Analyse Lorenzaccio De Musset

INTRODUCTION : Musset est un écrivain français du 19em siècles. Reconnue pour sa contribution romantique au théâtre français. Affirment son Indépendance à l’égard du nouvel esprit romantique ( V. Hugo), il a voulu retrouver l’inspiration intime et sincère et s’est indlrectement exprime par les héros de ses pièces. Il écrivit de nombreuse pièces tels que On ne badine pas avec l’amour (1834), Lorenzaccio (1834) ou encore, Les caprices de Marianne (1833).

Lorenzaccio est un pièce compose de 5 actes, en prose et inspiré par George Sand. A travers trois intrigues principales, le ujet de la pièce a pour ressort essentiel le meurtre d’Alexandre de Médicis, Duc de florence, par son cousin Lorenzo de Médicis. Lorenzo tue Alexandr écho dans la ville. Ta s q de Médicis pour succ er mise à prix, est assas L’extrait que no 5, au moment où Lorenzo meurt. e trouve aucun inal fait élire Come dont la tête a été la scène 6 de l’acte En quoi ce dénouement est contraire à celui de la tragédie classique ? une image définitive du héros romantique. a) Lorenzo : un héros lucide -Personnage qui parle à la première personne, Lorenzo s’implique ersonnellement. « j’ (135) je (140) me (152) » – « J ‘était une machine à meurtre » Utilisation de l’imparfait, Lorenzo parle de lui au passé, co comme si il se considéré déjà comme mort.

J’ai été honnête » (141) Utilisation du passé composé, action accomplie/résolut. De façon irréversible, une image positive de lui même, mais ne se perçoit plus comme commun des mortels. l’ennuie qui me prend » (142) plus de raison de vivre. Montre une tristesse profonde, Lorenzo est tourmenté. un meurtre seulement » (135) adverbe qui nous montre qu’il n’a pas d’autre projet ? parfaite lucidité de son état Peut être le redeviendrais-je» (141) adverbe qui montre l’incertitude, suite montre le doute.

J’aime encore le vin et les femmes » (142) Lorenzo aime encore les objets de débauche. Adverbe qui marque la persistance de son état. Lucide sur ses gouts. -Un jeune homme épris d’idéale, d’illusion b) Lorenzo : un héros suicidaire -Lorenzo tourne en dérision sa situation de danger « cela m’amuse » (147) -Lorenzo ironise les gens qui veulent le tuer « presque courageux » (148) -(148 à 54) discours narrativisé, ce récit à pour fonction « humour oir. En faisant de l’humour noir, il défit oralement la mort. Il se moque de la faiblesse des hommes, évoque de la compassion à l’égard de ses tueur « le pauvre homme » « pitié » (153) è on comprend qu’il n’a plus gout à la vie car avant il n’aimait pas la lâcheté, son combat est fini. une espece de couteau long comme une broche » (151-52) ridicule de la situation. « si penaud » (152) adverbe d’intensité, montre l’exagération de la comparaison. atribuer cela » (158) Lorenzo ne veut pas justifier ses actes. -« il sort »