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Le handicap moteur peut toucher un membre ou l’ensemble du corps. Ainsi, les personnes atteintes de ce handicap se déplacent soit debout en s’aidant d’une canne, en fauteuil roulant ou avec des prothèses. En pratique, les déficiences motrices engendrent une gêne ou un empêchement dans les déplacements, la préhension d’objets et parfois la parole. En France, on estime que 1 million de personnes souffrent d’un handicap moteur (qu’il soit d’origine génétique, accidentel ou cérébral) dont 600 000 sont atteintes de paralysie.

Aujourd’hui, des associations sportives se créent dans la plupart des centres de rééducation sous ‘impulsion et avec l’aide des médecins. C’est un nouveau moyen d’intégration sociale. Tout d’abord, il faut s unique pour la perso e. Swip next page dans des catégories. traiter sont la tétrapl s déficiences est pe les handicaps que nous allons amputations, d’un/ des membres. Ces trois types de handicap englobent à peu près toutes les déficiences motrices : La paraplégie englobe une paralysie des deux membres inférieurs.

Elle est causée le plus souvent par une lésion de la moelle épinière, un traumatisme crânien ou une maladie… La tétraplégie englobe une paralysie des quatre membres ausés généralement par une lésion de la moelle épinière, un traumatisme crânie Sv. ‘ipe to crânien ou une maladie… Les amputations d’un ou plusieurs membres causés par une malformation, une maladie ou un accident. -Les amputations congénitales Dans un membre, l’absence congénitale de tissu ou d’organe réalise une lésion qui peut être à l’origine d’une amputation, ou alors produire un membre malformé.

Ces agénésies correspondent à des malformations dues soit à une cause médicale, soit à une anomalie embryonnaire (une embryopathie). Par exemple, le coureur Sud-africain Oscar Pistorius est né sans ibula et a été amputé des 2 jambes alors qu’il n’avait que 11 mols. XVI ème siècle : Armes à feu et amputations Capparition de la poudre à canon sur les champs de batailles européens accroît notablement le nombre de blessures.

Au XVI èrne siècle, le chirurgien Ambroise Paré développe alors de nouvelles techniques pour attacher des prothèses de membres inférieurs ou supérieurs aux moignons. La Renaissance et le renouveau du développement des sciences (médecine, chirurgie) ont largement contribué à un nouvel essor de l’appareillage. 1997 : Mise en vente d’une prothèse intelligente e prothèse de jambe commandée par un microprocesseur est U mise en vente.

Elle est dotée de capteurs et ses mouvements s’ajustent en temps réel. Dans sa version actuelle, elle permet des activités telles que faire du vélo. Les innovations dans le domaine des prothèses sont tellement variées et leur rythme tellement élevé, que le vieux rêve des membres 2 prothèses sont tellement variées et leur rythme tellement élevé, que le vieux rêve des membres bioniques lui- même est en train de devenir rapidement une réalité. – d’une emboiture en fibre de verre et de carbone associée à de la résine, et de plastique la fibre de verre est utilisée dans l’emboîture principalement pour des raisons esthétiques : la fibre de verre est blanche et peut être colorée alors que la fibre de carbone est noire. Cependant elle est moins utilisée pour le sport car elle rajoute du poids. Sur cette photo, on voit une couche de fibre de carbone noire entourée de 2 couches de fibre de verre ; pour rendre la prothèse plus esthétique. Ce schéma représente une prothèse à restitution d’énergie.

Cest un système de ressort, la lame se fléchit, emmagasine de l’énergie et renvoie l’énergie accumulée, ce qui permet une ropulsion : – plus la lame se déforme et s’écrase, plus il y a de risque de perte d’énergie – plus la lame est rigide plus la restitution d’énergie sera importante, d’où l’utilisation du carbone Nous observons que la lame s’écrase sous la force du poids P. De plus, la force du ressort (Fr) est plus importante que la force du membre d’une personne valide (Fm), et permet ainsi une meilleure restitution d’énergie grâce à un effet ressort (90% contre pour un athlète valide).

