Critique cinématographique Germinal

Promotion du cinéma par le soviet européen pour la sociéte de classes européenne Evidemment, les mesures de soutien au cinéma francais, elles ne connaissent pas de limites. Claude Berri savait bien comment amasser, au début des années quatre-vlngt-dix, assez d’argent pour financer une superproduction sans précedent, afin de, finalement mettre en scène, coute que coute, la grande épopée filmique, naturaliste-réaliste de « Germinal » qui, à mon avis, ne représente qu’une décalconomie maladroite et mal faite du roman éponyme par Zola.

Le réalisateur malin, aussi connu par on adaptation cinématographique du roman « L’eau des collines » par Marcel Pagnol, a France, elles sont vid e or7 suffisants par la rede nu ventes des tickets au diminution, si ces de Isses publiques en coit pas de moyens e d’habltation et les sont de meme en ass assez d’argent pour ma grande mise en sc ne, je devrai exploiter encore une troisième. Aussitot dit, aussitot fait.

Pour les coproductions, le Conseil européen à Bruxelles est toujours pret à dépenser une grande somme d’argent et en conséquence, probablement aussi sous le couvert de la protection de la francophonie, le défilé pour a coproduction franco-belge-italien se mettait en route en 1992. Malgré t page toute l’aide financière le résultat en est en fin de compte: Désastreux. Le point d’ancrage dans l’oeuvre de Berri de meme que dans le roman, c’est le personnage d’Etienne Lantier: Celui-ci est au charnage quand il arrive à la mine de Montsou.

Il y obtient un nouveau poste en tant que machiniste. De fil en aiguille, Lantier fait la connaissance de tous les membres de la famille Maheu, Cathérine la fille de Toussaint Maheu joué par Gérard Depardieu y inclus. Malheureusement, l’ objet de la convoitise de M. Lantier, Catherine, elle est déjà lié avec Chaval, qui travaille, comme les Maheu, egalement en tant que maitre porion dans le bassin houlller. Et c’est exactement là que la catastrophe se deploie: Dans le roman, page 45, Chaval est décrit citation comme « un grand maigre de 25 ans ».

Dans la pellicule par contre c’est un homme assez dodu au moins de 40 ans qui zezaie au grand dam du spectateur. Caction continue par la confrontation des ouvries houillers face au proprietaire de la mine de Montsou. M Grégoire l’entrepeneur dont j’ai parlé juste maintenant, pour faire des conomies, il ne veut plus payer le travail du boisage absolument indispensable pour que les travailleurs ne soient pas ecrasés par les chambres d’explo tation. par conséquant, la collectivité charbonnière est enragé.

Maintenant, un ouvrier en provenance de la Russie s’entremele à ce pele-mel et c’est le désastre de nouveau: Cet instigateur des émeutes ouvrières PAG » rif 7 Russie s’entremele à ce pele-mel et c’est le désastre de nouveau: Cet instigateur des émeutes ouvrières nommé Souvarine, dans le roman à la page 136 Zola le peint comme un homme aux heveux blonds, dans l’adaptation de Berri sa chevelure est devenu soudainement noire. Ca, c’est le premier problème de l’adaptation: en ce qui concerne le casting, Berri ne reste pas fidèle aux phénotypes proposée par l’original.

Pour conclure cette partie ici, je blame Berri encore d’avoir choisi le terrain d’un studio de cinéma comme décor: Le hameau pittoreque autour de l’eglise, on s’apercoit très vite que ce sont des édifices artificielles en carton, une superchérie déplorable comparable à Disneyland. Finalement, les habitants des corons dans le film ils ont des couettes en duvet. A ce que je sache à la base des contes de mon grand-père , c’est faux aussi: A ce temps-là, les couches sociales inférieures utilisaient des toiles de lin bourré avec des feuilles de mais qui faisaient du bruit.

En bref: Cest du réalisme trop fréquemment ignoré dans le film. Deuxiement, outre cela, oui, c’est vrai que Berri, pour la plupart des aspects, il adhère minutiesement à l’ecriture original du roman: les dialogues y sont souvent les memes, les costumes et le décor s’assimilent à l’atmosphère peint par Zola, l’ambiance du second Empire durant le 19ième siècle est impeccablement ransmise. Mais quoique Zola soit un poéte du naturalisme qui vise à copier I PAGF3C,F7 impeccablement transmise.

Mais quoique Zola soit un poéte du naturalisme qui vise à copier les incidents d’une manière très proche et microscopique on ne doit pas outrer ces efforts-là. Les scènes pendant lesquelles les Maheu ils baignent nu dans le bac de avage, on pourrait y renoncer. Cest de l’exhibitionisme superflu qui contribue nullement à l’accéleration de l’action. Inutilement , à cela s’ajoute encore que l’une de ces scènes aboutit à un acte sexuel entre la Maheude et son époux. Cest seulement le prolétariat qui est montré dans ses rapports sexuels, tandis que la bourgeoisie s’embrasse seulement.

