Le monde de la pensée. Introduction : Le monde connait aujourd’hui la célèbre sculpture de Rodin, Le Penseur. La pensée est représentée à travers cette sculpture. Chacun émet sa propre réflexion autour de cette oeuvre (le monde), cependant, personne ne connait les pensées du penseur ( de l’individu). Ses pensées lui sont propre et la nôtre peut-être collective en émettant chacun notre opinion. Ce paradoxe nous montre ainsi que la pensée est multiple. L’Homme ne cesse de songer, dès lors qu’une pensée s’arrête, une autre pénètre dans notre esprit pour stimuler notre cortex, elle est continue et c’ ‘Homme.
La pensée est souve fondement, une brèv pensée. On peut tou p g cipale activité de ible et sans précède une autre ce de pensées pertinentes qui résultent de profondes réflexions et qui peuvent parfois aider l’individu à developper une argumentation précise. Individu, qui passe son temps à penser, individuellement, ce qui contraste avec la notion du monde. En effet, la majeur partie de nos pensées sont personnelles. Il existe aussi une pensée collective, c’est d’ailleurs leur opposition qui vont structurer notre propos.
Si la pensée individuelle repose sur la réflexion ersonnelle, le pensée collective, elle, doit témoigner de plus d’ouverture d’esprit. Dès lors, il s’agira de se demander si La p Swige to vie' » next page pensée peut s’imposer comme raisonnement rigoureux ? La pensée doit-elle être individuelle ou collective ? – La pensée, une réflexion rigoureuse ? Les pensées se succèdent dans notre esprit, elles sont souvent passagères, ne montrant aucun signe de résistance pour sortir de notre esprit.
Alors s’en suit une nouvelle, mais cette nouvelle pensée peut attirer mon attention et engager chez moi, Homme, une sorte de volonté d’approfondissement. Mais je ne contrôle pas l’afflux de mes pensées, je ne décide pas quand je pense mais la pensée vient d’elle-même. Je peux ensuite la neutraliser puisque PHomme possède la conscience de penser, le célèbre Cogito ergo sum de Descartes. Ces pensées arrivent et je ne contrôle pas leur afflux. C’est d’ailleurs ce qu’affirmait Nietzsche dans Par delà le bien et le mal, Nietzsche remarque que la pensée vient d’elle-même il n’y a pas de moi qui veuille penser.
La pensée est un acte involontaire, quelque soit l’objet de cette pensée Si la majorité des pensées sont brèves, certaines peuvent ?tre le fruit de ma réflexion. L’Homme, en stimulant ses connaissances, son vécu et son expérience, va pouvoir établir une pensée structurée et rigoureuse, c’est une option possible. ndividuellement, Phomme va parvenir à aboutir à une forme rigoureuse d’intelligence, un approfondissement personnel de l’esprit. Ainsi, les pensées individuelles peuvent conduire à une réflexion rigoureuse.
Il existe paradoxalement une pensée collective; c’est une généralisat 2 une réflexion rigoureuse. généralisation au groupe de la pensée individuelle. On peut l’assimiler à la notion d’opinion publique. C’est une pensée plus diffuse, elle se fonde plus sur les modes, actualités, prénotions que sur la réflexion. Elle peut toutefois aboutir à une réflexion rigoureuse sur les propos rapportés par le groupe sont justes, on parlera d’intelligence collective, une autre forme d’intelligence, elle est rare mais elle existe.
Exemple : Rien n’allait plus dans la petite ville japonaise d’Iwate, où les usines fermaient les unes après les autres. Le maire, Hiroya Masuda, eut alors l’idée, en 2001, d’inviter ses administrés à rassembler leurs idées dans des « boites à suggestions » pour aire de leur cité une slow city (ville lente), « ou les gens rentrent tôt à la maison, se promènent en famille et bavardent avec leurs voisins En moins de dix ans, Iwate est devenue nol en tourisme vert et en énergies renouvelables.
Clé de la réussite : l’intelligence collective des 8 810 habitants – Ainsi, la pensée considérée comme faible et flasque se révèle finalement comme pouvant être rigoureuse, elles peuvent- être des réalités tangibles et forment alors ce qu’on appelle des formes-pensées. Exemple : Caspar David Friedrich, Voyageur contemplant une mer de nuage Les tableaux de Friedrich sont dominés par une réflexion qu’est l’équilibre entre l’Homme et la nature. Le tableau représente la nature comme grandiose, écra 3 qu’est Péquilibre entre l’Homme et la nature.
Le tableau représente la nature comme grandiose, ecrasante, englobante. Face à cette nature, l’Homme semble ne pas être grand chose, MAIS en même l’Homme est bien au centre de la représentation, il surplombe malgré tout la nature et il affirme un pouvoir que la nature elle-même n’a pas. Le pouvoir de la pensée et de la réflexion. Si la nature englobe l’Homme, on peut dire aussi bien que la ensée humaine peut englober la nature, la saisir dans une représentation, ainsi, par sa pensée PHomme est ici placé au centre du monde.
