VA Y AVOIR DU SPORT

On comprend ce qu’il ne faut plus faire. 1) LE MAITRE DE KUN Une fille est à son co comment réagir intel 5 p g e lui explique e donc elle est plus faible qu’un garçon) lors d’un combat pour gagner. Il lui dit de ne pas s’agiter, d’être concentrée, de ne pas se battre. Il lui donne des techniques.

Il prend des animaux en exemple l’aigle : qui déploie ses ailes l’oiseau : qui vole avec agilité pour surpasser l’obstacle ou l’éviter le scorpion : 1 seul coup porté mais mortel (tape pas tout le temps, choisi une seule attaque) le serpent : rampe discrètement puis frappe l’homme N’re qu’on croit faible et stupide en fait la leçon est qu’il faut se méfier des apparences (pas croire que ce que l’on voit) Le maître explique la tactique est de laisser l’adversaire attaquer (il vas e fatiguer) et éviter les coups coups : utiliser la force de l’adversaire contre lui.

Il ne faut pas affronter, il faut dévier l’attaque. Feinter pour déstabiliser. En rentrant chez elle, la femme s’est fait agressée. Elle a appliqué les conseils de son maitre de SPORT et a laissé son agresseur (qui doit être son mari) parler et ne Ila pas écouté donc ne Ila plus laissé lui faire du mal (ne pleure plus). 2) L’IMPOSTEUR Cest l’histoire d’un enfant qui est handicapé. Pour lui un garçon normal doit pouvoir sauter, courir, grimper aux arbres. Cest ce que font ses camarades.

Mais pour lui il y a un décalage entre ce qui se passe dans sa tête (il a une volonté de fer) et son corps (qui ne suit pas). Ses camarades ne se moquent pas de lui car ils sont amis. Mais lui est malheureux, il ne comprend pas pourquoi les autres peuvent faire du sport et que lui ne peut pas. Il est en colère, jaloux : Pourquoi lui ? I peut pas courir, sauter, grimper donc il rève qu’il peut faire tout ça et que son corps répond à ses envies. Il dit que pour lui le SPORT c’est la LIBERTE- I ne peut pas le sport qu’il aimerait (courir, sauter, … donc il se sent PRISONNIER de son corps. A 10 ans, il réalise que tous ses rêves sont faux : qu’il n’est pas un sportif, qu’il est un imposteur. Il se fait une raison. Il est amer. Il tourne le dos à cette liberté (sport). A 14 ans, il lit « Cile aux trésors Il comprend que la liberté, le rêve, il peut les retrouver au travers de la lec 2 OF as trésors Il comprend que la liberté, le rêve, il peut les retrouver au travers de la lecture. Ca lui permet de s’évader. « JE DECOUVRE QUE LA LECTURE, COMME LE SPORT, EST UNE CLEF, UN MOYENDE ME DELESTER (débarrasser, laisser) DE MON CORPS.

ELLE ME CONSOLE CHAQUE JOUR DE L’AUTRE SPORT QUE JE N’AI PAS EU L’HEUR (bonheur) DE PRATIQUER » 3) LE TOIT DU MONDE Cest l’histoire d’Aliette FOREST une fille (qui avait 12 ans l’époque) qui raconte la mort de son père Maxime FOREST qui était guide de montagne passionné d’escalade. Il était parti au Makalu (Himalaya) un des plus hauts sommets du monde. II était parti du camp 3 à 7600 mètres d’altitude avec un sherpa (personne originaire du Tibet) appelé Yansing. Ils ont atteint le sommet. En redescendant, le temps a changé et il y a eu une avalanche. Les 2 sont morts sous cette avalanche.

Un homme qui était resté au camp 3 a filmé l’avalanche. Souvent elle a regardé seule le film dans sa chambre. Sa mère a appris l’accident dans le bureau des guides à Chamonix. Aliette était en colère sur ce qui venait d’arriver. Elle en voulait à la montagne et aussi à son père d’avoir fait cette ascension. Ils ont atteint le sommet mais sont morts en redescendant. Après la mort de Maxime, la mère décida de déménager du chalet où la famille habitait au Mont Blanc (en France) pour s’installer à Paris. Le changement de paysage et de vie était grand.

Ils ont quittés la montagne pour habiter en ville. 3 OF as changement de paysage et de vie était grand. Ils ont quittés la ontagne pour habiter en ville. La mère a gardé plein de souvenir de son mari mais a mis dans des cartons toutes les photos de lui en rapport avec la montagne. Quan la mère était absente, Aliette allait les regarder. Tout le matériel (cordes et piolets) étaient chez le grand-père qui habitait en Savoie. 3 ans après la mort de son père, un garçon de sa classe qul s’appelait Mickaël devint copain avec Aliette. Le garçon faisait de l’escalade.

