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hi, l’m alone okay? okay. *o* nos étoiles contraires un livre et un film tellement magique, on ressent les emotions des acteurs durant tout le film j’avais les larmes au yeux. Ce film est tiré d’une histoire vrai comme quoi on ne s’attend a rien. bref juste pour le plaisir je vous dis que c’est Gus qui meut à la fin. oui je suis un bip il ne fallalt pas lire. u rages c’est sensé me faire quelque chose en tout cas je ne ressens rien contrairement à toi qui est dégouté, tu n’as plus besoin de dépenser tes sous pour aller voir le film ou alors pour aller l’acheter désolée pour toi chou. Je compatie à ta haine, t’inquiète ca va bien se passe n’y pense plus, je t’es gaché toute ton histoire et alors une vraie bip en ai une ecoute sois tu fais to View chier les gens sois no pendant les vacance mon ordinateur à écr il le faut bien non? i laisser un petit mess cs s’ennuie un peu me retrouve devant ire passer le temps, nie je t’inviter à me on ne vit qu’une seule fois mais si tu discutes avec moi pour m’insulter tu perdras ton temps chéri enfin je te fais pleins de petit bisous moi je reste cool musique au calme petit reggae en fond aller glucklichen eburstag les loulous mouuuaak…. a apparement il faut encore un peu plus de texte pour s’inscrire bo Swipe to View next page bon je vais copier une document wiki pour combler le tout tchuss ! ? Ily a d’abord le mentor notre musique locale traditlonnelle. Le ska, le rocksteady et le reggae ont pris au mento le jeu ? contretemps de la guitare rythmique, et aussi certaines chansons transformées. Si on essaie d’établir des relations entre les musiques, et de voir quelles continuités existent d’une période à une autre, on peut isoler le jeu à contretemps de la guitare, ue l’on peut entendre dans le mento avec le banjo, le ska, et qui correspond aussi au contretemps dans le Mthme and blues et en particulier dans le piano boogie-woogie.

C’est le « beat » entre les temps, c’est le Tin-Cutin’-Cutin’ -Cutin’, c’est le un ET deux ET trois ET… Tu le retrouves dans toutes nos musiques, le reggae, le calypso, le mento, la musique de la Martinique, de la Guadeloupe, tu le retrouves dans le hi-life, mérengue. De plus cette attirance vers l’ « after-beat » se retrouve dans les églises, avec les rythmes des tambourins, des claquements des mains… Une grande art du mento provient de la musique populaire. Mais nous avons aussi des traditions folk très fortes, qui pénètrent dans la musique à différentes étapes de son développement.

Par exemple tu as la musique Burru, le tambour traditionnel africain sur lequel les gens font des chansons sur les évènements locaux. Ces chansons sont celles qu’ils chantent en creusant dans les champs, des diggin’songs… » — Linton Kwesi Johnson, entretien avec chantent en creusant dans les champs, des diggin’songs… » — Linton Kwesi Johnson, entretien avec Bruno Blum paru dans le uméro hors-série magazine Best Best of Reggae (1994). Le reggae est apparu en Jamai@ue à la fin des années 1960 dans un contexte de forte émulation entre petits producteurs de musiquel.

Il est le fruit de nombreuses rencontres et de métissages : évolution du ska puis du rocksteady, il trouve ses racines dans les rythmes et musiques blanches coloniales qu’on faisait jouer aux esclaves (polka, mazurka, scottish, quadrille mais aussi musiques de types militaires avec fifres et tambours2), les formes culturelles et musicales du XIXe siècle comme le Kumina, e Junkanoo (en) ou le Revival Zion qui se traduisent dans les musiques traditionnelles caribéennes (mento puis calypso)3, mais est aussi très influencé par le Rhythm and blues, le jazz et la soul music (la musique américaine est alors très en vogue en Jamaique). ? ces influences s’ajoute celles de musiques africaines, du mouvement rasta et des chants nyabinghi, qui utilisent les tambours dérivés des cérémonies Burru afro-jamalcaines. Ce métissage ne s’arrêtera pas là : aujourd’hui nombre de styles s’inspirent, intègrent ou reprennent le style reggae de par le onde. Le reggae est aujourd’hui une musique universelle, comme le souhaita son principal ambassadeur, Bob Marley. Le terme apparaît en 1968 en Jamaïque, mais son origine est controversée. II pourrait venir du mot d apparaît en 1968 en Jamaïque, mais son origine est controversée.

