La croissance des marques de distributeur est au point mort, mais cela ne veut pa echerche des marqu Selon l’enquête Mark de fortune: les marq marques de distribut p g ne sont pas à la les linéaires. honylRl, « Revers es points sur les marché américain Les marques nationales voient leur part de marché croître malgré les nouvelles offres innovantes de marques de distributeur. Ceci est largement dû aux produits de marque de plus en plus concurrentiels, tout en étant en mesure de mieux mettre en évidence leur bon rapport qualité/prix et les avantages par rapport aux marques de distributeur.
Les marques nationales ont vraiment fait leur apparition dans es hard discounts en 2005, et ne cessent de s’y développer. Aujourd’hui, elles pèsent plus de de leur chiffre d’affaires. Cependant, on peut distinguer deux stratégies Sv. ‘ipe to bien distinctes selon les enseignes : Certaines décident de proposer à leurs clients un nombre important de marques nationales dans leurs rayons ( Lidl, Ed) (Les raisons de cette stratégie sont principalement d’utiliser les marques nationales comme des produits « anti-évasion » et comme un moyen de différenciation envers les autres enseignes du hard discount.
En effet, les consommateurs n’ont plus besoin e se rendre dans deux types de magasins pour y trouver l’intégralité de leurs produits. ) , tandis que d’autres ( Netto, Leader Price, le Mutant, Aldi), au contraire, souhaitent garder leur image de magasin proposant des produits sous marques de distributeurs ou des produits sans marque(elles souhaitent conserver leur Image de magasins à prix bas. Les produits sous marques de distributeurs ou sans marques sont vendus à des prix en moyenne inférieurs de 25 à 30 % par rapport aux produits de marques nationales, car leurs coûts sont réduits, en termes de marketing et de communication.
Introduire des produits de grandes marques conduit à vendre des produits plus chers en contradiction avec le concept du hard-discount, de plus référencer en plus des grandes marques dans les rayons implique une logistique et une mise en rayon plus complexe puisqu’il y a davantage de références à gérer. Cest aussi grâce à des méthodes plus éprouvées que les marques ont contre-attaqué, avec une hausse de de leurs ventes dans le hard-discount.
La barrière de plus en plus perméable entre ce circuit de distribution et les supermarchés classiques favorise l’implanta OF s plus perméable entre ce circuit de distribution et les supermarchés classiques favorise l’implantation dans le hard- discount, où elles trouvent de plus en plus de légitimité. Nielsen a ainsi mesuré que les 20 premiers industriels fournissant la grande distribution, avec une part de marché en valeur de concentrent l’essentiel des gains cette année avec de la contribution en valeur.
En clair, ce sont les entreprises qui ont la force de frappe la plus importante qui bénéficient le mieux de ce retour. Pour serrer ses prix. augmenter la publicité et la romotion, mieux vaut disposer de réserves financières solides. Cavantage des marques nationales. Les produits de marque nationale offrent la promesse d’une qualité constante à chaque achat. Les marques nationales attirent les consommateurs grâce à leurs campagnes publicitaires nationales et à leurs promotions. Grace à cela, les produits de marque nationale drainent un trafic client dans les magasins.
Les produits de marque permettent aux distributeurs de se livrer une bataille sur le terrain des prix. Par exemple, un consommateur compare le prix d’un paquet de pain de 340 rammes de marque Udi (marque de pain-demi naturel aux États-Unis) entre trois différents détaillants. Le résultat est la perception générale d’un magasin mieux placé en prix que les autres. Parce que une même marque de distributeur ne se retrouve pas chez tous les détaillants, les consommateurs ne lui font pas autant confiance qu’ils le font aux produits de marque nationale.
Cela vient du fait que les différentes 3 OF s Cela vient du fait que les différentes enseignes de détails travaillent avec différents fournisseurs. Par exemple, le beurre e cacahuètes des marques de distributeur est de qualités et de gouts inégaux d’un détaillant à l’autre. Le beurre de cacahuètes de marque de distributeur d’un magasin peut être riche et crémeux, tandis que celui venant d’un autre magasin peut avoir mauvais gout. Les marques nationales ont une forte présence dans la distribution classique par rapport au réseau de distribution biologique et naturel.
Ceci est largement dû à la volonté des détaillants de produits biologiques et naturels de développer des produits de marque propre. Le problème de cette stratégie est u’elle ne permet pas aux détaillants de produits bio et naturels d’entrer en concurrence avec les détaillants traditionnels (CQFD a offres différentes comparaison impossible). es détaillants de produits « bio » et naturels doivent utiliser chaque opportunité concurrentiel pour inviter les consommateurs à essayer plusieurs de leurs produits et ainsi les transformer en clients fidèles.
Les marques nationales ont reconquis des parts de marché Entre 2007 et 201 3, la dynamique des MDD et des marques nationales sur le marché de l’alimentaire s’est inversée. Jusqu’en 009, la croissance du chiffre d’affaires des MDD était beaucoup plus importante que celle des marques nationales. par exemple, en 2008, la croissance du chiffre d’affaires des MDD était de 9,1 % quand celle des marques nat 4 OF S 2008, la croissance du chiffre d’affaires des MDD était de 9,1 % quand celle des marques nationales était à +0,3 ‘h.
Mais revirement de situation depuis 201 0 ou la tendance s’est totalement renversée. En 2013 les marques nationales enregistrent une progression de +2,4 % quand les MDD stagnent à +0,4 En effet, alors que la précédente crise (2007-2008) avait ortement profité aux MDD, depuis 2010, les consommateurs se sont davantage portés sur les marques nationales, synonymes dans leur esprit de confiance et de qualité.
Les marques nationales ont était aidées par une pression promos et une attractivité prix en hausse comparée à celle des MDD, elles ont su jouer aussi leur rôle d’animateurs des rayons en misant sur l’innovation, face à des MDD moins soutenues en offre et en investissements publicitaires. Les MDD perdent du terrain dans tous les types de foyers, et presque tous les rayons, ais leurs bonnes performances chez LJ et match démontrent qu’il n’y a pas de désamour.