LANE P Les Et Flux Financiers Li S Aux Investissements De Portefeuille

Lane Mélanie KH Croquis de synthèse : Pôles et flux financiers liés aux investissements de portefeuille. 1) Eléments pour introduire l’exemple dans une copie : Analyse rapide des TERMES DIJ SUJET Les investissements de portefeuille sont des investissements réalisés sous forme d (actions, obligations, du Il git d’un placement Sni* to View spéculatif effectué p agent à capacité de fi correspondent donc sements titres émis par des agents non-résidents dans une optique de rentabilité et de diversification des placements.

Selon le FMI, on considère qu’un achat d’action est un nvestissement de portefeuille (un placement) tant que le total des actions détenues représente moins de 10% du capital social de l’entreprise. Ces investissements sont dits « de portefeuille » car l’ensemble des placements d’un épargnant constitue ce qu’on appelle un portefeuille.

Les pôles financiers sont des lieux qui concentrent des activités diversifiées liées à la finance qui, en étant au cœUr d’un réseau de communication, influencent est un phénomène qui s’est considérablement développé : il y a d’abord eu internationalisation de la finance orsque les techniques bancaires l’ont libérée du numéraire puis dans les années 1990 la finance s’est globalisée.

La sphère financière s’est ensuite considérablement gonflée pour imposer son rythme et ses impératifs de production au point où il est possible aujourd’hui de parler de globalisation financiere ou encore de « planète financière Les pôles et les flux financiers liés aux investissements de portefeuille sont internationaux et sont présents dans la quasi-totalité des pays. Cest pourquoi il est intéressant d’étudier ce phénomène à l’échelon mondial pour n montrer l’ampleur.

Cependant, les investisseurs ont tendances à surinvestir dans deux types de marché : ceux qui sont considerés comme sûrs et sur leur territoire national. De ce fait, ils n’ont pas une représentation unifiée du monde mais considèrent certains espaces plus attractifs que d’autres. La représentation des espaces a donc un rôle important dans la répartition des flux liés aux investissements de portefeuille. 2 2) CROQUIS de SYNTHESE avec légende ordonnée : 4 3) Analyse de I’EXEMPLE qui s’a uie sur le schéma partir de 2005.

La lanète financière renvoie à l’autonomisation et à l’amplification de ces flux de Les stocks et flux d’investissements de portefeuille sont divisés en différents segments répondant à des logiques différentes. Il y a des stocks et des flux liés au marché des actions que l’on achète et que Von vend au gré des opportunités sur les marchés primaires et secondaires. D’autres stocks sont liés aux marchés monétaires qui deviennent spéculatifs et de plus en plus important car ils sont pour les Etats des instruments de politique économique et industrielle.

Il existe des stocks et des flux liés au marché des matières premières qui est devenu instable et hautement spéculatif et qui a donc des conséquences sur réconomie réelle. Enfin, il y a des stocks et des flux liés au marché des obligations (les grands bénéficiaires de ces investissements de portefeuille sont les pays développés qui, grâce à ces placements internationaux, peuvent combler une part de leur déficit budgétaire) ou encore des stocks et des flux liés au marché des produits dérivés. Comment EVOLI_JE cette finance dans le temps et surtout dans ‘espace ?

Les activités et les flux fina pac;F3œF6 x investissements de autonomisés grâce à la dérégulation ( il est possible d’investir des sommes partout dans le monde et donc d’étendre ses possibilités de rentabilité en investissant dans des entreprises étrangères), à la désintermédiation (les entreprises ne sont plus obligées de passer par des intermédiaires tels que les établissements de crédit et peuvent se financer directement auprès des marchés) ce qui favorise la multiplication des types d’actifs financiers mais aussi celle des flux liés aux nvestissements de portefeuille.

Les investissements de portefeuille, qui sont des placements spéculatifs, répondent à une volonté de diversification des placements en les répartissant dans plusieurs pays (il est plus intéressant d’investir dans une entreprise étrangère plus rentable qu’une entreprise nationale). Tout ce système permet des pratiques à différentes échelles, aussi bien nationales que mondiales d’où une interdépendance entre les différents acteurs.

De plus, la suppression des contrôles des changes et l’allègement des églementations des activités bancaires et financières ont permis aux épargnants de diversifier leurs placements au niveau mondial. Quels ACTEURS interviennent au cœur de ces espaces/territoires financiers ? Les investissements de portefeuille attirent de nombreux acteurs qui cherchent une rentabilité optimale de leurs investissements sur le court-terme. Les marchés financiers sont les principaux acteurs liés ments de portefeuille.

En est possible d’acheter ou de vendre des actions, des obligations ou des produits dérivés. D’autres marchés omme le London Metal exchange, le Chicago Mercantile Exchange ou le New York Board of Trade s’occupent de fixer le prix des matières premières agricoles et minérales. Les marchés liés aux produits dérivés comme l’International Monetary Market, le Life (London International Financial Future Exchange) ou le Matif (Marché à terme international en France) sont nés pour répondre ? l’instabilité des changes flottants.

Cependant, les fonds spéculatifs tels que les « hedge funds les sociétés d’assurances, les fonds de pension, les associations caritatives ou ncore les banques centrales et des institutions financière non bancaires investissent et « tradent » sur ces nouveaux marchés afin d’atteindre une rentabilité optimale sur le court terme. Les investisseurs institutionnels placent eux aussi leurs fonds sur les marchés financiers.

Des Institutions internatlonales comme le FMI (Fonds Monétaire International), la banque mondiale ou l’AMF (autorité des marchés financiers) sont également présentes au cœur de ces espaces financiers pour réguler et répartir ces différents stocks et flux. D’autres, omme l’UEM (Union Economique et Monétaire), des créanciers publics (le Club de Paris) ou privés (le Club de Londres) aident les pays endettés afin d’éviter une crise sociale et politique graves. 6 de portefeuille renforcent certaines places financières qui voient gonfler leur capitalisation boursière (Londres, New York ou Tokyo).

Ces places ont donc plus de pouvoir et les acteurs politiques deviennent dépendent des marché de la dette souveraine : le financeur des dettes souveraines rend dépendant le financé et de ce fait limite indirectement sa souveraineté. En effet, cet ndettement mine les économies de certains pays (ce qui fut le cas de la Grèce lors de la crise de la dette publique de 20102011) et peut être destructeur d’espaces productifs pour les Etats qui sont obligés de mener une polltlque d’austérlté.

De plus, cet endettement peut entrainer une forte dévaluation de la monnaie qui fait chuter le PIB d’un pays pour aboutir à une crise (c’est le cas de la crise Tequila en décembre 1994). Il y a donc des risques géopolitiques et économiques liés au marché des dettes. Les matières premières quant à elles sont devenus des valeurs refuges et autement spéculatives qui permettent aux établissements bancaires et aux fonds d’investissements qui ont perdus beaucoup d’argent de se faire le plus vite possible.

Mais en spéculant sur les marchés des matières premières, ces acteurs aggravent les hausses des prix par leur intervention sur le marché à terme et participent à une « fièvre spéculative » qui a des conséquences directes sur les populations : cette spéculation a entrainé des émeutes de la faim et des manifestations qui ont causées la mort de plusieurs personnes (entre 1 00 et 500 millions de personnes sont mortes).