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ARCHITECTURE DES RESEAUX LOCAUX . Généralité sur les réseaux locaux : a) Définitions b) Avantages de la mise en réseau des ressources : c) Place des LAN dans les réseaux informatiques : Il. Grandeurs utilisées dans les réseaux : a) Définitions majeur 5 b) Applications p g Ill. Le modèle OSI : a) Décomposition en b) Rôle des 7 couche c) Intervention des couches dans un LAN IV.

Les supports de transmission : a) Généralité sur les câbles utilisés en réseau : b) La paire torsadée ou Twisted pair : c) Le câble coaxial (Thin Ethernet ou Thick Ethernet) : d) La fibre optique : arrivée tardive vers 1970 ) Les systèmes sans fils, parfois une nécessité : f) L’accès au support : du câble à l’ordinateur V. Les différentes Topologies : a) Généralités : b) La topologie en ÉTOILE : c) La topologie en BUS • d) La topologie en anneau VI. Les équipements d’interconnexion : de puissance des signaux en bande de base : IX.

Transmission en Modulation : b) les différents types de modulation : c) Combinaison des modulations de base : X. Les modes d’exploitation b) e mode simplex : c) Le mode Half-DupIex : d) Le mode Full Duplex e) Le mode Full- Duplex à annulation d’écho XI. ‘interface série V. 24 : ) La jonction V 24 • c) Caractéristiques de la jonction V. 24 : d) Les principaux circuits de la série 100 . e) Autres circuits de la série 100 : f) Normalisation : g) Utilisation des signaux V. 4 h) La connexion par modem sur RTC : i) Le connecteur V. 24 j) L’avis électrique V • k) L’interface électrique CCITTV. 11 ou EIA RS232 XII. ces interfaces X. 21 et X. 21bis : a) Généralités sur X. 21 : b) Caractéristiques électriques de X. 21 . c) Les différentes phases de fonctionnement d) La phase de repos : établie pour un minimum de 24 temps d’horloge : e) La phase de commande d’appel ) La phase de transfert de données : g) La phase de libération : depuis tous les états h) Conclusion sue l’interface X. 1 . i) Adaptation de l’interface X. 21 : l’avis X. 21 bis : 2 OF SS * un système est rensemble comprenant les ordinateurs, terminaux, moyens de transfert d’information et constituant un tout capable d’effectuer des traitements et/ou des transferts d’informations. * Un système ouvert est un système capable de communiquer avec d’autres systèmes conformément aux normes OSI. – Qu’est ce qu’un processus : * élément d’un système effectuant un traitement ‘informations pour une application. Le partage des ressources : * des périphériques tels les Imprimantes, lecteurs ZIP ou JAZZ, scanners * des données tels que les fichiers et les logiciels. – Les facilités : amélioration de la réactivité dans l’entreprise. * Gestion du temps de connexion de certains postes de travail, * personnalisation de son environnement, * dialogue en temps réel entre postes (messagerie électronique, talk). – Fiabilité du système : * Protection d’accès aux fichiers et aux logiciels par mot de passe, * duplication des machines et/ou des données. Réduction des coûts : Diminution de la taille 3 OF SS la mise en commun des ressources au sein d’une entreprise voir un campus, Û le diamètre de la surface qu’il dessert n’excède pas quelques kilomètres, LI le débit nominal est de quelques Megabits par seconde, D il ne dessert qu’une seule organisation située dans un domaine privé, il échappe donc aux éventuels monopoles des télécommunications, D DAN (Départemental Area Network) : réseau départemental, û BAN (Building Area Network) : réseau d’établissement quelques centaines de mètres, CAN (Campus Area Network) : réseau de terrain de quelques kilomètres.

MAN (Métropolitan Area Network) : D réseau intermédiaire desservant une ville entière mais utilise la technologie des RC, û assure la mise en commun des ressources au sein d’une entreprise voir un campus, D existe en analogique (réseau câblé TU) et surtout en numérique (FDDI). * WAN (Wide Area Network) : D dessert des pays entiers, Û le débit binaire est généralement inférieur au Mégabit par seconde, LI les composants appartiennent à plusieurs organisations . . les fournisseurs réseau possèdent les moyens de transmission, . les utilisateurs privés possèdent les équipements erminaux.

D utilise les satellites, Transpac (X25), réseaux téléphoniques commutés, Télex… 4 OF SS de bits erronés non détectés malgré les protections, * le TER permet d’évaluer le degré de sécurité d’une liaison via les protections, * les méthodes de protection peuvent faire chuter de 10-4 le TE d’une liaison, * ces méthodes interviennent au niveau 2 du modèle OSI de l’architecture. – Débit binaire : D ou vitesse de transmission d’un canal * nombre d’éléments binaires transmis par unité de temps en bits par seconde * D=I/T (T étant la période de transmission de n bits) différent e RM (Rapport de Modulation). Rapport de Modulation : Rm (Caractéristique physique de la ligne). * nombre maximal de changement d’états du signal par unité de temps en bauds. la valence : V = nombre total d’états possibles de l’information. * le moment : me nombre de bits de codage de l’information et v=2m, – Capacité d’un canal : C * débit binaire maximum d’une liaison en bits par seconde, * Formule initiale : C = BPlog2(V) avec BP la bande passante du canal, * Intégration des bruits dans le canal : puissance du bruit N (noise) : car V (S+N)/N s OF SS pour 10 * D = 2bits/2T Rm = (I/T) bit/s ou Bps.

