Le libéralisme aux Etats Unis

Depuis leur découverte, à la fin du XVème siècle, les États Unis donnent l’image d’une « terre promise » où chacun contribuerait à la construction d’une société nouvelle. Ils sont synonymes de nouveaux départs et d’ascension sociale. Dès leurs indépendance, en 1776, en établissant leurs propres lois et leurs propres principes : la liberté, l’égalité et le droit « la poursuite du bonheur ils érigent les principes du rêve américain. Les États Unis sont fondés sur un nouveau modèle économique et politique qui symbolise le monde moderne : le libéralisme (anciennement nommé capitalisme).

Première puissance ondiale, ils ont con avec l’essor des indu le XXème Siècle des échanges conde Guerre commerciaux à trave le . S. v. p page Mondiale. Son modèle politique et économique prône l’autonome et l’individualisme. Le principe fondamental est la liberté des choix et des actions des individus, en fonction de leurs envies et leurs ambitions. Cindividu ne serait plus contraint de rentrer dans une norme ou dans un milieu particulier imposé, mais pourrait se trouver une place choisie dans la société, une place qu’il se serait faite seul.

L’idée est de n’être redevable qu’à soi-même. Ce système est nouveau pour de nombreuses populations. C’est pour cela que pour beaucoup de personnes qui vivent dans des pays politiquement Swige to vie' » next page strict, il symbolise l’opportunité de vivre avec moins de contraintes politiques, plus de libertés et de nouvelles valeurs. Aux Etats Unis, la richesse et la prospérité seraient plus accessibles qu’en Europe ou ailleurs. C’est ce qui contribue l’attractivité des États Unis sur le reste du monde.

Outre un système social et économique basé sur le modèle du libéralisme, les États Unis sont aussi fondés sur un système individualiste, c’est-à-dire, un système dont la liberté individuelle ’emporte sur les possibilités d’entraide ou de solidarité entre un groupe d’individus. En raison d’une liberté omniprésente, d’une politique où chacun fait relativement ce qu’il veut, où les individus n’ont besoin de personne et ne doivent rien si ce n’est qu’à eux mêmes, et ce système attire beaucoup. Toutefois, il comporte des limites.

En effet, ce système a engendré de fortes Inégalités entre les riches et les pauvres en raison des politiques publiques choisies. Contrairement au cas français où le système de sécurité sociale et familiale met à l’abri la majorité des classes sociales des accidents iographiques (chômage, problèmes de santé, pauvreté, etc. ), les USA, eux, se sont orientés vers une autre conception de l’État. Celui-ci n’est pas basé sur une entraide financière entre les citoyens, comme en France et l’aide publique, les droits et les devoirs y sont différents.

La philosophie individualiste aux États Unis implique par exemple la non-protection sociale du citoyen. Il doit coti 2 individualiste aux États Unis implique par exemple la non- protection sociale du citoyen. Il doit cotiser seul pour sa protection sociale, ce qui engendre une dysymétrie entre les différentes classes sociales. Cela est flagrant dans le domaine de la santé où la cotisation pour l’accès aux soins coûte cher, ce qui exclut une partie des américains. En effet, seules quelques classes sociales privilégiées en bénéficient.

Cela marque encore une fois de fortes ingalités, mais celles ci sont très grave, car l’accès aux soins ne prend pas seulement en compte le bien être d’un individu, mais dépend de la vie ou de la mort de quelqu’un dans certains cas. es plus démunis, ou simplement les personnes ayant eu la malchance de rencontrer des difficultés sociales, se retrouvent livrées à elles-mêmes et doivent trouver des solutions ntermédiaires si elles n’ont pas mis de l’argent de côté. Cela amplifie les disparités sociales et économiques.

Outre l’aspect politique, l’individualisme est ancré dans la mentalité américaine. Cela suppose que se mêler de quelque façon que ce soit de la vie d’autrui, troublerait sa liberté. Par exemple, si quelqu’un tente dempêcher un individu de se suicider, cela est considéré comme une atteinte à sa liberté, alors qu’en France.