Le March De La Musique YUN YANG YI LUO ARRIS HABBAK

Le marché de la musi Yun YANG Yi LUO Ar Introduction org Sni* to View Ces dernières années, les consommateurs de musique, veulent de plus en plus la simplicité et ce qui est petit. D’après le site • http://www. france24. com les ventes de CD auraient diminué de en revanche les ventes numériques ont augmenté de 42,3% (1 album sur 10 est téléchargeable). Le comportement des consommateurs ers/lesacteursdubusiness delamusique. tml Il est important de comprendre que les rôles de chaque acteurs d e la musique est primordial. Afin d’éviter de s’engouffrer dans le « technicojuridique », nous allons présenter les ifférents acteurs du business de la musique L’artiste : C’est une personne ou un groupe musical, qui détient un projet musical et qui lui donne son nom. Le manager . Il est en charge du « business » de l’artiste, il le représente face a ux autres acteurs que nous verront par la suite.

Le producteur : est la personne ou le groupe de personne qui a payé une certain e somme d’argent pour l’enregistrement de la musique : ingénieur du son, s alaires des musiciens etc… Ne pas confondre avec producteur au sens Anglosaxon qui e n Français est traduit par compositeurarrangeuringé son » Le label : c’est l’entreprise qui se charge de vendre les disques de l’artiste en signant un contrat de licence avec le in d’exploiter ses enreeistr une grande force de persuasion, en effet il faut d’abord convaincre les chroniqueurs et programmateurs afin de présenter les artlcles.

Le distributeur : c’est un grossiste qui achète un stock afin de les envoyer par l’intermédiaire de ses commerciaux, aux chefs de rayons des magasins pour les convaincres d’en acheter quelques exemplaires de leur stock Le tourneur c’est celui qui va convaincre les programmateurs d’acheter le con cert de ‘artiste, il organisera par la suite le déroulement du concert et de tous ses préparatifs, il est donc l’employeur de l’artiste, de ses artistes et techniciens le tem ps du concert.

L’éditeur/conseiller juridique c’est la personne qui gère et protège les drolt d’un artiste, il est rémunéré d’un pourcentage que génère le droit de diffusion d’ une œuvre, autrement dit il touche une pourcentage de l’argent collecté par la SACEM ( Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de musique ) afin de diffuser l’œuvre.

Il prend en charge les formalités de dépôts de œuvres a la SACEM, il s’assure aussi qu’il a eu règlement de l’artiste et de lui même, de la SACEM par rapport aux droits collect és aux noms de ces œuvres. C’est aussi l’éditeur qui négocie les droits par rapport aux remix, reprise, adaptations en 15 ans.

De la même manière, Internet permettra de porter la valeur du chiffre d’affaires annuel de l’industrie du disque de 40 à 80 milliards de dollars d’ici 2010 » Oupiter Communications, cabinet de consulting spécialisé dans l’économie de l’Internet, juin 1999) Première croissance depuis 2003 Le marché Français a atteint 217millions d’euros de chiffre d’affair e au premier trimestre 013, une hausse de 6,1% selon la SNEP (syndicat national de l’édition phonographique) une reprise soudaine dût à la musique actuelle, notamment a Daf t punk (500 000 ventes tous supports confondus), « Daft Punk n’a pas porté le marché à lui tout seul mais il a donné envie au public de retourner en magasin et d’acheter plusieurs CDs. ? d’après Stéphane Le Tavernier, président de Sony France Bruno Mars, Maitre Gims et Sexion d’Assaut font partis des autres succès qui ont engendré cette reprise ContreAnalyse Cependant le marché de la musique perd de l’argent et ce depuis lus d’une dizaine d’année , en effet, en 2004 le marché représentait 415 millions d’euros contre 217 millions d’euros pour le 1 trimestre 2013, par contre ce déclin est de plus en plus ralenti grâce à une numérisation vertigineuse de l’industrie de la musique, sachant que le physi ue représente tout de même ttes soit une croissance La consommation de musique en ligne Hadopi. ETUDE SUR LA CONSOMMATION DE MUSIQUE EN LIGNE. Disponible sur : http://www. hadopi. fr/sites/default/files/page/pdf/consommation Cette étude, a pris la forme d’une enquête en ligne auprès d’un éc hantillon national eprésentatif de 1000 internautes âgés de 15 ans et plus.

Les enq uêtes se sont déroulées du 24 août au premier septembre 2011 Cette étude mise à mesurer l’importance de la consommation de musique en ligne à savoir la quantification des usages relatifs au téléchargement, à l’écoute en streaming, aux échanges en pair à pair, etc. Les principaux enseignements de l’étude sont les suivants : 68% des internautes interrogés déclarent consommer de la musi que en ligne hebdomadairement. 52% d’entre eux téléchargent de la musique, et ce malgré la part i mportante du streaming dans les usages (98%) La durée de consommation hebdomadaire moyenne de musique en streaming est de 5h14 (base : écoute, visionne hebdomadairement de la musique en str eaming).