Transition Toutefois, il est de dos, il est vu mais ne voit pas tout. Pas la totalité. Donc il est le centre mais ne peut tout voir. -> Transition. Ce qui nous amène donc à poser cette question : Il – La pensée doit-elle être individuelle ou collective ? La pensée doit-elle être individuelle ou collective ? Autrement dit, quelle est la meilleure pensée ? Celle qui tend le plus vers la vérité, ou du moins, le plus souvent vers une réflexion rigoureuse. Je ne cesse de penser, mais mes pensées me sont propres, elles divergent selon les individus.
Ce peut-être dû à l’expérience des individus, leur vécu ou leur passé tout simplement. Chacun, dans son enfance, acquière des valeurs différentes. Et en fait sa propre interprétation. Le début des Méditations métaphysiques est centré sur ce constat : Pour Descartes, Nous avons depuis notre enfance reçu quantités de fausses opinions pour véritables. Cins 4 Descartes, Nous avons depuis notre enfance reçu quantités de fausses opinions pour véritables. L’insistance sur l’enfance est importante.
Cela montre bien que dans le cours de notre vie, nous ne pouvons pas être parfaitement voir juste, nous devons d’abord obéir à des jugements non justifiés, donc à des oplnlons. La pensée individuelle est ainsi limité, on parle de « narrow- minded » en anglais pour désigner le fermeture d’esprit que caractérise parfois la pensée individuelle. Cette pensée peut marquer, en se soldant par une réflexion pertinente comme nous l’avons dit précédemment mais elle est le plus souvent restreinte dans sa Justesse par ce manque d’ouverture d’esprit, ce coté trop personnel qui oppose ma pensée à celle du monde.
CF : caspar David Friedrich Jautre part, la pensée collective peut aussi prendre de multiples formes, premièrement la forme de préjugé collectif, chacun émet son opinion, souvent influencés par la société et les tendances politico-économiques. On peut souvent observer dans ces réflexions un certain conformisme qui peut marquer la réflexion collective qui reste statique et non rigoureuse. Mais elle peut aussi prendre la forme d’intelligence collective, un aboutissement heureux et collective de réflexion qui est stable et pertinente.
Cependant, généraliser sa pensée pour Pétendre au groupe peut ussi mener à une erreur collective, un contre-sens. Même si les chances d’arriver à un contre sens sont plus faibles en groupant ses pensées plutôt S les chances d’arriver à un contre sens sont plus faibles en groupant ses pensées plutôt qu’en les individualisant, le risque existe. Par exemple : Mes pensées me disent d’axé mon devoir sur la relation pensée indiv/collective mais rien ne me dit que ma pensée m’aura mené à une problématique hors-sujet.
Ainsi, il semble juste de dire que la pensée individuelle, aussi riche qu’elle puisse être, reste subjective puisque restreinte à un ndividu. Ex : C’est justement le but de l’anthropologue, en étudiant, l’être humain, les sociétés, en s’immisçant ( ex tribus)dans les sociétés. Il tente de se défaire de ses prénotions et d’acquérir une certaine ouverture d’esprit pour tendre vers l’objectivité dans ses travaux. Nous ne pouvons pas suivre en permanence uniquement notre pensee : Nous sommes soumis à des désirs, des préjugés, des influences, à notre inconscient : toute cette part de notre pensée qui échappe à notre raison.
Et dès le plus Jeune âge, nous sommes d’après Descartes soumis à des opinions fausses; constat . Nous avons depuis notre enfance reçu quantités de fausses opinions pour véritables. L’insistance sur l’enfance est importante. Cela montre bien que dans le cours de notre vie, nous ne pouvons pas être parfaitement rationnels, nous devons d’abord obéir à des jugements non justifiés, donc à des opinions. Le doute peut en effet toucher mes pensées, et c’est pour cela que les pensées collectives représent que les pensées collectives représentent le plus souvent une forme discours abouti en s’opposant à la pensée individuelle.
Un tableau illustre très bien cette opposition, c’est la Main tenant n miroir sphérique de Escher, On y voit une boule sphérique qui reflette la pièce de l’artiste. On peut dès lors penser que la sphère représente la terre, et on voit à l’intérieur l’Homme dans une pièce. Pièce assez sombre dans laquelle on a une impression d’enfermement. Telle est la pensée individuelle, elle semble être limité par rapport aux pensées du monde que représentent cette sphère. On voit le monde en 1er plan quand on voit ensuite la pensée individuelle restreinte et complètement englobée par le monde.
Ainsi, la pensée individuelle, en restant essentielle our l’Homme et sa principale activité de l’Homme, constitue un moyen de s’exprimer, d’émettre des opinions. Conclusion . Ainsi, la pensée la plus juste consistera en ouverture d’esprit et de synthèses d’opinions propres à chacun. La pensée collective a de nombreux défauts comme le fait qu’elle soit diffuse et moins basée sur la réflexion mais semble être la plus propre à l’avancée de chacun. Elle est peut-être moins harmonieuse et uniforme que l’opinion personnelle mais reste plus riche en ce qui concerne l’ouverture d’esprit tout en étant plus rigoureuse.