Un jour de l’été 1798 dans la forêt de l’Aveyron, une femme ramasse des champignons lorsqu’elle entend des cris qui l’effraient et qui la font partir en courant. Pensant être menacée par une bêtesauvage, elle demande l’aide des chasseurs pour la capturer. C’est alors qu’on découvre que ce n’est pas un animal mais un enfant nu et visiblement sauvage, marchant à quatre pattes et qui se nourrit deglands et de racines, il est surnommé «Le sauvage de l’Aveyron »
La nouvelle parait dans le journal qui décrit un enfant quasiment sourd et muet. Le docteur Itard, intrigué par cette découverte,insiste pour le faire venir à paris à l’Institut national des sourds et muets, afin de pouvoir l’examiner dans le but de déterminer le degré adolescent privé det hypothèses s’affront dû à l’isolement, alor abandonné parce qu p g Sv. ‘ipe to des idées d’un nfance.
Deux se que son état est Pinel, l’enfant a été qu’ilétalt anormal et considère que sa place est à l’asile. Ne pouvant s’y résoudre, le docteur décide de le prendre chez lui pour tenter de faire son éducation. Avec le concours de sa gouvernante Mme Guérin,il entreprend des exercices pour développer ses capacités intellectuelles et sensitives, et commence d’abord par lui apprendre à vivre en société dans les gestes de tous les jours et à accepter laprésence de l’Homme.
Régulièrement, le docteur Itard emmène l’enfant se balader afin d’aller à la rencontre d’amis pour qu’il ‘adapte à l’environnement social ; mais surtout, il lui apprend ? secomporter comme n’importe quel enfant de son âge : s’habiller, marcher correctement et se tenir à table. Au fur et à mesure et à force d’entraînement, l’enfant parvient à se faire comprendre grâce à desgestes, puis il commence ? discerner des sons et plus particulièrement le son [O], c’est pourquoi ils décident de l’appeler Victor. Puis ils essaient de le faire parler, mais sans succès. Il I 2