En cachette de sa mère, Aliette se mit aussi à en faire avec beaucoup d’obstination. Elle reproduisait en fait la même passion que son père. Un été elle souhaita passer les acances chez se grands-parents paternels. Son grand-père (Maurice) qui habitait aussi en montagne (jeunesse passé dans les alpages à garder des vaches) et était devenu guide avait mis de côté tout le matériel de Maxime. Avec lui Aliette a commencé à s’entraîner à escalader des glaciers. Il l’a poussée à continuer les entraînements d’escalades. Il lui parlait de son père et de sa passion pour l’escalade.

Il aurait aimer aller à l’endroit où son fils était mort mais il était trop vieux. Aliette avait compris qu’il regrettait de ne pas pouvoir le faire. Ils partageaient tous les 2 le même rêve d’Himalaya. II lui enseignait ses meilleures techniques descalades pour qu’elle revienne vivante du Makalu. Il espèrait qu’elle lui raconte à son retour comment c’était là-bas. 4 5 vivante du Makalu. Il espèrait qu’elle lui raconte à son retour comment c’était là bas. Pour la perfectionner encore plus, son grand-père fit appel à Eric NIZIER. Il avait réussit à avoir l’accord de sa mère.

Aliette est allée à l’école d’alpinisme à Chamonix. Elle continua de s’entraîner dur. La montagne est dangereuse, il faut bien la connaître. Il ya des dangers avec l’altitude (pour respirer car il y a moins d’oxygène) t avec le froid (si les membres sont gelés, il faut des fois les couper). A 26 ans, Aliette parti au pied du Makalu avec Eric. Ils sont partis à plusieurs pour atteindre le sommet. Dans le groupe, il y avait le fils du sherpa Yansing. Il s’appelait Sheng. Aliette marchait souvent derrière lui en cordée. A 5300 mètres, il ont installé un camp de base.

Ils ont ensuite emmené du matériel au camp 1 à 6000 mètres où ils sont restés 8 jours pour habituer leur poumons à respirer correctement. Avec l’altitude Aliette avait des maux de tête. Ils sont ensuite allés au camp 2 à 6900 mètres. Aliette a suivi Sheng qui croyait qu’elle y arriverait. Il lui dit qu’il l’emmènerait ensuite à 7600 mètres la où leurs pères avaient disparus. Quelques jours plus tard, ils ont été au camp 3 à 7600 mètres. Cétait très dur : « un vrai calvaire Aliette pensait que sans Sheng, elle n’y serait pas arrivée.

Elle avait plus de force et suivait difficilement Sheng avec qui elle était encordée. Elle était tellement à bout qu’elle nia même s 5 difficilement Sheng avec qui elle était encordée. Elle était tellement à bout qu’elle nia même pas remarqué qu’ils avaient échappé de peu à une avalanche. Arrivés à l’endroit où ils avaient disparus, elle admira le magnifique paysage et pris des photos. Plus tard, ils redescendirent Sheng et elle. Sheng l’accueillit dans sa famille et lui donna des affaires de son père : son porte feuille, des photos de sa mère et elle, une gourmette, une chaînette en or et un moulin à prière.

A son retour, Aliette a donné le porte feuille et la gourmette à sa mère, elle a gardé la chaînette et a offert le moulin à prières à ses grands-parents. Elle a montré les photos de la montagne à ses grands-parents. Maurice lui a dit : « C’EST UN ENDROIT QUE DY RESTER, ON EST PAS FORCEMENT MALHEUREUX = il était heureux de voir que l’endroit où son fils reposait était si beau. Et que donc il ne pouvait qu’y être bien. 4) COURIR Cest l’histoire d’un enfant originaire de Vinales (à l’Ouest de Cuba). Cuba est un pays où il y a une grande pauvreté, où il y a un régime politique spécial (on parle beaucoup de dictature).

Il court tout le temps. Il court dans la poussière dans des conditions difficiles, à travers les champs de canne à sucre. Il n’a que ça en tête. II rêve de courir à la Havanne où il y a d’après ce qu’on lui a dit des stades et des routes goudronnées. C’est un dolescent dans la misère qui veut partir pour réussir et s’en sortir. Il est parti 6 5 Cest un adolescent dans la misère qui veut partir pour réussir et s’en sortir. Il est parti mais pour lui la vie est aussi difficile là-bas. Il vit toujours dans la pauvreté. Mais il continue, il ne s’arrête pas de courir et de s’entrainer.

Il n’abandonne pas même SI c’est dur et si tous ces efforts le fait souffrir. Il ne réfléchit pas : il continue de courir. Quelqu’un remarque sa ténacité et il finit par percer et devenir un coureur professionnel du 200 mètres. Il représentera même son pays dans les grandes compétitions. Il ne réfléchit pas : il continue de courir. Moralité : Le SPORT lui a appris à ne jamais baisser les bras et l’a aidé à se sortir de la misère. 5) LE PIEGE Cest l’histoire d’un coureur cycliste Romain Le Garric et de son équipe Inac-Moshi dont il est le chef de file.

