et de l’arbitraire du pouvoir. Le compte représente la tyrannie et l’arbitraire de pouvoir aristocratique. Il dispose d’un pouvoir qui lui permet de disposer des autres personnages.
La critique attaque plus largement la société de l’ancien régime et ertaines de ses pratiques Dénonciations des privilèges de la naissance Etre noble c’est avoir tous les pouvoir sans pour autant les mériter. Nous avons donc une re Swige to vie' » next page remise en cause de l’ordre social qui ne doit pas être fondé sur la naissance mais sur le mérite. Ainsi Figaro oppose sa valeur à la médiocrité du comte. Ill. Dénonciation de la condition féminine. Marceline évoque les injustices dont sont victimes les femmes.
Elle se livre à une critique personnelle mais très vite le « je » se ransforme en « nous » et son discours devient celui de toutes les femmes issus des tous les milieux sociaux. Elle évoque la triste condition des jeunes filles qui, comme, elles ont été déduites et ont eu un enfant hors mariage sur lesquelles la société jette l’opprobre (méprise) alors que ce sont les hommes qui abusent de leur pauvreté. Elle(MarceIine) dénonce un autre abus d’ordre économique.
Les femmes non mariées ont besoin d’un métier pour vivre or elles se voient refuses l’accès à certaines professions dans le domaine e la couture, occupées par les hommes et les privant de toute source de revenus. Elle accuse les hommes d’avoir fondé un système politique et social qui leur permet d’opprimer les femmes. La société se révèle être particulièrement dure à leur égard. Face à l’injustice, dans la pièce, une certaine solidarité féminine s’instaure/ elle transparait dans les rapports entre Suzanne et la comtesse, entre Marceline et Suzanne Quand Marceline n’a plus que des sentiments maternels envers figaro. 2