C’est pourquoi, cette fédération créée en 1977 est très présente, et se mobilise beaucoup pour ses affiliés. On comp 3 réée en 1977 est très présente, et se mobilise beaucoup pour ses affiliés. On compte ainsi plus de 20000 licenciés en France. De plus, la fédération organise de plus en plus de rencontres ? haut niveau telles que les championnats du monde d’escrime 201 0, la coupe du monde de tennis 2000 à Paris, mais aussi les championnats du monde d’athlétisme à Lille.

Des 300 athlètes de Rome en 1960 aux 5000 des Jeux de Sydney, les  » Paralympiques  » sont devenus aujourd’hui un des événements les plus importants dans le monde, surpassant les jeux du Commonwealth, les jeux Olympiques d’hiver et les Jeux Olympiques de Melbourne de 1956. Ils sont actuellement la 2ème manifestation au monde par le nombre de ses participants. En 2008, les jeux paralympiques d’été à Pékin ont rapporté à la France 52 médailles dont 12 en or. Pendant des années, des athlètes de talent ont été exclus des sports de compétition à cause d’un handicap.

Mais les progrès considérables de l’innovation scientifique ont permis, grâce à la biomécanique et à d’autres technologies, de trouver de nouvelles solutions pour les aider. Van Phillips, un Américain, a perdu un pied dans un accident de ski nautique en 1976. Mais il était frustré et insatisfait de la lourdeur des prothèses dont il était équipé. Il a alors décidé d’inventer des prothèses plus confortables et plus utiles pour son utilisateur, avec un matériau léger, flexible et résistant : la fibre de carbone. Célaboration de matériaux 4 un matériau léger, flexible et résistant : la fibre de carbone.

L’élaboration de matériaux nouveaux ainsi que les avancées significatives réalisées dans les domaines de l’ingénierie et de la technique chirurgicale ont donné enfin aux athlètes handicapés la possibilité de pratiquer un sport. Cette tendance a placé le sport n tant que loisir à la portée de nombreuses personnes touchées par un handicap. Le graphique ci-joint montre l’accroissement du nombre d’athlètes participant aux jeux paralympiques au cours des années et illustre ainsi la hausse de l’accessibilité aux prothèses sportives.

Oscar Pistorius est un athlète sud-africain né sans fibula le 22 novembre 1986, et a été amputé des deux pieds alors qu’il n’avait que 11 mois. Oscar Pistorius réalise des temps dans les courses de sprint qui sont assez similaires à ceux des athlètes valides et est ainsi le premier athlète handicapé à concourir dans des hampionnats du monde pour les valides, ce qui n’est pas sans provoquer de nombreuses polémiques. Il est surnommé « The Blade Runner . – la prothèse n’est pas soumise à la fatigue neuromusculaire.

Elle conserve donc ses propriétés mécaniques tout au long de l’épreuve. Sur 100 mètres, cela ne joue pas. Mais on peut imaginer que la même situation se produise dans les courses de demi-fond où l’on connaît l’effet sur le coût énergétique de la détérioration du geste. – la jonction entre le corps et la prothèse, une zone de contact appelée « sock S appelée « socket » qui, malgré tous les efforts, reste fragile t bouge légèrement ce qui absorbe une partie de l’énergie insufflée dans la course.

En conclusion, il apparait que les prothèses d’Oscar Pistorius constituent un désavantage au moment du départ. Ensuite elles prennent l’ascendant sur les membres naturels lors de la phase courue à pleine vitesse. Il faudrait donc déterminer laquelle de ces 2 phases a l’impact le plus Important sur la course. L’idéal serait de pouvoir organiser une étude transversale en comparant les chronos de course d’athlètes valides avec les chronos de ces mêmes athlètes amputés cette fois ce qui, dans la pratique, st quasiment impossible à réaliser. élaboration de nouveaux matériaux, comme le carbone, a permis la création de prothèses plus souples, plus légères et plus maniables donnant enfin aux athlètes la possibilité de pratiquer activement un sport. Les fabricants sont ainsi parvenus à développer des produits qui, non seulement restaurent les fonctionnalités perdues, mais les améliorent considérablement. Mais pas à n’importe quel prix : la prothèse coûte 8 millions de dollars, financés par le ministère américain de la Défense, le Massachussetts Institute of Technology (MIT) et l’université de Rhode Island.