La morale s’oppose-t-elle nécessairement au désir ? La morale, un élément essentiel de nos sociétés Le libre arbitre est un fondement moral en général. Il permet de résister à la tentation provoquer par l’envie de satisfaire un désir. Un Etat est ce qui rend possible une vie en commun plus conforme à la raison. C’est un être moral dont la signification est de d déterminations de l’a org IO La loi juridique est un loi mo commande l’action ? devoir. Il faut une ba ique aux umalne. t universelle. Elle our que les hommes aient une morale conforme à nos sociétés actuelles.
La morale ne serait liée qu’à l’expérience et l’éducation, plutôt qu’à la naissance. Elle serait tiré dun conformisme, une tendance à se conformer aux usages, ? accepter les manières de penser ou d’agir du plus grand nombre, les normes sociales. Cette morale nous oblige à faire non pas l’extraordinaire mais le « normal Les adultes transmettent des valeurs aux enfants qui permet la mise en place de la moral : « Il ne faut pas mentir « Ne parle pas la bouche pleine h, Cela permet de vivre en société, de suivre « l’effet de masse » et de suivre les codes universels.
Ces valeurs sont ontradictoires avec la notion de désir qui nous pousse à défier ces codes en vue de les satisfaire. désirs, nos passions, nos sentiments : seule une action morale est véritablement morale, c’est-à-dire est faite par devoir, lorsqu’elle exclut toute inclination, même conforme au devoir. Seule est morale l’action entreprise par devoir, lorsqu’elle provient d’une volonté bonne éclairée par la raison et non par les passions ou les désirs. Qu’est-ce que la bonne volonté ?
C’est une volonté qui se détermine par devoir et non par intérêt. Dès l’instant où nos motivations sont intéressées, elles sont égoïstes t ne peuvent en aucun cas se donner comme morales. Ces motivations intéressées font parti des caractéristiques de l’homme. par exemple une personne qui réalise une bonne action ne prouve pas qu’elle le fait par devoir, en suivant un impératif moral. Personne ne peut dire si son action est moral puisque son intention est inconnue Avait-elle un intérêt ?
Chaque être agit en fonction de ses propres intérêts ? Pour quel raison ? Dans le but de satisfaire nos désirs. Nos actions dépendent d’un calcul d’intérêt subjectif, différend selon chaque personne. Nos principes ratiques recherchent en effet au quotidien la satisfaction des désirs : la bonne volonté doit justement se déterminer sans recourir à des motivations de la recherche du plaisir car elle seront jugés immorales. Elle ne doit pas être déterminée par le plaisir ou la peine liée à l’action.
C’est dire que l’acte moral doit se situer sur le plan de la recherche d’un bien universel et non d’une satisfaction personnelle. Agir par devoir, c’est agir non pas en prenant en compte ses propres intérêts, ce qui relève de personnelle. Agir par devoir, c’est agir de l’égoïsme, mais en considérant à chaque ois ses actes sur un plan universel. L’instinct moral ou la raison morale seraient proprement humains et seraient même la condition de l’humanité. Que serais l’homme sans morale ? Les animaux n’ont pas de conscience du bien et du mal.
Il en est de même pour les jeunes enfants. Chomme serait réduit à cet aspect, la société n’aurais aucune structure sur lequel les hommes pourraient s’appuyer Par ou commencer lorsque les bases ne sont pas annoncées ? L’inhumanlté apparaitt, tout n’est que désordre. par exemple lorsque survient aujourd’hui un acte particulièrement immoral tel qu’un enlèvement d’enfant ou un eurtre, on entend régulièrement les qualificatifs de « monstre » ou di » inhumain On a tendance ? exclure ceux qui n’en respectent pas les règles fondamentales, c’est-à-dire la morale.
La morale serait alors la condition même de l’humanité. peut on vivre sans désir ? Le désir est l’essence même de l’homme : il fait partie de son origine et contribue à le définir. II faut d’abord distinguer les désirs naturels et les désirs vains. Certains sont nécessaires au bonheur, au bienêtre du corps, et d’autres sont strictement vitaux. Le critère de choix du désir est le plaisir, une fonction aractéristique de l’Homme.
Le plaisir est instinctif, il se définit de manière général comme étant un état émotionnel agréable né spontanément d’une situation donnée, de la satisfaction d’un désir ou de la perspective d spontanément perspective de cette satisfaction. Le désir peu dépendre de l’humain, il est alors sous contrôle. L’homme a conscience de son désir, il peut alors choisir de le mettre sous silence ou de le satisfaire. Il possède une liberté intérieure, l’homme a un pouvoir absolue sur ces propres états d’âme. Pour vivre, l’être humain a besoin d’eau et de nourriture.
Le besoin relève de la nature. En Hoccurrence c’est un besoin vitale qui dépend du corps, provoquer par le désir de conservation. Cette notion pousse l’homme à exister, il a ce désir de vivre, c’est une nécessité tiré de l’inconscience. Pour autant le désir et le besoin reste différends, on dissocie ces deux notions. Le désir agit sur notre jugement, il se déploie dans l’imagination et non dans la réalité. Contrairement au besoin physique, le désir dépend donc de la capacité de l’homme à se projeter et à se représenter consciemment un objet désiré, malgré son absence. désir est avant tout une pulsion qui prend possession de l’esprit, et qui doit, pour obtenir satisfaction, atteindre l’objet du désir. Lorsque l’objet du désir ne peut être atteint, ou que le désir même ne peut être révélé à la conscience, le refoulement a lieu permettant le relâchement de la pulsion. Pour autant celui-ci ne disparais pas, il reste seulement en suspens, il est refoulé par notre esprit pour rejoindre l’inconscient. La notion d’inconscience permet d’affirmer que nous ne sommes pas maître de notre âme, nous avons une remise en question du libre arbitre.