FINAL MAISON 2014 SCS 1550 B, cet D Veuillez svp répondre directement, à DOUBLE INTERLIGNE, dans ce document, aux questions à développement de la première partie, et aux questions sur les exposés oraux de la deuxième partie. une fois que vous aurez répondu à chacune de ces questions, vous devrez imprimer cet examen et le remettre à l’assistant p g d’enseignement qui s 9-12am, le 10 ou le NE PAS M’ENVOYER L les copies qui auront U SS 10029, entre Je ne corrigerai que ts d’enseignement aux heures et deux dates Indiquées. Nom : Numéro d’étudiant : section de cours : SCS 1550 B PREMIÈRE PARTIE :
QUESTIONS SUR LE COURS, LES FILMS ET LES TEXTES 1. Selon les définitions apprissent en cours le concept de droits humains se apportent à des droits inaliénables: force supérieure ? toute autre norme juridique l’exclusion de la population autochtone (États-Unis); et la non- reconnaissance du droit à l’Indépendance des peuples colonisés « de couleur » (France) ne sont seulement que des exemples de ce qui a poser obstacles à la mise en application des droits humains. 2. Expliquez, en deux paragraphes, comment Thomas Keenan propose d’interpréter la question « où sont les droits de l’homme? lle que formulée dans le communiqué de la branche irakienne de Jaish Ansar Al-Sunna qu’il analyse dans son article. 3. Le concept d’opération de paix est une intenrention multinationale revêtue de la légitimité internationale, visant ? prévenir un conflit ou à rétablir, maintenir, stabiliser, consolider ou imposer la paix par le déploiement de personnel militaire, policier, et/ou civil. On peut prendre comme exemples d’opérations de paix est le maintien de la paix qui consiste ? une interposition ou une limitation spatio-temporelle.
Cela peut comporter par exemple un consentement international par ntermédiaire d’un aval, mandat ou commandement de l’ONU. On peut aussi faire appel à un rétablissement de la paix qui mettra fin aux hostilités, favorisera climat favorable à la négociation et protégera la population. Et celui de la consolidation de la paix qui permet d’isolée la violence, et remettre le pays en état libéral et démocratique, et favoriser une réconciliation nationale; grâce à consentement international (ex : aval, mandat ou commandement de l’ONU) ou avec un consentement local (ex . tteindre et 2 mandat ou commandement de PONIJ) ou avec un consentement ocal (ex : atteindre et faire respecter un accord). Un des enjeux cependant est le problème de légitimité: Instrumentalisation possible de fintervention (pas neutre) et qui souvent politique ; doctrine du « zéro mort et la présence étrangère qui aussi peut être vécue comme une sorte d’« occupation » (colonisation) (ex : Occupation Iraquienne par les Etats-Unis). un autre enjeu qui se trouve préoccupant est la complication des limites d’une intervention militaire vs la criminalité locale (banditisme, trafic de drogue, seigneurs de guerre… . Cette limitation militaire s’oppose aussi aux réconciliations olitiques qui ont un désir véritable de paix et aux reconstructions d’infrastructures. 4. D’apres le film Good Morning Kandahar d’Ariel Nasr, l’intervention du Canada en Afghanistan est perçue par les Afghans qui vivent toujours dans leur pays d’origine comme une invasion de leur territoire. Cela est majoritairement du a leur passe de guerre ou ils ont été persécutés par d’autres pays mais aussi par leur propre gouvernement. Ils veuillent être laissés en paix.
Cela vient aussi de la propagande instaurer par le gouvernement qui délégitime la présence de l’armée canadienne ui est majoritairement présente pour apporter une aide. Les Afghans qui vivent maintenant au Canada la perçoivent comme une aide. Ils font du mieux qu’ils peuvent pour que collaborer avec les forces canadiennes pour sortir leur pays de la guerre, la terreur, instaurer 3 collaborer avec les forces canadiennes pour sortir leur pays de la guerre, la terreur, instaurer un régime politique efficace; car pour la plus part d’entre-eux ont du se réfugier ailleurs comme au Canada tout en laissant leur famille en Afghanistan. . pour les algonquins Les réserves symbolisent une prison ? ciel ouvert. Le ressent constitue explicitement le résultat de leur dépossession et de toute les violences qu’ils ont subis par les allochtones en ce qui a trait à leur mode de vie naturel, leur coutumes et leur tradition. Le réserve symbolise une régression social, dans le sens que ils sentent forcé d’abandonner vaste territoire pour venir à s’entasse dans des lieux ou leurs vie est restreinte physiquement et spirituellement.
