corpus Proust Mauriac et Sarraute

Ce corpus rassemble trois textes écrient au XX ème siècle. Nous retrouvons le texte Du côté de chez Swann, à la recherche du temps perdu de Marcel Proust de 1913, Le Sagouin de 1951 par François Mauriac et pour finir Le planétarium de Nathalie Sarraute datant de 1959. En mettant ces textes en commun, nous pouvons nous demander qu’elle image du rapport entre la mère et son enfant est donnés ici même dans ce corpus ? Pour cela nous allons d’abord nous intéresser à l’attitude des mères envers leur enfant puis nous verrons les sentiments qui se dégagent.

Nous pouvons observer une différence d’attitude des mères envers leur enfant dans ces trois textes. Nous pouvons vair que Swpe to page dans Le sagouin et d attitudes violentes d pa la violence physique ns to View fait gifler à deux rerpi administra une seco trouvons des coté nous avons de lorsque l’enfant se 1. 6) et « re coté nous retrouvons de la violence moral dans le texte de Nathalie Sarraute avec les disputes et dans les propos t tenu « que je suis bête » (1. 24) et « pauvre imbécile que je suis » (l. 25).

Cette attitude nous laisse deviner des rapports difficiles ntre la mère et son enfant. Mais cette violence ne se retrouve pas dans le texte de Marcel Proust, au contraire la mère se trouve être tendre avec son fils, elle l’embrasse avant de dormir « maman viendrait m’embrasser » (1,2). Nous pouvons en déduire que cette relation est plutôt basée sur l’amour donc un rapport plus lié à l’amour que dans les autres textes. Les rapports ne sont pas les même mais les sentiments sont toute fois similaires. Dans le texte de Marcel Proust et Nathalie Sarraute nous retrouvons deux mère aimant leur enfant.

Chez Proust elle lui procure de la tendresse et elle l’embrasse le soir pour lui permettre de bien dormir tandis que dans Le Planétarium la mère de Gisèle se démène pour sa fille car elle veut qu’elle puisse avoir de beaux fauteuils chez elle. Nous retrouvons donc des rapports plutôt affectueux car ces mères aiment leur enfant contrairement à la mère dans le texte de Mauriac. Dans le Sagouin, la mère hait véritablement son fils. On voit aussi qu’elle tutoie son fils « tu » (1. 1) alors que l’enfant la vouvoie « vous » (l. on fils.

On voit aussi qu’elle tutoie son fils « tu » (l. 1) alors que l’enfant la vouvoie « vous » (1,7) ce qui laisse bien apparaître la différence dans leur rapport. Ces trois textes se rejoignent pour dire que ces relations mère-enfant sont difficiles, car même si les mères sont aimantes dans le texte A et C les rapports sont parfois compliqués. par exemple chez Proust l’enfant est trop dépendant de sa mère et à besoin d’elle pour se coucher ou bien encore dans le texte de Sarraute, la mère veut le bien de sa fille mais elle st trop envahissante, trop intrusive.

Dans ce corpus nous avons donc montré qu’il y a plusieurs sortes de rapports différents. Il nous donne une image de rapports posltifs qui ont un lien avec l’amour, des rapports affectueux avec une mère aimante qui prends soin de son enfant. Mais nous avons aussi l’image de rapports assez difficile avec parfois l’utilisation de la violence, qu’elle soit physique ou moral de la mère envers son enfant. Dans tous les cas, ces textes donne une image de rapports entre la mère et son enfant qui sont très complexes.