Histoire des arts Les Joueurs de Skat

Histoire des arts : Les joueurs de Skat Otto dix est un peintre allemand expressionniste, né en 1891 ? Dresde. Il fait ses études à récole des beaux décoratifs. En 1914, il s’engage volontairement dans l’armée allemande. Etant choqué par la violence de la guerre, il peint des œuvres qui dénoncent la guerre. En 1933, Hitler déclare ses œuvres de « dégénérée En 1937, les nazis retirent 170 peintures d’Otto dix des musées. Enfin en 1944-45, Dix retourne aux champs de bataille, il se fait capturer par les français. Il finit par mourir en 1969.

Otto Dix après être revenue de la guerre 14-18, est traumatisé et fait des tableaux qui l’aident dans sa thérapie comme Les joueurs de Skat aussi appelé également les joueurs de cartes peint en Swp to page 1920, c’est une huile cm sur 97 cm. Fait en ors Nationale galerie à B n. Sni* to View Définition de l’expres du Nord. Ce mouve Iage qui fait 117 t conservé à Neue e siècle, en Europe rt du temps des visions angoissantes, detormant la alit pour pouvoir le plus expressif ainsi que provoquer une réaction liée à une émotion.

Les peintures sont les visions négatifs qu’on les artiste de leur onde, é époque…. Des peintures qui critiquent la société et mettent des symboles de la Première Guerre Mondiale. Description : Au premier plan, on voit Trois hommes assis à une table en train de jouer à des cartes, le premier (à gauche) Le premier personnage est disproportionné, il joue aux cartes à son pied et il a également une jambe en boie. Il a une main articulée qui lui sert à poser les cartes.

Il a un tuyau qui remplace son oreille surement un appareil auditif qui lui permet d’entendre la conversation. Le second personnage (au centre), il lui manque une partie de sa peau sur la tête. Il a été scalpé. Il n’a pas ses jambes à la place il a 2 moignons, il a un œil de verre et n’a pas du tout d’oreille. Le dernier personnage n’a pas de jambes, il a un bras mécanique, il porte une croix et a une mâchoire articulé, on peut voir sur la mâchoire : « prothèses mark : Dix Au second plan, on peut voir un porte-manteau, des journaux ainsi que une lampe avec une tête de mort.

L’arrière-plan est très sombre principalement composés de noir et de marron Analyse : Les personnages sont des gueules cassés, des mutilés de la guerre. La table, la lampe et le porte manteau nous montre ue la scène se passe dans un café, pour être plus précis en Allemagne on peut le voir avec les journaux allemands situé au second plan, il p être plus précis en Allemagne on peut le voir avec les journaux allemands situé au second plan, il parle de la guerre 14-18.

La croix de fer que porte un personnage est une récompense allemande mals la tête de mort dans le lampadaire montre qu’il n’y a plus d’espoir voire même que la mort les suit. La composition du tableau est très confuse les lignes directrices sont impossible à voir, il ny a pas vraiment d’équilibre dans e tableau. Les couleurs tournent autour du noir, bleu foncé, verdâtre montrent le peu de vie, d’espoir des personnages. Le jeu de lumière sur le clair/obscur mettent en avant les gueules cassés et nous permet de voir l’absence des membres ou remplacer par des jambes de bois, des prothèses.

La disproportion des têtes se rapproche beaucoup de caricatures exagérées. Interprétation : Le fait qu’il ait marqué « prothèse mark : Dix » montre que l’auteur s’identifie comme étant ce personnage, les personnages sont monstrueux car l’auteur veut choquer le public our dénoncer cette tuerie de la guerre et faire en sorte que ce ça soit la « der des der » des guerres. On suppose que la personne qui porte une croix de fer allemande n’est pas antimilitariste et voir même qu’il en est fière.

L’auteur veut non montrer que les gueules cassés ont combattus pour leur pays et ont eu leur recompenses non montrer que les gueules cassés ont combattus pour leur pays et ont eu leur récompenses mais maintenant ils sont coupés su monde, seule tout le monde ont peur d’eux et ne veulent plus dans la société tout cela a été provoqué par la guerre. Les jeux de cartes ne montre que les jeux sont faits du coup il y a plus moyen de revenir en arrière.

Otto dix parvient à tourner ce tableau dénonçant l’horreur au ridicule, on peut voir les joueurs sont fière d’avoir été dans la guerre mais que maintenant ça leur sert ? rien, il les montre comme des pantins démembrés. La souffrance ici n’est pas que physique mais aussi morale, le fait qu’ils ne pourront plus jamais vivre comme avant, être comme avant. AVIS personnel : J’aime beaucoup cette œuvre, elle nous montre les horreurs de la guerre dans tous les sens du terme et Otto Dix parvient aussi à rendre ridicule les soldats, leurs têtes disproportionnés etc. t encore ils sont partis à la guerre pour leur partie et tout ce qu’il leur arrive en retour c’est plus de vie, plus de membres conformes, il était renié de la société mais il était fier de porter la croix de fer, cette œuvre est plus que choquante, puis mes pensées était à Otto Dix, il a dû être réellement traumatisé pour crée des œuvres aussi spéciales, je me suis donc à chercher d’autres artistes traumatisés par les PAGF pour crée des œuvres aussi spéciales, je me suis donc à chercher ‘autres artistes traumatisés par les guerres comme Fernand Leger, La partie des cartes, ce tableau représente des soldat- robots en train de jouer aux cartes, lui étant plutôt affecté par le mouvement mécanique et répétitif des soldats reconnaissables à leurs casques, les hommes sont encore une fois décomposés ce n’est plus la même vision des choses et voyant le tableau d » Otto dix tout était très simple après la guerre, les gens était juste éloigné de la société et ne peuvent plus retourner en arrière, leur vie a pris une autre tournure, dans Leger, on voit ce qu’il se passe vant, avant de devenir des gueules cassé, ils était des machines à tuer, sans répit, à répéter le geste mainte et mainte fois. Ces deux tableaux avait une vislon de la guerre très différente mals parlait tous deux d’une partie de cartie similtude, coïncidence ou autre ? Et cette fois je suis allé à la source d’inspiration même des deux auteurs pour retrouver chez Paul Cézanne, Otto Dix reprit les couleurs sombre du tableau ainsi que son titre, même les tableau sont exactement pareil, il en va de soi qu’une autre atmosphère sans dégage Œuvre de Comparaison