la religieuse

La princesse de clèves , Mme de La Fayette La Princesse de Clèves fut publié en mai 1678, sans nom d’auteur, chez l’éditeur Claude Barbin. Cette œuvre fut par la suite attribué a Mme de La Fayette . Cette œuvre est composée en 4 parties . Biographie de l’auteur : Née en 1 654 à paris daans une famille de petite noblesse elle sera dame d’honneur de la reine Anne d’Autriche . Elle se mariera avec le compte de La Fayette en 1655 et aura 2 fils . Synopsis : l) L’action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri Il durant les dernières années rincesses rivalisent de Chartres vient tou Il.

Cette demoiselle e égale, notamment pa cg or 4 Sni* to roi, princes et rie. Mademoiselle iver à la cour d’Henrl ar sa beauté sans e duc de Guise Conseillée par sa mère qu’elle admire enormément elle devient Princesse de Clèves. Malheureusement, elle n’éprouve que de l’amitié pour cet homme et tombe amoureuse du duc de Nemours. Cet amour sera réciproque mais la jeune fille, attachée aux valeurs que lui a transmises sa mère, est très vertueuse et respectueuse de son mari, elle n’assume absolument pas ce sentiment.

Mais la présence fréquente de Monsieur de Nemours ne lui permettra pas d’oublier ce sentiment et elle en souffrira beaucoup. Cette passion infernale tue Swipe to nex: page tuera sa mère et son mari. Une fois libre, elle ne cédera toujours pas à ses sentiments et se retirera dans un couvent, au grand désespoir de Monsieur de Nemours. Courte analyse Ce roman est considéré comme le premier roman d’analyse psychologique. En effet, il se consacre essentiellement ? l’exploration des sentiments des personnages (ceux de la Princesse de Clèves, de son mari et du duc de Nemours), des entiments d’amour, de vertu, de désir, de renoncement.

Camour est omniprésent dans le roman. En effet, tous les personnages sont amoureux ou courtisés. La vision qui s’en dégage est celle de la Préciosité : l’amour conduit inévitablement à la souffrance même s’il peut contenir du bonheur. La jalousie apparait icl comme une des horreurs de la passion, une marque de folie. Le roman a également des vertus historiques : présentation de la cour d’Henri Il, habitudes de la cour. La religieuse , Diderot Au début du récit, Suzanne vit encore avec ses parents. Ses deux œurs ont très largement la préférence de M. t Mme Simonin, et Suzanne se sent délaissée et malheureuse chez elle. Ses sœurs une fois adultes reçoivent une dot de leur parents, se marient et partent vivre de leurs côtés. Quand à Suzanne, ses parents l’envoient au couvent de force. Cette derniere qui ne souhaite en aucun cas finir ses jours enfermée parmi les religieuses, commence par s’opposer et refuser le sort qu’on lui réserve ; cependant sa mère lui apprend que M. Simonin n’est pa PAG » OF d et refuser le sort qu’on lui réserve ; cependant sa mère lui pprend que M.

Simonin n’est pas son père et que Suzanne représente aux yeux de sa mère la seule faute qu’elle a commise dans sa vie et la lui empoisonne. La jeune fille désireuse de rendre heureuse sa maman se sacrifie pour elle et accepte de se rendre au couvent de Longchamp, à contrecœur. l_a première supérieure de sœur Suzanne est Madame de Moni. Elles sont très attachées l’une à l’autre et quand elle décède, Suzanne est très affectée. Aimant trop son ancienne supérieure et le faisant sentir, elle s’attire les foudres de Christine.

HaiSsant sa vie et sa upérieure, Suzanne commence à se rebeller en entrainant les autres religieuses. Elle est enfermée et battue, et c’est à sa sortie que commence son terrible calvalre. Les rellgieuses apprennent à la fuir comme la peste et à la détester à cause de Christine et la seule alliée qui lui reste est la fidèle sœur Ursule qui l’aime sincèrement. Ursule contact alors monsieur Manouri qui est avocat pour tenter de faire sortir Suzanne du couvent, car il faut savoir que cela est interdit en principe à cette époque. Cette derniere subit alors les pires châtiments et tortures.

Privée de nourriture et de vêtements propres, blessée par les autres, tout repos lui étant défendu, elle tombe malade et Ursule en meurt de chagrin. Cependant sœur Suzanne survlt et se remet, elle retrouve un statut convenable au sein de la communauté grâce ? un religieux supérieur qul remet, elle retrouve un statut convenable au sein de la communauté grâce à un religieux supérieur qui prend sa défense. Monsieur Manouri parvient alors à la faire changer de maison, malgré qu’il ait perdu le procès pour la délivrer du couvent.

Sœur Suzanne se retrouve donc à Arpajon. Elle est tout de suite prise sous l’aile de la supérieure madame •k*-k. Cette dernière lui voue un véritable culte et la recouvre de baisers et de caresses, ce qui lui attire la haine de sœur Thérèse qui fut autrefois elle aussi la favorite de la femme. Sœur Suzanne toute innocente n’y voit rien de mal, cependant elle se confesse au directeur P. Lemoine qui lui interdit de s’approcher de Madame **, ce qu’elle exécute. La supérieur en devient folle tant elle aime Suzanne. Elle congédie P. Lemoine qui est remplacé par

Dom Morel. Madame décède, complètement rongée par la démence. Suzanne trouve une aide inattendue de la part de Dom Morel. Ils se rendent compte que tous deux sont entrés en religion de force et ont subit des horreurs similaires. Dom Morel incite sœur Suzanne à s’évader. Elle y parvient mais elle se blesse. La vie dans le monde libre n’est pas aussi rose qu’elle l’aurait espéré mais elle trouve finalement un petit emploi dans une blanchisserie, elle termine d’écrire en implorant le marquis de Croismare de bien vouloir lui donner un emploi en tant que femme de chambre.