Il pourrait venir du mot d’anglais jamaïcain, « streggae », qui désigne une personne mal ou trop peu habillée, et de là, les prostituées4; ce mot aurait été modifié par une radio jamaïcaine de l’époque. Cette étymologie est également fournie par le grand roducteur de reggae Bunny Lee qui l’explique au musicien et musicologue spécialiste de la Jamaïque Bruno Blum dans le film Get Up Stand up, l’histoire du reggaeS, précisant que les radios n’avaient pas aimé le mot péjoratif « streggae ».

D’autres explications existent, comme celle qui en fait la contraction des expressions « regular guy », « regular people », en somme une musique faite pour « l’homme de la rue » (citation Bob Marley, interview [réf. nécessaire]). Pour le chanteur Bob Marley, le terme aurait des racines espagnoles et désignerait la « reine des musiques » la musica del rey »)6.

Selon d’autres sources, il serait la contraction et l’altération du terme anglais « raggamuffin » (littéralement « va-nu-pieds ») 7 ou peut-être de rege-rege « querelle Autre hypothèse, « reggae » désignerait une tribu de langue bantou originaire du lac Tanganyika8. Derrière toutes ces étymologies possibles, se dessinent les particularités d’un genre muslcal fat d’héritages, de brassages, d’appropriations et de confrontation à la dure et rugueuse réalité.

Enfin, dernière explication, le terme « reggae » découlerait de la spécificité de son rythme PAGF Enfin, dernière explication, le terme « reggae » découlerait de la spécificité de son rythme – «a ragged rythm» un «rythme déguenillé» ou «irrégulier» – comme le soutient le gu’tariste de studio Hux Brown 9. On ne peut pourtant s’empêcher de rapporter cette origine rythmique du mot « râga » 10 en inde qui désigne des cadres mélodiques fondés sur les théories védiques concernant le son et la musique.

Cest certes probable du fait de la main d’œuvre indienne arrivée sur l’île (qui a également influencé de nombreux rites rasta : nourriture ital/végétarienne, hillum/chalice,… ). Tout aussi problématique est la question de la paternité du reggae en tant que genre musical proprement dit ; paternité qui, contrairement au rocksteady, est très controversée : certalns attribuent le premier disque de reggae aux Maytals avec Do the Reggay (en) en août 1968.

Cependant, si Toots est certes le premier à utiliser le mot « reggae » dans une chanson, d’autres morceaux au tempo un peu plus rapide que le rocksteady ont déjà préfiguré le style au cours de l’année 1968. D’autres compositions se disputent le titre de premier reggae, ont le Bang A Rang de Stranger Cole et Lester Sterling (pour Bunny Lee), le Nanny Coat de Larry Marshall et Alvin (sous la direction de Jackie Mittoo, pour Studio One), la première version méconnue du Soul Rebel de Bob Marley parue chez IAD, et le No More Heartache des Beltones.

Pop-a-Top de Lynford Anderson annonçait aussi en 1 969 un nouveau st Heartache des Beltones. Pop-a-Top de Lynford Anderson annonçait aussi en 1 969 un nouveau style de rythme. Cette première phase d’évolutlon du reggae, que l’on qualifie de période du « early reggae », est caractérisée par un tempo plus apide, et l’accentuation du contretemps déjà présent dans le mento, le ska et le rocksteady.

Puis le tempo ralentira, la basse se fera plus lourde encore, mais le reggae gardera cette base Mthmique basse/batterie prédominante et ce mouvement chaloupé qui lui est propre. Lee « Scratch » Perry est également à l’origine d’un des premiers succès reggae de 1 968, Long Shot (interprété par les Pioneers, avec les jeunes frères Aston « Family Man » et Carlton Barrett à la basse/batterie), où il utilise une rythmique reggae. Scratch travaille alors pour Joe Gibbs et le quittera pour ne pas avoir ?té crédité pour son travail sur ce morceau [réf. écessaire]. Il reprendra cet arrangement de basse/batterie à son compte et en fera son People Funny Boy, un succès jamaïquain. en se lançant dans la production, avec son propre label Upsetter (énerveur). Scratch utilisera par la suite des pratiques innovantes qui transformeront le reggae, comme l’introduction de bruitages (l’origine du sample). Il fondera également le légendaire studio Black Ark où seront enregistrés, entre autres, Bob & The Wailers, The Congos, Max Romeo, Junior Murvin.