Karolane Ducharme Dissert

Dudley, le pilote Stephens, le matelot Brooks et le plus jeune âgé de 17 ans nommé Parker. Quelques temps après le départ, une furieuse tempête s’acharna sur le yacht, ce qui obligea l’équipage à entrer dans une chaloupe. Aucune eau potable mais seulement que quelques boîtes de conserves, voilà tout ce que la capitaine eu le temps de ramasser avant de s’échapper du bateau. Puis, près du déshydraté, décidait l’eau de mer. De ce f parce qu’il était trop malade.

Les autres, a décideraient donc qu’il Sni* to View rker trop de la chaloupe es et d’appétit, fallait sacrifier quelqu’un pour sauver les trois autres. Le choix s’arrêta sur Parker, bien que Brooks fut contre le fait de tuer quelqu’un et de le manger. Le capitaine trancha la gorge du jeune mourant et tous les trois hommes bondirent sur le cadavre, près à boire le sang. Le cadavre nourrit les hommes pendant 6 jours. Enfin, le 24e jour un navire allemand les secouru et les amena à Falmouth.

Là-bas, ils reçurent une condamnation ? mort qu’on transforma en peine de six mois de pr Swlpe to vlew next page prison. Leurs explications étaient que «Parker était trop faible pour tenter de résister, qu’il n’avait du reste pas consenti à être tué, que selon toute probabilité les trois hommes n’auraient pas vécu jusqu’au jour du sauvetage s’ils ne s’étaient nourris de sa chair, et que lui-même serait mort avant eux»l et qu’aucun navire était à leur porté de vue durant tout le naufrage.

De ce fait, le dilemme que connurent les trois hommes était s’ils devaient ou non, tuer Parker pour survivre. La première option, celle de tuer Parker impliquait plusieurs épercussions. Les membres de ‘équipage devaient consentir à négliger une vie pour sauver leurs saluts. Donc, ils devaient choisir entre la vie ou la mort. Voilà ici un dilemme très intéressant puisque le sujet se base sur une décision qui ne fessait pas l’unanimité entre les trois hommes. Ils prônaient alors la valeur de la sécurité puisqu’ils éprouvaient tous un besoin physique urgent de survivre dans cette situation. uis, de l’autre côté, s’ils ne tuaient pas le jeune matelot, ils allaient souffrir encore jusqu’à temps qu’ils meurent our protégé l’esprit d’humanité et les mérites de la vie. Ces hommes allaient donc pencher en la faveur de leurs sécurités comme valeur principale. Pour choisir entre ses deux options, la philosophie de Camus pourrait bien aider le choix à faire pour eux. En fa ses deux options, la philosophie de Camus pourrait bien aider le choix à faire pour eux. En fait, pour ce grand philosophe, cette situation est sans doute l’une des plus absurdes.

Il va de soi qu’il choisirait de garder la vie. En fait, la philosophie de Camus repose sur un principe de trinité. Ily a l’absurde, l’humain et l’univers. Ces trois éléments sont essentiels pour que le monde reste en équilibre. De ce fait, ils ne doivent pas éliminer un des trois éléments qui serait Ihomme. À la place, l’esprit de solidarité, l’esprlt collectif devrait être pris en compte. Dans ce cas-là, la seule issue aurait été de se http://ledroitcriminel. free. fr/la_science_criminelle/penalistes/le n_faits/moriaud erat necessite. htm révolter e d’être solitaire.

Ensemble, ils auraient «poussé la oche»2 jusqu’au dernier instant de leurs vies, puisque le destin en avait décidé ainsi. Comme pour faire référence au Mythe de Sisyphe, les quatre matelots auraient restés fidèles et ne se seraient pas abandonner. Ils auraient surmonté cette épreuves ensemble du début à la fin sans se lâcher. puis, si nous analysons la sltuation du point de vue de Mill, le principe d’utilitarisme est alors mit de l’avant. Ce principe vise le plus grand bonheur de tous. Or, trois sur quatre ont préféré condamner Parker our leurs survies s