C’est une équipe de gagneurs, une bande de copains prêts à tout pour qu’il gagne le maillot rose au tour du Giro (Italie). Il y avait une rivalité entre les italiens et les français. Au départ, les italiens et les Inac-Moshi étaient à peu près execo. A la 7ème étape tout bascula : pluie, froid, chute collective, le élo de Romain Le Garric était inutilisable, il n’avait plus que 2 équipiers pour le tirer. A l’arrivée, il avait 5 minutes de retard sur ses adversaires. es italiens pensaient alors qu’ils avaient gagné le tour d’Italie.

Le lendemain, il convoqua l’équipe entière pour leur expliquer sa ensèrent tactique pour gagner. Beaucou 5 lendemain, il convoqua l’équipe entière pour leur expliquer sa tactique pour gagner. Beaucoup pensèrent que ça ne marcherait pas. Il avait un plan d’attaque fou pour piéger ses concurrents mais toute l’équipe devait l’aider. Le lendemain, après un sprint, l’équipe eu un bonus de 5 econdes. Il ont fait une échappée et le peleton les a rapidement rattrapé. Les jours qui suivirent, ils eurent à nouveau 5 secondes de bonus. Les italiens étaient toujours très surs d’eux.

A la 1ère étape des Alpes, les Inac-Moshi firent à nouveau un sprint. Toute l’équipe a soutenu Le Garric pour qu’il économise ses forces. Le peloton était peu à peu distancé. Mais personne ne contre-attaqua. Finalement, le maillot rose d’accélérer pour rattraper les Inc-Moshi. Mais ce n’était pas un grimpeur. Il s’épuisa vite tandis que Le Garric continuait à prendre de l’avance. Quand es coéquipiers furent épuisés, Le Garric partit seul pour la victoire. La tactique fut payante car cette année-là, il remporta le tour d’Italie.

Moralité : En sport comme dans la vie, la solidarité, l’esprit d’équipe est une force. 6) UNE MEDAILLE DANS LE CIEL C’est l’histoire d’un jeune garçon fils d’un ancien compétiteur de judo (Jean-Luc BOIVIN). Il était ceinture noire 3ème dan et avait décroché à 27 ans la qualification pour les championnats de France. Mais il avait perdu la finale. Après ça il n’a jamais été sélectionné en équipe de France de judo. Il a continué à fa 5 ça il n’a jamais été sélectionné en équipe de France de judo. Il a continué à faire des compétitions mais il n’a jamais percé.

Il avait un CAP d’électricien mais avait tout misé sur le judo. Il pensait qu’il n’avait pas réussi parce qu’il avait commencé trop tard (à 13 ans). Son prof qui a aussi été après celui de son fils a dit qu’il avait un mental fait pour le combat. Quand il a compris qu’il ne parviendrait pas « au sommet il a cherché un autre métier. Il s’est lancé dans l’importation de judogi fabriqués au Japon. Puis il a concu des tatamis révolutionnaires ermes, bien amortis et antidérapants, montables et démontables. Il a eu un grand succès.

Son triomphe n’a pas été en tant que judoka mais son modèle de tatami a été choisi comme tatami officiel pour toutes les compétitions même pour les jeus olympiques. Histoire du garçon : A peine né, il a déjà reçu de la part de son père un nounours vêtu d’un judogi. Pour que son fils réussisse là où lui avait échoué, il l’inscrit dès ses 3 ans au baby-judo. Le professeur de son père (M. LE BIHAN) l’a pris comme élève quand il a eu 5 ans. Au départ même s’il était obligé (par son père) e faire ce sport, le garçon aimait beaucoup le judo (les saluts, l’exercice physique, la beauté des techniques,… . A 13 ans il a eu sa ceinture noire. Son père a demandé au prof de l’inscrire dans les compétititons. Mais le garçon n’aimait pas se battre et la mentalité : prêt à tout même à blesser pour gagner. 35 Mais le garçon n’aimait pas se battre et la mentalité : prêt tout même à blesser pour gagner. Il se fichait des médailles. Lui ce qui l’intéressait c’était les étoiles et les chiffres. Il passait du temps à observer les étoiles au travers de sa lunette à trépied. Son père ne comprenait pas cela. Il voulait en faire un gagnant.

Ais le garçon lors des combats semblait indifférent (il n’allait pas à l’attaque) mais il aurait bien aimé faire plaisir à son père en remportant et pouvoir lui parler de sa passion. Un jour, sa mère l’a emmené à une soirée découverte du ciel. Il avait trouvé ça extra. Le lendemain, il avait une compét. Ila vait encore la tête dans les étoiles. Sans le chercher, il arrivait à deviner ce que ses adversaires allaient faire (comme prise). Finalement, il remporta la médaille du vainqueur. Comme il n’avait pas grand chose à faire e cette médaille, il l’a donnée à son père (qui était sans mot).