Barre Ludivine – Chanet Isabelle – Dufour Léa TIS4 L’aedeagus, caractéristique d’une espèce? Résumé Le but de cette étude est de montrer que les – Yi Zhou Eva caractéristiques des aedeagi sont un critère de classificatlon de certaines espèces d’insectes. Cette étude a été réalisée sur une population de 74 individus mêles appartenant à trois espèces de scarabée. Des métho réalisées et ont perm de trois espèces malgré réalité et les donnee discriminante a ensui ces été n des tre la modèle cohérent malgré un taux d’erreurs 2,7% selon les aractéristiques de largeur et d’angle de l’aedeagus.
Ce modèle nous a permis de prédire l’appartenance de différents individus à une espèce donnée à partir de ces caractéristiques physiques, mais il nous a aussi permis de prendre conscience que ce paramètre n’était pas le seul paramètre pris en compte pour faire la classification et que nous avons besoin d’éléments supplémentaires pour faire une meilleure classification. Introduction A la campagne comme à la ville, les passionnés de faune et de flore cherchent à connaître et l’espèce trouvée leur est nconnue, ils cherchent dans des livres.
Pour ce faire, ils ont donc besoin de caractéristiques discriminantes pour pouvoir différencier les espèces d’une même famille d’insecte par exemple. Cette étude porte sur trois espèces de scarabées. Le but de notre étude est de chercher à reconnaître ces différentes espèces en fonction de certaines caractéristiques comme la largeur et l’angle de leur aedeagus organe masculin de l’insecte). Cette étude pose donc un problème dans le cas où l’insecte est une femelle. pour cette étude, il faut onc bien sélectionner des insectes mâles.
Les trois espèces de scarabées concernées par cette étude sont les Chaetocnema concinna, les Chaectocnema heikertingeri et les Chaetocnema heptapotamica. Méthodes et outils Pour mener à bien cette étude nous avons utilisé le langage R. La première étape a été de vérifier que nous étions en présence de lois normales grâce à un histogramme et des courbes de densité. Nous avons ensuite utilisé des méthodes de classification des espèces pour pouvoir différencier les individus les uns des autres.
Pour faire une comparaison avec les donnees initiales, la méthode utilisée est celle de la rechercher de mélanges gaussiens, McIust dans R. La dernière étape a été réalisée dans le but de sélectionner un individu et de vérifier qu’il est bien classé dans le bon groupe c’est à dire dans la bonne espèce. pour ce faire, nous créons plusieurs modèles afin bon groupe c’est à dire dans la bonne espèce. Pour ce faire, nous créons plusieurs modèles afin de déterminer celui dont le taux d’erreur est le plus faible. our réaliser nos test, nous choisissons rois individus d’espèces différentes (10, 42, 66). Résultats La figure 1 représente la répartition des trois espèces selon la largeur et l’angle de leur aedeagus. Nous pouvons voir que les individus semblent être regroupés en fonction de leurs caractéristiques. Barre Ludwine – Chanet Isabelle – Dufour Léa — Yi Zhou Eva Puis une recherche de mélange gaussien à trois centroïdes (figure 4) a été réalisée. Figure 1 : répartition des trois espèces en fonction de l’angle et de la largeur du sexe Ensuite, la normalité des données a été vérifiée.
Un histogramme (figure 2) et une courbe de densité (figure 3) ont permis d’analyser la forme de la distribution et de définir trois gaussiennes. Figure 4 : mélange gaussien à trois centroides La figure 5 représente la comparaison entre les données réelles et les valeurs obtenues par le McIust (mélange gaussien). Une correspondance des groupes entre la théorie et le réel est notable malgré quelques différences. Certaines erreurs par rapport aux données initiales sont visibles. Ces erreurs sont dues à des individus dont iques ne sont