1. 2 : « parfaite » : hyperbole Cl 1. 1 : « attira mande » : hyperbole 1 & 2 & 7 : « beauté » : procédé d’insistance, répétition. C] 1. 21 – 23 : « la blancheur charmes » : hyperbole & description méliorative. Tous les éléments qui composent son portrait physique sont très flatteur, on comprend ici que l’auteur donne un portrait qui correspond au canon du 17e. 2 Lec Premium gy tghjkIktthjkS3S35 anpe,1R 01 2015 4 pages Lecture ANALYTIQUE La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette (1678) Objet d’étude : Les personnages de roman du 17e siècle. INTRODUCTION 1.
Ce texte est un extrait de La Princesse de Clèves paru en 1678 de Mme de la Fayette. Cette auteure, qul vécut à paris durant le 17e siècle et qui fut rattachée au mouvement du Classicisme et plus particulièrement à la Préciosité. Ces œuvres majeurs sont, bien-sûr, celle-ci ainsi que La Princesse de Montpensier. 2. On peut ainsi se demander : « Dans cet extrait de la Princesse de Clèves, les personnages sont-ils à l’image des individus de la société de 17e siècle ? » Swipe to page 3. Ce texte peint d’ab sans égal, ainsi que d mettant la femme ? l. Un Personnage Idé .
Portrait physique la perfection est aditionnels, tout en pri or4 to nextÇEge 2. Portrait moral : VERTU 01. 7 & 14: « vertu » : répétition 0 confirmant cette idée de vertu. 01. 13 : « honnête femme » 01. 5 – 6 : « Après avoir perdu à la cour : On comprend que la mère est quelqu’un de vertueuse, son enseignement, vis-à-vis de sa fille, sera donc tourné dans ce sens. 3. Un portrait de la Noblesse. 01. 14 : « de la naissance » : cela signifie qu’elle est noble. 01. 3 & 7 : « héritiere » : c’est une jeune noble qui est riche, ce qui coïncide avec l’époque.
Dl 18 : « l’on avait déjà mariages » : sa richesse fait d’elle un très bon parti. 4. L’intelligence. 01. 6-7 : « elle avait de sa fille » : elle a reçu une très bonne éducation. 01. 7 : « esprit » & « beauté » : parallélisme mise en évidence des qualités qu’elle a. Bilan : Cest un être idéal : elle est cultivée, instruite, riche, belle, intelligente et vertueuse. Transition : Son caractère idéel est le fruit d’une éducation rigoureuse. Mais qui, malgré qu’elle demeure traditionaliste, détient une part d’atypique. Il. Des principes d’éducation traditionaliste. 1. Le culte de la femme dévouée.
La mère se dévoue à l’éducation de sa fille 01. 6 « elle de sa fille » : durée dans le temps. 01. 4-6 « sa femme extraordinaire » : accumulation 01. 18 « extrêmement glorieuse » : autre exemple d’accumulation C la mère est restée vertueuse malgr PAG » OF d 01. 18 « extrêmement glorieuse » : autre exemple d’accumulation D la mère est restée vertueuse malgré la mort de son mari. 2. Une Vlsion négative de l’amour. Dl. 11 « dangereux » mais 1. 10 « agréable » : antithèse 0 malgré le danger qu’elle énonce, on observe un parallèle avec « agréable » t donc 1 donc une antithèse. Cll. g : « souvent » & 1. 1 : « peu de sincérité « tromperies », « infidélités malheurs » : insistance encore une fois parallèle avec ce danger de l’amour. 3. L’effacement de soi. 0114-15 : « extrême défiance de soi-même » : clalr idée d’intensité il y a une hiérarchie à respecter : la mère décide de TOUT. 4. une certaine soumission à Phomme Dl. 14-15 « s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée : « Seul » est une hyperbole, « d’ » parallélisme Ily a également ici ’emploie d’un présent de vérité générale : la mere fait ici de cette phrase, une règle.
Elle en fait une généralité. C’est l’homme qui selon elle conduit aux malheurs. Bilan : C’est une éducation très classique et traditionnel. Transition . Néanmoins, ce texte défend la position de la femme, c’est l’objet de la dernière partie. III. La Promotion de la Femme. 1. Un manuel d’éducation dont l’auteur est une femme Les personnages principaux sont des femmes tout comme l’au d’éducation dont l’auteur est une femme Les personnages principaux sont des femmes tout comme ‘auteur, Mme de la Fayette. Faire un lien avec la Préciosité, ce courant qui cherchait à promouvoir la femme.
Les femmes nobles se réunissaient dans des salons pour discuter de sujets sérieux, de littératures. Mais ce n’est pas d’une Feminisme ! 2. Des choix d’éducation innovants. Cll. 8-9 « la plupart [… l opposée D Elle voit l’éducation de sa fille autrement que les autres mères. pas seulement aimable » Cl Son éducation est complète. 3. La mère, une femme qui s’affirme. Dl 4-6 : « l’avait laissée revenir à la cour : C] souhait de rester seule. 01. : « Madame opposée » 0 elle ne pense pas comme tout le monde. 01. 8 : « fière » très de son caractère. Conclusion D’une part le portrait peint de la future princesse de Clèves ne correspond pas à la société car elle est décrite comme parfaite. Néanmoins l’éducation qu’elle reçoit s’apparente bien à ce qu’elle aurait pu être au 17ème siècle. Enfin on voit clairement l’influence précieuse, ce mouvement qui tend à améliorer la condition de la femme même si cette œuvre ne peux malheureusement pas concerner toutes les femmes, compte du grand taux d’analphabétisme 17ème siècle…