Les Maoris Ce sont des populations polynésiennes autochtones de Nouvelle- Zélande. Ils s’y seraient installés par vagues successives à partir du VIIIe siècle. Ils sont aujourd’hui plus de 670 000 (environ 15 % de la population néo-zélandaise). Dans les légendes et les traditions orales, le mot « maori » distingue les êtres humains mortels des dieux et des esprits. La généalogie est la constante préoccupation des Maoris, capables de décliner la liste de leurs ancêtres jusqu’au premier d’entre eux, vingt ou trente générations plus tôt.
Arrivée en Nouvelle-Zélande À partir de 3000 avant J. -C. , une région, qui part de l’archipel Sni* to Bismarck à l’ouest, ju la culture Capita. Ces up îles Fldji, les iles Sam et civilisations ont aussi îles à proximité, par D t, est occupée par r s à avoir habité les ombreuses autres se dans toutes les édonie. Plus tard, ces peuples colonisent un triangle d es plus à l’est, formé par Hawaii au nord, l’île de Pâques à l’est et la Nouvelle-Zélande au sud[].
Les îles Chatham sont colonisées après la Nouvelle-Zélande, t cette population ne sera redécouverte par les explorateurs européens qu’en 1791 Interactions avec les Européens avant 1840 En 1642, la Compagnie hollandaise des Indes orientales envoie Abel Tasman qui aborde l’île du sud de la Nouvelle-Zélande. Il repart aussitôt face à l’hostilité des autochtones. Les premiers explorateurs européens y compris Abel Tasman et le capitaine James Cook (qui a visité la Nouvelle-Zél Swlpe to vlew next page Nouvelle-Zélande pour la première fois en 1769) ont rapporté leur rencontre avec les Maoris0.
Ces premiers rapports décrivent les Maoris comme une race de guerriers féroces et fiers. Des conflits inter-tribaux se produisaient fréquemment à cette pér10de, les vainqueurs réduisaient en esclavage les vaincus et parfois les dévoraient. Dès le début de l’année 1780, les Maoris ont eu des contacts avec les chasseurs de baleines et de phoques. Certains se sont même fait embaucher sur des navires étrangers. Un flot continu de prisonniers australiens en fuite et de déserteurs provenant des navires de passage a également exposé la population des utochtones néo-zélandais aux influences extérieures. our l’année 1830, les estimations évaluent le nombre d’européens, vivant parmi les Maoris, à près de 2000. Le statut des nouveaux venus variait de celui d’esclave à celui de conseiller haut placé, et de celui de prisonnier à celui d’Européen « maorisé » qui a abandonné la culture européenne jusqu’? s’identifier à un Maori. De nombreux Maoris appréciaient les européens pour leur capacité à décrire leur culture et leurs techniques, pour leur habileté à obtenir des articles en ommerçant, en particulier des armes.
Durant cette période, racquisition de mousquets par les tribus qui étaient en contact étroit avec les visiteurs européens déstabilisa l’équilibre qui existait entre les tribus maories. Il en résulta une période de guerres inter-tribales sanglantes, connue sous le nom de « guerres des Mousquets dont les conséquences furent une véritable extermination de nombreuses tribus et la déportation d’autres hors de leur territoire traditionnel. Des épidémies PAG » OF d