Justifiez Genèse 2. 7 : « L ‘Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de a terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et Ihomme devint un être vivant. » L’Éternel Dieu forma de la terre tous les Genèse 2. 19-20 animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l’homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme. Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. Genèse 3. 17c : « le sol sera maudit à cause de toi. » Dieu a formé l’homme à partir de la matière terrestre la oussière » et l’eau). C’est à partir de nourriture et d’éléments terrestres qu’il est créé dans le ventr IS l’eau). C’est à partir de nourriture et d’éléments terrestres qu’il est créé dans le ventre de la mère. Pourtant si, sur le plan chimique, rien ne semble le démarquer du reste de la création, Dieu nous montre encore que l’homme a une particularité qui le met dans une position toute différente de toutes les autres créatures.
Dieu fait venir chaque créature devant l’homme « pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom qu’il lui donnerait ». L’homme a eu le privilège (unique dans toute la création) de pouvoir donner un nom à toutes choses. Cette autorité qui lui est conférée par Dieu le place au sommet de la création, et au centre de celle-ci. La création est faite pour l’homme, et vient vers lui, et lorsque l’homme tombe dans la malédiction, c’est le sol tout entier qui tombe avec lui. 3.
Dans sa phase animée, non seulement en tant qu’humain mais en tant qu’être humain, il est rendu vivant par une réalité « extra- terrestre Cette réalité a trois particularités. a) La 1ère c’est que Hêtre de terre est rendu, être de chair. Là est une sorte de transsubstantiation puisque la terre… devient chair. Justifiez Genèse 2. 7 : « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme Lhomme, comme nous l’avons déjà vu, n’est formé physiquement que de la matière dont la terre elle-même est formée.
Mais si, dans sa situation inerte, rien ne peut différencier l’homme de la terre elle-même est formée. Mais si, dans sa situation inerte, rien ne peut différencier l’homme de la Terre, il y a une intervention divine qui permet à la matière d’être animée de vie. Cette ransformation n’est pas possible sans « le souffle de vie » donné par Dieu, et la terre elle-même ne créé rien sans cette intervention divine. b) La 2ème : ce processus s’inversera puisque, plus tard, la chair redeviendra terre.
Justifiez Ecclésiaste 3. 20 : Tout va dans un même lieu ; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière Genèse 3. 19b : « car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. » La malédiction de l’homme, liée au péché, Pa rendu mortel (Genèse 2. 17 : « le jour où tu en mangeras, tu mourras Du moment où l’homme a mangé du fruit de l’arbre de la onnaissance du bien et du mal, il devient limité dans le nombre des jours qu’il peut vivre.
La matière dont il est fait dégénère, et ainsi, lorsque le « souffle de vie » le quitte, le corps redevient la matière inerte semblable en tout point à la matière terrestre partir de laquelle il a été créé. c) La 3ème : La créature humaine est, en Eden, une créature spirituelle au cœur d’une enveloppe charnelle. Et aujourd’hui est- ce possible ? Justifiez 2 Corinthiens 5. 1 7-19a : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.
Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui 4 OF IS nouvelles. Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses » Aujourd’hui, si l’homme garde toujours d’Adam et Eve l’héritage du corps charnel devenu mortel, il y a cependant un moyen d’être une créature spirituelle au cœur de cette enveloppe charnelle, c’est la nouvelle création, ou la nouvelle naissance, rendue possible par l’œuvre de Christ à la croix.
Réconciliée avec le Père, la créature redevient un être spirituel immortel et attaché directement à Dieu, mais reste dans une enveloppe charnelle, mortelle, attachée à la terre. 4. Développer brièvement votre pensée à propos de la signification et l’utilité de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Personnellement, il me semble que le terme « connaissance » ne renvoie pas simplement à la connaissance « savoir intellectuel D, mais à une connaissance intime, personnelle et profonde qui lie la personne et l’objet de sa connaissance.
Quand la Genèse nous parle du couple, elle nous dit qu’ « Adam connut Eve » (Gen 41). Cette connaissance implique le plus fort lien intime qu’un homme et une femme puissent avoir. En ce qui concerne l’arbre de la connaissance du bien et du mal, il me semble que les mots utilisés revêtent ce même sens de lien profond et intime. Il serait absurde d’interpréter ce verset comme la volonté de Dieu que l’homme ne s et intime. que l’homme ne sache pas ce qu’est le péché, car en donnant la loi « tu ne mangeras pas de cet arbre » (Genèse 2. 7), Dieu donne déjà à l’homme la connaissance « intellectuelle » de ce qu’est le péché. Je pense donc que cet arbre peut être l’image du choix que ‘homme peut de se séparer de son créateur, et peut être chargé de « fruits » symbolisant tous les domaines et actions dans et travers lesquels l’homme pourrait avoir l’illusion d’occuper une place supérieure à celle qui lui est accordée par Dieu, ou avoir un pouvoir sur ces choses réservé à Dieu. Cintérêt de Dieu à laisser ce choix est lié à la nature de la relation qu’Il désire entretenir avec rhomme.
En le privant de cet accès l’arbre de la connaissance du bien et du mal, il aurait aussi privé l’humain de son libre choix d’entretenir une relation voulue avec Lui. 5. La Bible nous apprend que l’état de l’être humain « premier » n’est pas le même que l’état de l’être « second a)Justifiez cela. Genèse 2. 17 : le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. » Genèse 3. 22 : « L’Éternel Dieu dit : Voici, Ihomme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal.
Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement. » Après avoir mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, l’humain change radicalement d’état. Il semble que Dieu veuille à tou 6 OF IS onnaissance du bien et du mal, l’humain change radicalement d’état. Il semble que Dieu veuille à tout prix l’empêcher de prendre encore du fruit de l’arbre de la vie. L’homme ne peut pas être Dieu, même s’il a été fait à son image.
Et en tant que pécheur, il ne peut plus vivre dans la présence et la proximité de Dieu. Cette séparation nécessaire d’avec Dieu, ce rejet du jardin d’Eden se traduisent aussi par un changement physique de l’homme qui, dès ce jour, devient mortel. Son état est donc tout autre. Privé de la présence directe de Dieu, maudit, mortel, tel est l’état du « second » homme. Lorsque Dieu achève la création de l’homme et de la femme, il dit : « c’est très bon. » Gen_ 2. 31 Il n’y a rien à modifier, il n’y a rien à redire.
Ce qui est, c’est effectivement bien ce qu’il veut. Ce qu’il fait est bien ce qu’il a prévu. Ce qu’il dit est bien ce qui est. II n’y a pas d’erreur ; il n’y a ni manque, ni surplus. Ce que la créature est, c’est ce que Dieu a toujours souhaité qu’elle soit et c’est bien ce qu’il souhaite qu’elle reste… La Bible affirme que l’être humain est, à la sortie des mains du Créateur, parfait. Cela veut-il dire qu’il est fini, achevé, terminé ? Y a-t-il une évolution possible ?
Si oui, sur quel plan ? Si non… ? b) Justifiez votre réponse. Actes 17. 28a : « Car en Lui, nous avons la VIe, le mouvement et l’être » L’homme, à la sortie des mains du Créateur, est tout à fait conforme à ce qu’Il voulait, certes. Mais si la création en tant que telle est ach fait conforme à ce qu’Il voulait, certes. Mais si la création en tant que telle est achevée, son évolution reste non seulement possible, mais aussi nécessaire. La création n’est que le début de quelque chose.
Dieu a créé l’homme, non comme un tas de chair, mais comme un être doté de fonctionnalités physiques, psychiques et spirituelles. Le souffle de vie qui vient parfaire et mettre un terme à la phase de création ouvre une nouvelle étape. Lhomme créé en tant que créature vivante devient une histoire à écrire, et chacune des fonctionnalités qu’il détient permet de décliner cette histoire en une multitude d’éléments de vie qui vont faire évoluer le corps, les pensées, la relation de l’humain avec Dieu dans un sens ou dans un autre.
La seule manière que le créateur aurait eu de créé un humain incapable d’évoluer aurait été de le priver du souffle de vie ou d’en faire une marionnette privée de tout libre arbitre. Au contraire, en plus des « fonctionnalités communes », il a plu Dieu de créé chaque humain avec sa particularité, et lui a donné des dons, des responsabilités et des ordres. Genèse 1. 28 : « Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et assujettissez-là ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Ephésiens 4. 8 : « C’est pourquoi il est dit : Etant monté dans les hauteurs, il a emmené des captifs, et il a fait des dons aux hommes Ces deux versets nous montrent clairemen mmené des captifs, et il a fait des dons aux hommes Ces deux versets nous montrent clairement que Dieu, dans son œuvre de création de l’humain, n’avait pas un plan figé de ce que devait être sa créature, mais un plan dynamique, dans lequel il donnerait à chaque être humain des dons et des spécificités pour accomplir une œuvre particulière.
On pourrait dire que l’humain, sorti des mains de Dieu était une créature parfaite pour démarrer une œuvre parfaitement adaptée à ce qu’il était. Créé pour se multiplier, avancer, agir, construire… on pourrait dire que l’humain est une œuvre parfaitement créée our être en constante évolution. 6. A propos du péché. Rapidement, la Bible va signaler « le problème En fait, il s’agit, non d’un accident, non d’un incident, non d’une erreur, mais bien d’un drame ! D’un acte posé et signé. n drame qui suit une logique, qui a ses acteurs, ses responsables, son histoire, sa construction, son point crucial et son issu dramatique, sans oublier ses victimes ! a) Justifiez brièvement point par point ce paragraphe. Genèse 3. 1-24 Tout le drame de la séparation entre l’humain et Dieu tient en un seul chapitre de la Parole. On y trouve le « serpent », représentant satan et son royaume, Adam et Eve (les « géniteurs » de l’humanité), Dieu, des anges et des éléments « vivants » de la création (les animaux que le Seigneur sacrifie pour faire des habilles de peau à Adam et Eve).
Il ne semble donc manquer personne. Tout et tous sont là, assistent, interagissen Eve). assistent, interagissent ou subissent l’événement qui se déroule. Les humains, objets centraux de toute cette histoire, savent quelles sont les conséquences qui les attendent s’ils mangent du fruit défendu. Dieu les a bien prévenus (Gen2. 17). Satan aussi sait bien ce qui les attend s’ils désobéissent à Dieu. Loin d’un accident, on voit trois personnages bien renseignés et prévenus, discuter et poser un acte ensemble.