L’oeuvre de Philppe Claudel, Le Rapport de Brodeck est parue en 2007. Ce roman, est l’un des derniers écrit par Phillipe Claudel et compose une trilogie avec les romans Les Âmes grise paru en 2003 et La Petite Fille de Monsieur Linh paru en 2005. Le Rapport de Brodeck est un roman héponyme, ce roman nous est en réalité le rapport que Brodeck a été chargé d’écrire par les hommes du village pour retranscrire le meurtre par ces derniers d’un étrangé : Der Anderer qul séjournalt au village.
Le passage étudié est situé dans les péripéties, on sent que quelque chose va rriver à cause des dessins de l’Anderer mais on ne sait pas quoi. Il nous présente la ré or 10 u tableaux exposé par l’Anderer à l’aube e vair en quoi les Sni* to tableaux de l’Andere temps nous verrons des villageois, puis n racontent leur histoire. ans un premier nt la réelle nature ages nous Pour commencer, nous pouvons voir que les portraits peint par l’Anderer sont des révélateurs de la réelle nature des villageois.
Pour cela nous verrons qu’au départ pour Brodeck ces tableaux ne sont que des tableaux ordinaires, puis lorsqu’il y prète plus ttention les tableaux se transforment, enfin il se rend compte que ces tableaux sont des mirroirs physiques mais aussi moraux des villageois. Dans un premier temps, pour Brodeck les port page portraits sembles banals comme si l’Anderer avait simplement peint les habitant du village comme il se serait peint lui même.
On peut voir que ces portraits ne lui parraissent au départ pas très important car, à la ligne 3, le narrateur emploie « sans trop fixer mon attention sur les lignes que l’Anderer avait entremêlées, Brodeck ne voit pas ce que peuvent signifier les portraits orsqu’il les regarde pour la première fois, on peut le voir grâce à l’expression présente aux lignes 6 et 7 « La première fois où je l’ai vu, je n’avais rien remarqué. Les phrases qu’emploie Brodeck dans ces deux paragraphes sont des phrases courtes, elles ne sont parfois composées que d’un mot « Je fis ce qu’il me demandait. » à la ligne 2, « Longuement. » toujours à la ligne 2, lorsque les phrases sont plus longues elles sont ponctuées de nombreuses virgules « Au début sans trop fixer mon attention sur les lignes que l’Anderer avait entremêlées, et puis, peu à peu, ans que je comprenne pourquoi ni comment, j’entrai de plus en plus dans le dessin. » des lignes 2 à 5.
Toutes ces phrases courtes et ponctuées de virgules donne l’impression au lecteur que Brodeck se dépêche comme s’il voulait passé rapidement à un autre tableau. plus Brodeck regarde dans le portrait plus celul semble s’animer, à la ligne 5 il utilise une gradation « j’entrai de plus en plus dans le dessin » plus il regarde le portrait plus il se sent aspiré par celui ci on peut l’affirmer grâce à l’hyperbole « comme s’il m’avait aspiré, comme 10 spiré par celui ci on peut l’affirmer grâce à l’hyperbole « comme s’il m’avait aspiré, comme Sil s’était animé » à la ligne 11 .
Lorsque Brodeck commence à se rendre compte que les portraits peuvent cacher autre chose, qu’ils ne sont pas de simple tableaux il y a une dimension fantastique qui s’intègre dans le texte, grâce aux verbes d’action l’aspirer » l’animer » que lion peut relever ? plusieurs reprises et « raconter’, respectivement aux lignes 1 1, 30 et 31 mais aussi grâce à la comparaison ligne 45 « comme des révélatuers merveilleux » et à l’adjectif « vivant » ligne 14.
Dès que Brodeck entre dans le tableau qu’il voit qu’ils sont représentatif de la vie du personnages qui y est peint les phrases sont plus longues, même si elles sont toujours poncutées de nombreuses virgules celles ci peuvent s’étendrent sur plusieurs lignes. C’est comme si plus Brodeck entrait dans le tableau plus il prenait le temps de découvrir ce que celui ci pouvait lui raconter, les descriptions sont de plus en plusnombreuses et de plus en plus complête ; « à mes douleurs, à mes vertiges, à mes peurs, à mes désirs. comme on peut le voir cette première description est rès courte mais lorsqu’il s’attarde sur les portraits des autres villageois ses descriptions sont de plus en plus longues, de plus en plus fournies et précises, par exemple celle que Brodeck fait de Cbbbler est très fournie ‘si on le regardait un peu de gauche on y voyait le visage d’un homme souriant, aux yeux lointains, aux traits paisibles, tandis que si voyait le visage d’un homme souriant, aux yeux lointains, aux traits paisibles, tandis que si on le prenait un peu à droite, les mêmes lignes fixaient les expressions de la bouche, du regard, u front dans un rictus fielleux, une sorte d’horrible grimace, hautaine et cruelle. « . Cette descritption est en réalité une seule et unique phrase, Brodeck semble ici imprégné du tableau, il prend le temps de décrire ce qu’il voit, cela permet au lecteur de se dessiner lui aussi le portrait physique de Gibbler. Les portraits de l’Anderer racontent la vie de ceux qui en font l’objet, il montre leur réel visage, celui qu’ils ont préféré caché mais que l’Anderer fait ressortir dans ses dessins.
Tout d’abord, le portrait de Brodeck le met face à lui même, il lui montre ses douleurs », ses « vertiges », ses « peurs » mais aussi ses « désirs » comme il nous le dit aux lignes 15-16. Il le met également face ? sa mémoire comme on peut le voir à la lecture de l’énumération des périodes marquante de la vie de Brodeck « mon enfance éteinte, mes longs mois dans le camps. mon retour. Émélia muette. » L’Anderer fait remonter à la surface tous les évènements que Brodeck avait tenté d’oublier, « Il était un mirroir opaque qui me jetait au visage tout ce que j’avais été, tout ce que j’étais. ‘ Ensuite, à travers les portraits des autres villageois Brodeck lit la réelle nature de ces gens qu’il cotoie tous les jours. Au départ il généralise, 1′(… les visages racontèrent les secrets et les tourments, les laideurs, le 0 départ il généralise, les visages racontèrent les secrets et les tourments, les laideurs, les fautes, les troubles, les bassesses. » aux lignes 31 32, il nous indique que ces portraits qu’il avait regardé et qul lui avaient paru banals maintenant l’intéresse et l’intrigue comme on peut le voir lorsque l’auteur emploie le passé simple aux lignes 28 29 « Je refis lentement le tour de tous es dessins que l’Anderer avait accrochés au mur de l’auberge. » L’utilisation de ce temps dans cette phrase nous montre que l’action décrite ici est courte, qu’elle est inhabituelle mais également qu’elle va avoir un rôle important dans l’histoire.
La description de Gbbbler des lignes 34 à 39 précédement cité nous montre deux facettes de ce personnage : dans la première Gôbbler semble être un homme doux et calme saunant, aux yeux lointain, aux traits paisible mais la deuxième partie de la description nous décrit un Gôbbler qui semble hautain et cruelle. La description que Brodeck fait ensuite d’Oschwir ne nous montre qu’une personne mauvaise « Celui d’Oschwir parlait de lâcheté, de compromission, de salissure. » cette énumération d’adjectifs pourrait nous faire ressentir de la peur, voire de la haine fâce ? ce personne qui étant le maire du village devrait se montrer loyal mais est décrit ici comme lâche. Vient ensuite le tour de Dorcha, l’énumération d’adjectif le caractérisant semble l’accuser de meurtres, d’actions tellement choquantes et violente qu’elles en deviennent impardonables PAGF s 0