Le nombre moyen de titres ou de vidéos musicales téléchargées hebdomadairement est de 25 (base : télécharge de la musique hebdomadairement) Les usages sont multiples, avec une grande variété de pratiques la majorité des internautes coutant de la musique en I internet, plateformes ou applications utilisés les internautes disant écouter de la musique en streaming ont cit é 3,6 types de sites internet, plateformes ou applications utilisés Sous quelle formes la musique est distribuée? FREDERIC NEFF . 02/03/2011. http://blog. dbth. fr/2011 /03/la distributiondigitaledelamusiquequoioucomment/ Le marché de la musique n’est plus local mais mondial. Vous pouv ez distribuer votre musique partout. II existe trois façon de distribuer la musique.

La distribution directe Elle consiste à négocier en direct et par site Pacquisition, la livraiso n des fichiers musicaux, les conditions de rémunération et les reportings. Avantages : On est en direct donc plus réactitn Cela peut être plus lucratif (car il y a un échelon en On négocie ses propres taux Inconvenients : Les opérations doivent être multipliées pour chaque store. Pour être disponible de partout, on doit négocier partout… n Le process est donc long à mettre en placeC Et puis usine à gaz dans les fichiers qu’on doit livrer (tous différents suivant les sites) et les reportings (eux aussi tous différents) en proposant une ou plusieurs types d’offres.

Un agrégateur de contenu livre les fichiers aux sites avec lesquels il a négocié les deals et vous fournit les reporting de ventes. Le label/le client paye ce service d’agrégation soit par produit numérisé soit par forfait annuel. L’agrégateur se rémunère sur les frais de mise en ligne et/ ou par un pourcentage des revenus générés. Cl Gain de temps, une seule livraison pour tous les sites Inconvénients : Il s’agit dun partenaire technique, mais il n’y a ni service ni suivi. Cette solution est idéale pour les petits labels et les autoprod car les solutions d’agrégation permettent d’avoir une distribution digitale pour une somme, en générale, assez abordable.

Attention, être disponible à la vente ne veut pas dire qu’on va vendre ! Exemple : CD Baby Zimbalam Dittomusic Les distributeurs digitaux: On a tendance à confondre agrégateur et distributeur. Souvent même on ne les dissocie pas. 0Mais en plus du travail d’agrégateur, le distributeur propose du service. Sa rémunération est, comme pour la distribution physique, basée sur un % des revenus générés par les ventes. Le distributeur représente un catalogue si nificatif en terme de références et surtout de chiffre d’aff différents sites de vente et surtout pousser sur la mise en avant et la visibilité du titr C] Soutien d’une structure de distribution, serviceD

Expertise pour stratégie marketing de distribution Taux de distribution Il s’agit d’une solution idéale pour les labels ayant un catalogue conséquent et/ou projets ayant un potentiel commercial fort. Believe Digltal Idol Ioda The Orchard Zebralution Quel est l’impacte du piratage sur la musique ? http://www. droit-technologie. org/dossier- 1 79/impact -economique-du-piratage-e n-france. html Dossier Tera La copie de fichiers musicaux est divisé en 2 catégories, tout d’ab ord la copie physique qui consiste a graver de la musique sur un cd vierge afin de les di ffuser sans autorisation et renvoi de fi rnet par différents procé pac;FarvFq de 369 millions d’euros pour l’année 2007. Si on considère qu’une personne employée dans la chaîne de vale ur de la musique associée à un chiffre d’affaires de 225. 00 euros le manque à gagner en termes de recettes équivaut à 1640 emplo is directs à temps plein perdus pour l’année 2007 Depuis 2009, nous assistons cependant, à une baisse du télécharg ement illégal, elle est principalement dût à l’essor de l’offre légale tel que le streaming, I a seconde beaucoup moins importante, c’est la lutte contre le piratage de la musique, e effet les autorités luttent continuellement, et réussissent quelques fois a fermer des services tel que Limwire ou bien Megaupload (réouvert en Janvier) Qu’est ce que nous écoutons ? Quel genre de musique on écoute ? (house, rap , rock, rn’b, classiq ue, jazz etc.. De quel pays vient elle ? (EtatsUnis, France etc. ) Par quel moyen(s) nous écoutons de la musique ? Streaming, CD, vinyles, seNice d’écoute de musique en streaming à la demande, etc. ) Combien de temps nous écoutons de la musique par jour ? ( cela dépend de l’endroit ou l’on *AGF g c,Fq