Dans La Petite Fille Qui Aimait Trop Les Allumettes

Dans « La petite fille qui aimait trop les allumettes » de Gaétan Soucy, il est question d’une œuvre dont le sujet traite abondamment de l’obscurité religieuse à l’époque de la grande noirceur. Il s’agit d’un roman ou le monde illusoire est plus supportable que le monde réel pour sa narratrice, Alice. Donc, cette dernière est désaxée par rapport à ses « semblables mais n’en est aucunement responsable, car elle est mentalement désorientée, c’est-à-dire complètement retirée du monde et de la Sw p to p age éalité.

En premier lieu, ro le père d’Alice est res narratrice. D’abord, p contrôle excessif sur ors pa nsabl idée de châtiment, qul e mental de la sexuelle et un ouvoir en distribuant des ordres à ses enfants, qui sont obligés de respecter un « très joli document, qui remonte à des siècles et des siècles, les douze articles du code de la bonne maison h.

Retirés du monde extérieur, c’était interdit pour les enfants de sortir du domaine, sous peine de violence, comme on peut le voir à la page 24 : ? Mon frère ignorait autant que moi si nous avions assez de sous parce que notre père ne nous amenait jamais avec lui au village pour acheter des provision provisions à cheval. Il en revenait toujours en beau fusil. Nous n’aimions pas cela, il nous flanquait des horions De plus, son ignorance face au monde réel est une fois de plus montré par l’éducation religieuse dans les livres saints que son père l’obligealt à relire et à retranscrire à chaque jour depuis son enfance.

Se royant un gars et ne sachant pas comment elle était venue sur terre par manque d’éducation, elle demanda à son frère s’ils venaient de l’orifice du pénis de son père : « Elles étaient toutes molles et joufflues, beaucoup plus grosses que celles de mon frère ou que les miennes à l’époque où j’en avais encore (… )Je demandai à mon frère s’il croyait vraiment que nous venions de là, à l’instar des veaux et des gorets » (page 31).

Puis, Alice est prisonnière de sa déviation mentale, car même avec tout e qu’elle a vécu et subit, elle croit au fond d’elle que sans leur « mortier » qui était son père, elle ne savait rien faire. À la page 105 : « De temps à autre, il nous ordonnait de l’attacher ainsi Mon père avait de curieux exercices. Dire que tout cela ne reviendra plus » témoigne qu’elle regrette la mort de son père malgré la violence, le masochisme et le contrôle absolu. En second lieu, Alice est clairement désaxée par rapport au monde extérieur qu’elle découvre. À la page 45, la n