Développement: l) 1) L’humanisme comme mouvement de pensée caractéristique de la Renaissance a défini une nouvelle image de [homme où sont affirmées sa puissance créatrice, sa liberté de penser et d’agir. L’humanisme a fait émerger, une nouvelle vision du monde en redécouvrant les sources gréco-latines de notre civilisation, en critiquant les institutions et les traditions du Moyen Âge, en renouvelant nos modes de connaissances et nos savoirs, comme le dénonce Rabelais dans Pantagruel avec son enthousiasme de montrer sa nouvelle éducation, le nouveau savoir.
Rabelais nous renvoi de l’optimisme a travers son récit, ou le but est de Swipe Lo nexL page proposer un éloge e connaissances nouve s. pas homme, il le devi t » • et donc devenir Hom important dans la re ance avec toutes ses e « Ihomme ne naît ser son humanité ucation joue un rôle usiasme traduit par un optimisme d’avoir de nombreuses et nouvelles connaissances. 2) L’humanisme est porteur de valeur positive tel que la tolérance et la paix avec le progrès social.
Machiavel dans « Le Prince » propose une vision très réaliste et très pragmatique du pouvoir politique. On rencontre un auteur qui veu veut faire bouger les choses en étant optimiste et en gardant espoir. Il estime que dans ce domaine « la fin justifie les moyens ». Les humanistes vont développer une vision optimiste de l’homme, ils ont une confiance totale dans les possibilités humaines. La recherche du bonheur les conduits a plus de justice, d’égalité, de liberté.
Ils vont travaillé pour la paix en s’opposant aux guerres de conquêtes, au respect de l’autre et au refus des violences religieuses. 3) L’Utopie est aussi une forme caractéristlque de l’humanisme, ui permet de critiquer la société en place, surtout de proposer d’éventuelle idées ou solution. L’Utopie traduit une absence de lieu, crée par Thomas More, son œuvre la plus connu « Utopia » exprime un genre très célèbre avec la conquête d’un nouveau monde.
Dans son récit, il nommera une ile Utopie ou règne la justice, la concorde, grâce a une répartition des taches et des richesses qui rejoins l’enthousiasme de Rabelais dans Pantagruel ou l’Utopie amène a se poser la question de savoir s’il ne s’agit pas que d’un idéal proposé, avec un monde « parfait » qui traduit ‘optimisme de voir changer les choses mais bien évidemment tout en restant les pieds sur terre ou il ne s’agit donc que d’un modèle vers lequel il faut tendre sans vouloir l’atteindre.
Etre optimiste sur le changement sans trop en demander. IDI) Mats PAG » OF d sans vouloir l’atteindre. Etre optimiste sur le changement sans trop en demander. 11)1) Mais, l’humanisme est aussi une période pessimiste ou la société est mise a mal par la critique de Montaigne dans « Les Essais » avec le traitements des indiens par les européens. Montaigne refuse une hiérarchie entre les européens et les indiens, ce qui renvoi a une attitude humaniste mais avec un développement de l’esprit critique.
Il tourne en dérision les certitudes des Européens en montrant qu’il s’agit de préjugés, il remet en cause les valeurs Européennes pour pouvoir aborder une philosophie de scepticisme, Montaigne n’est pas optimiste sur le changement, il doute de la bonté des hommes. La réflexion de Montaigne aura des hériters comme Rousseau qui crée le « mythe du bon sauvage », également Diderot avec « supplément au oyage de Bougainville » L’héliocentrisme de Copernic, retire à l’homme son rang de créature élue dans l’univers.
Mais le déchaînement de la barbarie au Nouveau Monde et plus encore celle des guerres de religion ne manquent pas de la nuancer. Montaigne, avant les autres, confie son scepticisme à l’égard de la raison humaine. 2)L’Humanisme, avec sa vision un peu idéalisée de l’homme, se teinte alors de pessimisme lorsque l’Europe est déchiré par les guerres de religions, ou le contexte est exprimé dans « Les hymnes et les discours » d