Les réserves créent un environnement de familles pour les autochtones. Ce espace permet de passer l’histoire et l’héritage culturel de leur peuple. Les fêtes par exemples promouvoient t commémorent les traditions du passe sur les générations présentes et futures. 6. La violence structurelle s’exerce à travers des structures sociales (politiques, économiques) qui imposent des conditions de détresse physique et/ou psychologique à certains groupes d’individus.
Selon Johan Galtung théologiens de la libération et mouvements anticoloniaux, la violence structurelle est souvent comprise comme étant « inévitable voire « naturelle » de l’ordre des choses), et comme étant de la faute de ceux qul en sont les cibles, cette violence est le plus souvent non pas reconnue 4 aute de ceux qui en sont les cibles, cette violence est le plus souvent non pas reconnue comme telle et donc « invisible » et la violence symbolique est de ce qui relève de l’internalisation de l’idéologie qui justifie notre domination.
Selon Pierre Bourdieu, ce qui rend cette violence invisible est qu’elle semble légitime tant du point de vue de ceux qui l’exercent, voire de ceux qui en sont les bénéficiaires, que de ceux qui la subissent, voire de ceux qui en sont les victimes: elle apparait en effet à tous deux comme devant « naturellement » conduire certaines personnes à être xclues par rapport à d’autres Dans le texte de Seth Holmes on peut voir un exemple de violence symbolique dans la répartition de taches par exemple; «les Mexicains d’Oaxaca est perçu pour être apte qu’a la cueillette -plutôt qu’a d’autres travaux. ? etc. Les travailleurs rencontrent une certaine fierté dans ces caractéristiques car ils se sentent plus important ou supérieur comparativement aux autres travailleurs qui ne possèdent pas les même caractéristiques qu’eux. 7. Les définitions qui suivent sont prises des notes de cours du professeure Karine Vanthyume: Culturaliste: pratiques rituelles, caractéristiques culturelles; Comportementaliste: attitudes et pratiques individuelles; Matérialiste: déterminants socioéconormques et politiques de l’épidémie (violence structurelle).
Selon l’analyse de Frédérique de Marcis sur l’épidémie de VIH en Afrique du Sud on peut voir que le sur le point de vu matérialiste l’accès S l’épidémie de VIH en Afrique du Sud on peut voir que le sur le point de vu matérialiste l’accès à une information de qualité sur les pratiques de prévention de l’infection permet la capacité d’avoir des rapports sexuels protégés. Certaines formes de violences structurelles (telle la domination homme-femme), pouvant, par exemple, contraindre une femme à adopter des comportements dits « à risque » pour survivre.
La qualité de vie peut diminuer le souci de ses victimes de considérer l’infection au HIV comme un véritable risque pour leur santé, voire pour leur existence même, étant donné la dureté de leurs conditions de vie actuelle. ( Violence structurelle) Est-ce que l’approche que mobilise Frédéric Le Marcis pour son analyse de l’épidémie du sida en Afrique du Sud est « culturaliste « comportementaliste » ou « matérialiste
DEUXIEME PARTIE : QUESTIONS SUR LES Exposes ORAUX (Svp, ne répondre qu’à la question qui concerne votre section de cours, ou qui vous est directement posée (si vous êtes Aurélie Anne Adelson, Adriana Lechado, ou Laetitia Ouedraogo) Section B (sauf Aurélie Anne Adelson) : De quoi a été accusée la MINUSTAH en Haïti? La MINUSTAH en Halti a été accusée de manque et de désobéissance des règles qui leur ont été instituées. Notamment par la négligence de manque de ressources et d’aide de maladie tel que le Cholera ou la non-intervention sur des problèmes comme le viol.