Résumé rapide du voile noir

Le Roman commence par la question : A qui vais-je dédier le roman. Ses parents ? Non, pas envie. Elle n’a jamais remis les pieds aux cimetières de ses parents. Elle dédie donc le livre à sa sœur Pitou Sa mère aimait coudre en lisant. Son père lui aimait se réveiller ? l’aube, sans réveiller sa famille pour prendre des photos à l’aube et rentrer sans faire de bruit.

Ils se connaissaient à cause du travail (ils travaillaient dans le même magasin de photographie La famille avait toujours habité chez les grands-parents maternels avec la sœur et le jeune frère Claude de sa mère et il habitait au remier étage (il avait aussi une chambre au RDC le reste était la cuisine des ouvriers d’une usine de teinturerie. Sa grand-mère Sni* to neKtÇEge aimait coudre, les ani toujours impeccables a or 5 mère possédait une ce. naître et son père ac d’emménager dans u famille étaient as mais sa grand- la sœur devait e, ils décidèrent f (mais laid), il n’y avait pas de bouche d’a ration dans la salle de bains.. Quelques semaines avant la mort de ses parents, son grand-père Duperray mourut d’un cancer de la gorge Il faisait aussi le tour du chapeau. La maison de sa grand-mère sentait la pomme sous toutes les formes : compotes, tartes Le seul point page point commun entre elle et sa sœur était le gâteau de châtaignes, d’amandes et de kirsch.

Elle fait aussi un rêve dans lequel elle meurt d’abord physiquement puis mentalement ; en effet elle sombre dans la dépression en ne pouvait plus toucher ou communique avec ceux qu’elles aiment. La narratrice à aussi les memes yeux que sa mere. En 1955, alors qu’elle est âgée de huit ans et demi (et sa sœur six mois), Anny Duperey (fille) est appelée par ses parents pour aller aire sa toilette mais elle n’obéit pas et s’endort. Elle remarque que son père ronfle mais qu’ils ne l’appellent plus. Quand elle se réveilla, elle chercha ses parents.

Elle les retrouva dans la salle de bans. Ginette et Lucien Legras, qui meurent un dimanche (un 6) matin asphyxié au monoxyde de carbone dans leur salle de bains (d’abord le père puis la mère essayant d’atteindre la porte). C’est la petite fille qui les trouve. Ensuite elle appelle les voisins qui mettent du temps à venir (la fille des voisins posa des questions à la place d’aller appeler son père). Il y avait beaucoup de monde t la narratrice (fille) étant allée chez les voisins, profita d’une distraction pour aller voir ses parents.

Elle apprit que quelques minutes plus tôt (cinq minutes), ils auraient pu être sauvés. On remarqua sa présence et emmena les filles chez leur grand-mère paternelle : elle eut une réaction naturelle : elle faisait comme si de rien n’était (elle attend paternelle : elle eut une réaction naturelle : elle faisait comme si de rien n’était (elle attend le retour de ses parents et elle demanda sans indifférence quand elle reprendra ses affaires.

Elle se rappelle aussi de deux autres évènements : L’enterrement de ses parents (pendant longtemps elle fut révoltée à l’idée qu’elle y put y assistér, mais elle comprend après (20 ans) mais elle comprit que cela ne se faisait pas de ne pas envoyer un enfant à l’enterrement de ses parents) – Un jour (un jeudi) pendant lequel elle jouait, sa grand-mère paternelle qui voulait voir si la fille avait des sentiments et qu’elle n’était pas un monstre, mit la photo de ses parents sur son lit. Quand la fille les vus, elle pleura, alors sa grande tante se mis à la rassurer, et la fille s’excusa…

Et après ils mangèrent des tartines t personne ne sut cela. Le narrateur en est remerciant car cela à permis à la fille d’ouvrir les portes de ses pleures qu’elle avait fermé. – Elle assista aussi au procès du plombier Après la mort de ses parents elle utilisait père et mère à la place papa et maman. Ensuite les familles avaient séparé les filles dans chaque famille, l’ainée dans celle du père et le bébé dans celle de la mère. Elle tint aussi un journal intime où elle parlait déjà d’écrire son propre livre. Quelques mois ou quelques semaines plus tard, elle se rappelle marcher sur la route puis s’être re