Pourquoi Berri se rattache-t-il à une telle discrimnation? Et comme cérise sur le gateau, cette sorte de prédilection pour le réalisme du metteur en scène trouve son apogée quand la cohue enragé des travailleurs oui les ouvriers sont en grève maintenat coupe la bite du détaillant abhorré: On voit les testicules, on voit la peau avec les touffes de poil, on voit le sang, c’est vachement deguelasse. Bilan: Cest du réalisme exagerée! L’action continue par la grève et l’insurrection des mineurs.

Pendant cette phase-là, Toussaint Maheu est menacé par la garde royale au moment où il apparait avec toute une foule de travailleurs devant la mine. Et maintenant mon troisième point de critique entre en jeu. Après que Toussaint Maheu a été tué par les mercenaires, sa femme crie de tout son coeur désperément, elle est toute émue. par les mercenaires, sa femme crie de tout son coeur désperément, elle est toute émue. Mais en faisant cela, pour l’amour du ciel, il ne lui a pas fallu secouer si fortement le ourisson qu’elle gardait dans ses bras.

C’est une violation de son devoir de sollicitude. Somme toute, la facon de Miou Miou d’interpréter le role de la Maheude est trop pathétique pour ce genre de film.. Elle ne satisfait pas aux exigeances parce qu’elle a accumulé trop d’expérience dans le théatre expérimental auparavent: Elle surjoue. Au grand regret du spectateur, Gérard Depardieu, lui aussi, il ne montre pas de trace de humour nan plus: Pas de blagues, pas de grimaces, pas d’escapades, malgré son talent évident de comédie. Bilan: Du réalisme avec de telles nterprètes sobres et sec, ca ne fait point de plaislr!

Quatrièmement, je dois le dire, l’éclairage pendant le film est mal organisé. Quand les lampes à pétrole scintillent dans la fosse, j’ai cru en une erreur de DVD et les tons bleuatres pendant les scènes panoramiques des paysages du Nord avec tout ce brouillard éthéré comme si l’on se trouvait dans la haute montagne me dérangeait outre cela. Je sais que le film est situé au Nord de la France et pas dans le Midi mais ca cloche avec la poésie du récit. Ces scènes du mauvais temps repoussent le spectateur à long terme.

La scène de fete dans la grange par contre par rapport à l’éclairage, elle rend une ambiance assez estivale et chaleureuse qui par contre par rapport à l’éclairage, elle rend une ambiance assez estivale et chaleureuse qui égaye le récepteur. Pour conclure le fil de l’action, Souvarine l’instigateur des émeutes avec ses origines russes , il enflamme finalement le batiment de la mine (cent deuxième minute) et dans ces moments-là, l’eclairage a tout mis en ouevre pour transmettre la situation tout à fait inconvénablement ou à le vrai dire elle n’a rien fait parce que es emetteurs lumineux on ne les ai pas mis en marche.

On ne voit que des ombres de Souvarine, c’est seulement sa silhouette qui est visible. Cela répond parfaitement au cliché que le péril provient toujours de l’ancien empire des tsars. On n’a pas honte d’etre idéologiquement biaiseé. Bilan: L’eclairagiste doit s’occuper d’un stage afin d’acquérlr les connalssances basales du métier. L’eclairage erre dans le superréalisme! Je ne peux que le confirmer encore une fois ici à la fin, c’était de l’argent gaspillé de s’engager dans ce long métrage.

Pour oi, Berri est un peu comme Zola qui, d’après le chercheur en littérature Marcel Girard, a tergiversé pendant toute sa vie en ce qui concerne sa place sur l’echelle politique. Enfin, l’oeuvre filmique de Berri ne correspond point à une conviction socialiste, le sujet prmordial de l’oeuvre, à mon avis. Berri, il lui a manqué du courage et les idées nouvelles pour interpréter judicieusement le message de la thématique abordée par Zola. Cest pas nouvelles pour interpréter judicieusement le message de la thématique abordée par Zola. Cest pas de l’art, c’est une mauvaise copie de l’original.

Il n’a pas réussi de fondre le concept basal dans une moule différente pour l’exprimer dans le langage de la metallurgie. Le Russe est le méchant et la révolution échoue. Au moins, il aurait pu transformer la fin en une victoire finale du socialisme. Mais non, la seule compréhension du socialisme que Berri ait obtenu, c’est d’invoquer le Conseil européen pour le financement de son projet. Dans le sens figuratif , le Conseil europeen représente un soviet, si l’on reste avec la terminologie socialiste pour un moment. Mais ca, c’est la seule notion et demande de Berri auprès du socialisme:

Collecter de l’argent de la part d’un fond évidemment concu pour les réalisateurs débutants pour sa propre ergothérapie croulée pendant laquelle il garde nettement l’ordre des deux castes capitalistes. De l’un cote les acteurs généreusement renuméré qui étaient déjà établis avant cette superproduction, comme Gérard Depardieu ou Miou-Miou; et de l’autre coté, le grand nombre de figurants qui rentraient à la maison à la fin de ce projet avec un honoraire de misère. Promotion du cinéma par le soviet pour la sociéte féodale de classes en Europe. J’en ai vralment marre de cela, je dois vous le dire franchement.