place unique de la femme

La Femme occupe une place unique notamment au sein de sa famille ; son rôle de mère, qui est bien différent de celui du paternel et qui ne peut être remplacé. En effet à ce niveau , la femme devient unique car dès la naissance celle-ci reçoit l’instinct maternel qu’on lui accorde avec tout ce qui s’en sult , s’occuper de ses enfant en leur procurant une bonne éducation, s’occuper du travail domestique etc. Cette tendance innée serait alors déclenchée spontanément et systématiquement.

D’ailleurs il faudra attendre Juillet 2002 pour que l’ont voit utile la présence du père après les emaines suivant l’accouchement de leur femme, ils se voient alors accorder un congé paternité. Il est vrai que l’instin l’essence même de n’est pas de l’accord or 5 Sni* to View eaucoup comme s siècles. Mais cela femmes se sont révoltées face à cela. Parmi les plus connues en France, nous pouvons citer Simone de Beauvoir et la célèbre E. Badinter.

Le combat des féministes a fait remonter à la surface cette Swlpe to vlew next page cette notion, leurs revendications ont bouleversé les croyances ancrées depuis plusieurs siècles déjà. En effet, l’essence même de la femme a d’abord été éterminé par le discours religieux. D’après les textes bibliques, la femme était destinée a n’être qu’une créature faible, tentatrice, curieuse , responsable et coupable du malheur de l’homme. Ainsi Eve, qui se laissa tenter par le serpent lui promettant un pouvoir égal à celui de Dieu, fut coupable du péché d’orgueil et de sa curiosité.

Ce qui eu pour conséquence l’expulsion d’Adam et Eve de l’Éden par Dieu, qui les rendit tous les deux mortels. Ce concept aura eu une forte influence sur les société et dans les discours politiques jusqu’au 18eme slècle. La femme considérée omme plus faible que l’homme, en était réduite à porter les enfants et à s’en occuper. D’ailleurs, Rousseau dira que la femme doit « souffrir en silence et dédier sa vie aux siens » et que le seul bonheur qui lui est accessible est celui de la maternité.

De plus, le naturaliste Anglais Charles Dan. uin au milieu du 19eme siècle va établir un lien entre les femelles animales et la femme en analysant les comportements de femelles de plusieurs espèces animales différentes, il va se rendre compte que, quelque soit l’espèce des femelles considérés, elles agissent de manières assez similaires, avec leur progéniture. Pour lui, ces marques d’affections vis à v manières assez similaires, avec leur progéniture.

Pour lui, ces marques d’affections vis à vis des bébés, que l’on retrouve aussi bien chez la femme que chez les animaux et qui sont d’une ressemblance infaillible, traduisent un instlnct commun à toutes les mères. Certains scientifique ont repris cette théorie, et vont mettre en avant le fait qu’il existe des phénomènes qui stimulent donc les comportements maternels. Par exemple, il existe un gène, appelé gène fos », qui se déclenche lors de la grossesse et qui stimule la réaction maternelle.

Un autre mécanisme déclencheur provient de la prolactine, il s’active lors de la montée de lait chez la mère et provoque en elle des pulsions maternelle. Cependant, un siècle plutard l’idée d’instinct maternel n’est pas acceptée par tous. C’est le cas pour la célèbre féministe Simone de Beauvoir qui après avoir publié son livre Deuxième sexe où elle nie l’idée d’un instinct maternel : « L’attitude de la mère est définie par l’ensemble de sa situation et par la maniere dont elle l’assume. ? et défendait l’avortement, a fait scandale ? une époque ou l’avortement est considéré comme un homicide t va même critiquer l’hypocrlsie de FEgllse catholique qui a autorisé des meurtres mais juge que l’avortement en est un et des hommes qui condamnent favortement mais poussent leurs femmes à y avoir recours quand cela les arrange , quant au m l’avortement mais poussent leurs femmes à y avoir recours quand cela les arrange , quant au mariage elle le qualifie comme une institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination de son mari et ne peut en échapper.

S’inspirant de sa prédécesseur Simone de Beauvoir, Elisabeth Badinter philosophe, écrivain et féministe française, nous dit dans L’Amour en plus. « L’ amour maternel n’est qu’un sentiment humain. Et comme tout sentiment, il est incertaln, fragile et imparfait. Contrairement aux idées reçues, il n’est peut-être pas inscrit profondément dans la nature féminine. ? observer l’évolution des attitudes maternelles, on constate que l’intérêt et le dévouement pour l’enfant se manifestent ou ne se manifestent pas. La tendresse existe ou n’existe pas. Les différentes façons d’exprimer l’amour maternel vont du plus au moins en passant par le rien, ou le presque rien » E. Badinter a cherché à nous expliquer que l’instinct maternel que nous prenons pour un déterminisme biologique n’est qu’un déterminisme social, culturel. ieu d’instinct, ne vaudrait-il pas mieux parler d’une fabuleuse pression sociale pour que la femme ne puisse s’accomplir que dans la maternité Ajoutons à cela que l’instinct maternel n’est autre qu’un conditionnement culturel et social certes mais que l’idée d’instinct maternel a servl aux hommes d’exercer un pouvolr PAGF et social certes mais que l’idée d’instinct maternel a servi aux hommes d’exercer un pouvoir sur les femmes, victimes alors de iscrimination et de machisme.

De ce fait, l’enfant permettrait à l’homme de continuer à exercer une certaine domination sur la femme, car pour être alors, une bonne mère, plusieurs obligations s’imposent à la femme telle que la retenir dans son foyer. Il est vrai que nous pouvons toujours contredire cette notion affirmant que l’amour maternel ne provient pas d’un gene biologique mais d’une construction sociale. Pour prouver cela, l’ont pourrai se baser sur de nombreux cas d’infanticide et de maltraitance des enfants. Nous savons par exemple qu’en Chine des petites filles sont tuées dès la naissance.

Nous nous rendons compte aussi par des faits divers que les infanticides en France sont bel et bien présents récemment avec le fait divers Fiona la jeune petite fille tué et enterré par ses parents ou encore l’affaire des trois bébés congelés.. Néanmoins, l’instinct maternel demeure ancré dans notre société. En effet, dès notre enfance, les filles et les garçons sont traités différemment. Ainsi, les petites filles sont encouragées à jouer à la poupée, pendant que les garçons jouent avec des jouets plus « virils », cela va ainsi conditionner la femme à son futur rôle de mère…