Analyse Dom Juan Le Grand siècle est un siècle qui émerge deux courants littéraires soit le courant baroque et le classicisme. Sous le règne de Louis XIII, dans la première partie du Grand siècle, entre 1 580 et 1660, on voit émerger le courant littéraire baroque. C’est un courant qui repose sur l’instabilité. En conséquent, il est caractérisé par la fantaisie, l’asymétrie, l’imagination ainsi que sur le gout de l’excès. Cependant, vers 1630, cette tendance est remplacée par un courant littéraire très rigide, le classicisme.
Le classicisme lui, s’entend en termes de règles. C’est pourquoi il repose sur la raison, la bienséance et la régularité. Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est à la f scène du temps de L théâtre majeur Don J n e,. , . , et classique. Dans ce la conception libertin t metteur en écrit sa pièce de à la fois baroque ‘agira de montrer an dans la scène 2 de l’acte de cette présente œuvre. Pour sy prendre, nous entamerons deux thèmes précis, la liberté et le jeu.
La Vie Swipe to page et l’amour chez Don Juan ne sont rien de plus qu’un simple eu. Libertin, il ne cherche que l’amusement dans tout ce qu’il y a autour de lui. Autrement dit, il doit profiter dans tous les domaines. En amour, il recherche et même désir des obstacles. Dès le début de la pièce, il prétend enlever une jeune fiancée que pour son propre désir : > (1,2) Ces paroles montrent bien à quel point il aime les défis. Son but ultime est de satisfaire son désir et ce, à tout prix, peu importe la difficulté.
Toutefois, Don juan n’aime pas la possession car posséder signifie la fin du jeu et ène à l’ennui : , dit Don Juan à Sganarelle pour montrer qu’il a raison d’aimer de tous côtés. Il fait un lien direct entre la possession et la passion en amour. Cette vision de la possession et cet amour envers les obstacles suffissent pour montrer une conception libertine de ramour chez Don Juan. Don Juan voit une importance particulière en ce qui concerne la liberté. S’attendre à une fidélité de sa part est la dernière chose à laquelle on devrai s’attendre. De nature, il ne peut s’attacher ? quelqu’un et critique la fidélité : 2