Rm 1 changement/2T Rm = (1/2)T bauds. – Exemple 2 * Le bruit rencontré sur la liaison est . 0 facteur de limitation de la vitesse max. de transmission, n l’ensemble des perturbations qui affectent la transmission , D lié au canal, au modem et à tous les événements extérieurs (ondes électromagnét 6 OF SS couches qui sont des subdivisions de l’architecture OSI, D les services : capacité que possède la couche N et fournie ? la couche N+l , û les protocoles : règles et formats (sémantique et syntaxique) déterminant de même niveau.

Couches hautes 7 Applications Traitement 6 Présentation 5 Session Service a 4 les caractéristiques entre les couches OF SS bidirectionnel, D en série ou en parallèle, Û selon une ou plusieurs extrémités : point à point ou multipoint. * Assure la compatibilité des interfaces : D pour le codage de la bande de base ou de la modulation, Û pour l’amplification du signal, pour le multiplexage de plusieurs signaux provenants de différentes. sources * Selon des règles de connexion physiques reconnues par l’ISO ou PUIT û norme V. 24 ou RS232 pour les modems. La couche liaison de données : couche 2 * Établit, maintient et libère les connexions liaison de données méthode d’accès), * Une connexion CD est bâtie sur des connexions physiques établies ou non, * contrôle le trafic des données lors des transferts sur les connexions électriques ce qui correspond à effectuer un contrôle de flux d’informations • û l’émetteur et le récepteur doivent se synchroniser afin de ne pas perdre l’info, LI le récepteur doit traiter les blocs d’informations et les délivre a la couche supérieure, Û il faut mettre dans l’ordre les blocs arrivants à la couche 3 (séquencement des blocs). responsable de l’acheminement sans erreurs des blocs ‘information sur la ligne, d’où des mécanismes de protection d’erreur et de reprise sur erreurs, * le taux d’erreur résiduel TER doit alors être négligeable, * les blocs d’informations sont appelés Trames ou LPDU (Link Protocol Data Unit), * différents types de trames selon les normes (Ethernet, HDLC, SDLC). BOF SS transmission. La couche Réseaux : couche 3 * Responsable de l’acheminement des données pour arriver ? bonne destination, * un adressage permettant d’identifier de manière unique chaque utilisateur, * définir un format de paquet et se donne les moyens de détection d’erreur, contrôle le flux afin d’éviter les pertes de paquets par engorgement des chemins, * les paquets peuvent traverser plusieurs noeuds du réseau suivant la topologie, * un routage est nécessaire pour gérer les problèmes d’acheminement, permet le transport des paquets de manière transparente, Û choisir une voie d’acheminement approprié et commute les données en conséquence. * Les erreurs non-récupérables sont spécifiées à la couche superleure, * livraison en séquence des paquets reçus par la couche supérieure, différents types de protocoles selon les normes (IP, ICMP, ARP, RARP, X25), ? datagrammes : paquets que la couche réseau émet de manière autonome (I P). Les paquets d’un même message peuvent prendre des routes D Circuits Virtuels : demande une connexion explicite entre les @ réseaux ou NSAP. Plus grande complexité de gestion mais pas de contrôle de flux. Pas de reprise sur erreur (X. 25). La couche Transport : couche 4 S des messages concernant plusieurs communications : Multiplexage, Û maintient en séquence des paquets et des messages : démultiplexage et réassemblage. La couche Transport identifie de manière unique chacun de ses interlocuteurs : ? en les désignants par son adresse de transport ou TSAP (Transport Service Access Point), LI les utilisateurs de la couche transport doivent ouvrir des « transport connexlons Û ces connexions sont déterminées par une association de deux adresses de transport, LI un service de diffusion doit ouvrir autant de liaisons que de stations à desservir. * Le niveau transport est normalisé ,par les recommandations X. 214 et X. 24, * différents types de protocoles selon les normes (TCP, UDP, NVP), * reçoit des messages SPDIJ (Session Protocol Data Unit) qu’il peur accepter ou non, remet à la couche session les messages TSDU corrects, * gère les points d’accès et les flux, * fragmente les messages en paquet NSDU qu’il transmet à la couche réseau, * Ce protocole doit s’adapter à la qualité des sen,’ices fournis par les couches basses. – Cinq classes de protocoles : couche 4 * classes définies par les organismes IS08073 ou X224, * cinq classes qui s’adaptent aux services rendus par les trois couches inférieures, LI à la qualité de sen,’ice qui a pu être demandée par l’utilisateur. * Classe O : minimum nécessaire à la réalisation d’un service de transport : 0 OF SS